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La semaine du goût à la française

Publié le par Jacques SAMELA.

La semaine du goût à la française
La semaine du goût à la française

Alors que le dîner du nouvel an se prépare, voici pour vous, et durant toute la semaine, des idées de produits français pour réveillonner au mieux, et dont vous retrouverez les liens pour vous rappeler, ou apprendre leur histoire.

Bonne semaine de préparation, d’achats, avec au final, un excellent dîner de nouvel an.

Sans oublier bien sûr, de faire attention à vous et à vos proches.

A l’année prochaine.

Jacques Samela

Vus et lus dans Les Echos du 01/10/20 et du 02/04/21, Gala n° 1486 du 02/12/21, Télérama n° 3711 du 24/02/21
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Vu et lu dans Les Echos du 06/12/21
Vu et lu dans Les Echos du 06/12/21

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Vous qui me suivez assidûment (je l'espère), je vous souhaite avec plaisir un...

Publié le par Jacques SAMELA.

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Photo J.S

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Novembre 2021

Publié le par Jacques SAMELA.

Novembre 2021
Novembre 2021

LOCOMOTIVE. De la zone Euro La France, avec un fort rebond de la consommation des ménages ((+ 5 %), notamment dans les restaurants, retrouvant son niveau d’avant-crise au 3ème trimestre, et contribuant pour 2,5 points à la croissance du PIB.

Les Echos du 02 novembre 2021

 

DYNAMISME. Des entreprises artisanales au 3ème trimestre, avec une progression de 4 % en comparaison à l’année dernière à la même époque, et dans la même veine qu’au 2ème trimestre, dont le rebond était de + 51,5 %.

Batiactu.com du 03 novembre 2021

 

AUGMENTATION. De la capacité de production aux Etats-Unis pour le groupe Saint-Gobain, après l’investissement de 400 millions de dollars sur 4 de ses sites de production dits clés, soit son 2ème marché après celui de la France.

La tribune du 04 novembre 2021

 

HISTORIQUE. Pour le CAC 40, après avoir atteint pour la 1ère fois de son histoire les 7 000 points (7 016,43), son précédent record datait du 04 septembre 2020 avec 6 944 points.

La Tribune du 05 novembre 2021

 

PHARAONIQUE. Le marché du métro du Caire (Egypte) pour le groupe Alstom, avec un contrat de 876 millions d’Euros signé avec l’Autorité national des tunnels, pour la modernisation de la ligne 1, prévoyant la livraison de 55 rames Metropolis de 9 voitures et leur maintenance pendant 8 ans.

L’Usine Nouvelle du 08 novembre 2021

 

FIERTE. Pour Thomas Pesquet d’avoir représenté la France durant sa 2ème mission spatiale, devenant en cela le 1er français commandant de l’ISS.

REELECTION. A la tête de l’UNESCO de la française Audrey Azoulay, à une très large majorité, et pour un 2ème mandat au sein de l’organisation onusienne promouvant l’éducation, la culture et la préservation du patrimoine.

EXTENSION. Du pass culture, doté à l’origine de 300 €uros et réservé aux 18 ans, aux jeunes de la 4ème à la terminale, en raison d’un véritable succès, avec depuis mai, 641 000 utilisateurs.

20 Minutes du 10 novembre 2021

 

CINQ. Français au palmarès européen « Tech Champions » du Financial Times, soit Accor, Doctolib, l’Oréal, Mirakl et Sunday.

VENTE. De 4 patrouilleurs du chantier naval Ocea (www.ocea.fr) en aluminium à l’Indonésie.

CONCEPTION. D’une quinzaine de fermes aquacoles au Maroc pour la société Aqualog (www.aqualog-international.com).

Challenges du 10 novembre 2021

 

BOND. De 81 % au 1er trimestre pour Alstom en prises de commande, et un chiffre d’affaires de 7,4 milliards d’Euros.

VIPress.net du 12 novembre 2021

 

MAJEUR. Le contrat signé par la société Arcure (www.arcure.net) aux Etats Unis, auprès d’un constructeur de véhicules industriels, afin d’équiper près de 2 700 véhicules, soit le plus gros parc d’engins sécurisés par le « Blaxtair », le produit phare de ce spécialiste de l’IA appliquée au traitement de l’image, et vendu à près de 10 000 exemplaires dans plus de 30 pays.

VIPress.net du 16 novembre 2021

 

COMMANDES. Au nombre de 408 pour Airbus lors du salon aéronautique de Dubaï, dont 269 fermes et 139 engagements.

VIPress.net du 19 novembre 2021

 

NOUVEAUX. Contrats en Europe et aux Etats-Unis pour le leader mondial du catering aérien et ferroviaire Newrest (www.newrest.eu), engrangeant 3,3 milliards d’Euros en tout. Groupe originaire de Toulouse, il compte 30 000 collaborateurs, dont 450 détiennent 95 % du capital.

Les Echos du 25 novembre 2021

 

INVESTISSEMENTS. De 220 millions d’Euros pour le groupe Fedex Express à Roissy-CDG, augmentant sa capacité de tri de 38 000 m2 à son principal hub européen.

CHUTE. Du nombre de personnes inscrites en catégorie A à Pôle emploi, soit 113 500 en octobre, repassant pour la 1ère fois en dessous du niveau de février 2020, soit un recul de 3,3 % par rapport à septembre, et près de 11 % sur un an.

Les Echos du 26 novembre 2021

 

 

 

Publié dans Revue de presse

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Sigfox (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Sigfox (suite)
Sigfox (suite)
Vu et lu dans Challenges du 10/11/21
Vu et lu dans Challenges du 10/11/21

Vu et lu dans Challenges du 10/11/21

SIGFOX S’ALLIE À SKYHOOK AFIN D’AMÉLIORER SON OFFRE DE GÉOLOCALISATION MÊME EN INTÉRIEUR

Sigfox s’allie à Skyhook afin d’améliorer son offre de géolocalisation même en intérieur - VIPress.net

Publié par Frédéric Fassot | 10 Déc 2021 

 

Sigfox, l’un des principaux fournisseurs mondiaux de services de communication IoT et l’initiateur d’un réseau à faible coût et à très faible consommation d’énergie qu’il dénomme 0G, annonce son partenariat avec Skyhook, le premier fournisseur indépendant de géolocalisation Wi-Fi, mobile et hybride. Grâce à son approche unique, la solution Precision Location de Skyhook est capable de géolocaliser avec précision les appareils connectés dans le monde entier.

Cette collaboration vise ainsi à améliorer la qualité et la performance des services de suivi existants sur le réseau Sigfox à l’échelle mondiale, tout en préservant un coût accessible.

https://vipress.net/wp-content/uploads/2021/12/Sigfox-101221-300x225.jpgDans le cadre de ses services, Skyhook propose des solutions de géolocalisation Wi-Fi, qui peuvent être utilisées seules ou via un système hybride de localisation plus vaste. Cette approche logicielle, économe en énergie, utilise les signaux Wi-Fi, GPS/GNSS et mobiles pour le suivi de position. Skyhook utilise plus de 6 milliards de points d’accès Wi-Fi, plus de 110 millions de points de données mobiles et 1,5 milliard d’adresses IP, le tout géolocalisé, pour une fiabilité et une précision annoncées comme inégalées.

En intégrant la couverture internationale des services de localisation de Skyhook au service Atlas Wi-Fi existant de Sigfox, les entreprises seront en mesure de géolocaliser leurs actifs dans des environnements intérieurs, là où d’autres méthodes de localisation peuvent échouer. Les clients bénéficient directement de l’intégration des services de Skyhook, sans avoir besoin de mettre en place des infrastructures supplémentaires, et ce, quelles que soient la taille et la quantité de leurs actifs.

Atlas Wi-Fi, le service de géolocalisation de Sigfox pour les applications dites de « massive IoT », est spécifiquement optimisé pour prendre en charge les applications utilisées dans la supply chain au niveau mondial. Ce service combine deux technologies et sources de données : le réseau Sigfox et l’infrastructure Wi-Fi. Grâce à cela, Sigfox peut fournir un seul service de localisation dans tous les types d’environnements géographiques, sans utiliser de GPS.

En outre, comme la géolocalisation par Wi-Fi consomme moins de batterie que l’utilisation du GPS, ce nouveau partenariat contribuera à prolonger la durée de vie des solutions de suivi IoT, réduisant ainsi les coûts de maintenance.

« Skyhook est fier de s’associer à Sigfox pour garantir la disponibilité d’informations de géolocalisation précises et ce, qu’un actif soit à l’intérieur d’un entrepôt, à l’extérieur sur le terrain ou en transit. L’intégration de la technologie de Skyhook dans la plateforme de géolocalisation internationale de Sigfox représente une étape importante alors que Sigfox maintient sa position de leader mondial dans le domaine de l’IoT », déclare Craig Waggy, directeur général de Skyhook.

« Ce partenariat avec Skyhook aidera nos clients à obtenir une meilleure visibilité de leurs chaînes d’approvisionnement et, en définitive, à fournir un meilleur service à leurs clients finaux. Connaître l’emplacement exact des actifs au niveau mondial, en évitant des coûts supplémentaires associés à la mise en place de nouvelles infrastructures, permettra sans aucun doute de gagner en efficacité. Nous constatons que les cas d’utilisation suscitent un fort intérêt dans les domaines des services postaux, du commerce de détail et de l’automobile. Skyhook nous aidera à fournir la qualité adéquate de services à ces clients clé », explique Benjamin Mazet, directeur Asset Tracking chez Sigfox.

Sigfox est l’un des premiers fournisseurs mondiaux de services de communication IoT et l’initiateur du réseau 0G. La société offre une combinaison de technologies à très faible coût et à très faible consommation d’énergie, avec un réseau mondial unique, détenu et exploité par 75 opérateurs Sigfox, permettant aux entreprises de suivre leurs actifs dans le monde entier. Avec plus de 19 millions d’objets connectés et plus de 75 millions de messages envoyés par jour, Sigfox aide ses clients à extraire des données au plus bas coût de production et à accélérer leur transformation numérique dans des domaines clés tels que le suivi et la gestion des actifs.

Skyhook est le principal fournisseur mondial de technologies de géolocalisation et exploite le réseau de géolocalisation indépendant le plus important au monde, composé de plus de 6 milliards de points Wi-Fi géolocalisés, plus de 110 millions de points de données mobiles géolocalisés et 1,5 milliard d’adresses IP géolocalisées.

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2016/11/sigfox-de-la-start-up-a-la-scale-up.html

 

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L’INPI, le « saint » protecteur des entrepreneurs en tous genres

Publié le par Jacques SAMELA.

L’INPI, le « saint » protecteur des entrepreneurs en tous genres
L’INPI, le « saint » protecteur des entrepreneurs en tous genres

Dans le cadre de la création de ce blog, et donc de son appellation, j’ai souhaité, vu son thème, déposer cette idée vers qui de droit aujourd’hui en France, en l’occurrence à l’Institut national de la propriété industrielle ou INPI (www.inpi.fr), qui cette année fête ses 70 printemps (https://www.inpi.fr/fr/tresors/l-inpi-fete-ses-70-ans-l-occasion-de-celebrer-le-genie-creatif-francais).  

Cela m’a bien évidemment coûté un certain coût, mais surtout, cela me confère son appartenance pendant dix ans, devenant en cela une marque à part entière.

Vu et lu dans Décideurs Collection Guide-Annuaire 2020-2021
Vu et lu dans Décideurs Collection Guide-Annuaire 2020-2021

Vu et lu dans Décideurs Collection Guide-Annuaire 2020-2021

Alors, loin d’être récent, la propriété industrielle apparaît effectivement en France pendant la Révolution française (loi du 07 janvier 1791), sous l’appellation de « bureau des patentes », désignant à cette époque les brevets.

Beaucoup plus tard, en 1900, est créé l’Office des brevets d’invention et des marques de fabrique, suivi deux ans plus tard, de l’appellation ONPI (Office national de la propriété industrielle), ne prenant son appellation d’aujourd’hui qu’en 1951, après la promulgation de la loi n° 51-444.

Entièrement autofinancé, établissement public, cette nouvelle entité sera placée sous la tutelle de différents ministères, dont celui de l’Economie, des Finances et du Commerce Extérieur.

Vu et lu dans Ecomeca n° 94 de novembre 2021
Vu et lu dans Ecomeca n° 94 de novembre 2021

Vu et lu dans Ecomeca n° 94 de novembre 2021

Alors, son rôle ne consiste pas essentiellement en la délivrance de titres de propriété industrielle comme les brevets, marques dessins et modèles, mais aussi à l’accueil et à l’accompagnement des déposants dans leurs démarches, à la mise à disposition d’une documentation juridique, technique, sous la forme d’une vaste base de données facilement consultable, à tenir le Registre du Commerce et des Sociétés, qui en centralisant l’ensemble des informations sur les entreprises françaises, lui permet de fournir nombre de renseignements sur l’environnement économique français, à la sensibilisation et à la formation via son « Académie » à la propriété industrielle vers le grand public et les professionnels en tout genre, sans oublier également la lutte active contre la contrefaçon, part non négligeable, dirigeant en cela le secrétariat général du Comité National Anti-Contrefaçon (http://www.cnac-contrefacon.fr), apportant son savoir-faire et sa connaissance dans le cadre de la mise en place d’actions publics et privé en la matière.

Vu et lu dans Ecomeca n° 94 de novembre 2021
Vu et lu dans Ecomeca n° 94 de novembre 2021
Vu et lu dans Ecomeca n° 94 de novembre 2021

Vu et lu dans Ecomeca n° 94 de novembre 2021

Quant à ses actions, acteur national s’il en est, disposant d’un réseau d’une vingtaine d’implantations régionales, avec plus de 150 experts à disposition, d’un siège à Courbevoie (Hauts-de-Seine), l’institut est également présent à l’étranger, idéalement placé dans des zones considérées comme stratégiques, lui permettant de couvrir près d’une centaine de pays, dont l’Amérique du Nord, où très récemment un accord dit de PPH ou Patent Prosecution Highway (https://www.inpi.fr/fr/faq/qu-est-ce-qu-un-accord-pph-patent-prosecution-highway) vient d’être signé avec l’office de la propriété intellectuelle du Canada, après avoir fait de même le mois dernier avec l’office des brevets et des marques des Etats-Unis (USPTO), lui permettant d’élargir encore plus son champ d’action.

Actions qui se déclinent également dans l’organisation des « Trophées INPI », célébrant cette année leur 30ème anniversaire, et récompensant à chaque fois des entreprises, ainsi que des centres de recherche innovants dans leur stratégie de propriété industrielle, de leur capacité à savoir gérer leurs actifs immatériels (brevets, marques, dessins et modèles), à même de leur permettre l’obtention de résultats tant en termes de chiffre d’affaires, d’emploi, de rentabilité, d’ouverture à de nouveaux marchés, et bien évidemment à la valorisation et à la défense de leurs droits.

Et comme la dématérialisation est en marche, dès 2023, l’INPI aura la charge du nouveau Registre national des entreprises, obligeant l’ensemble des entreprises (commerciales, agricoles, artisanales, indépendantes) exerçant une activité sur le sol national à s’y inscrire, ce qui a termes lui permettra de devenir l’outil de référence en matière d’informations économiques et juridiques, tout en y simplifiant les démarches et les coûts inhérents à toute création pour les entrepreneurs. Il se substituera en cela aux registres d’entreprises nationaux en cours aujourd’hui.

Donc, si vous souhaitez créer une marque, un nom d’usage, déposer un brevet, il est impératif pour vous protéger d’enclencher les démarches habituelles, de suivre les différentes étapes, notamment celle qui consiste à vérifier de son côté « primo-arrivant »,  avec au bout de 6 semaines de recherches environ, l’assurance de son acceptation, appuyé par une publication dans le Bulletin Officiel de la Propriété industrielle.

Par-contre, attention, car cela m’est arrivé, des courriers, venant surtout de l’étranger, vous invite à payer une certaine somme, pour soit disant valider votre nouvelle création, n’y répondez surtout pas, prenez plutôt contact avec les services de  l’INPI (ce que j’ai fait), ils vous diront que eux seuls sont habilité à enregistrer toutes demandes similaires à la vôtre, et de ne pas en tenir compte.

A vous ?

Jacques Samela

 

Sources :

. https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_national_de_la_propri%C3%A9t%C3%A9_industrielle

. https://www.bensussan.fr/pages/le-role-de-linpi/

. https://www.netpme.fr/actualite/linpi-en-charge-du-registre-national-des-entreprises-des-2023/

. https://www.businessfrance.fr/qui-sommes-nous-nos-partenaires-INPI

. http://eco-innover.rhonealpes.fr/InnovR/jcms/rec_7515/l-inpi

. https://made-in-entreprise.fr/actualites/a-quoi-ca-sert-linpi-institut-national-de-la-propriete-industrielle-4875

. https://www.inpi.fr/fr/l-inpi-signe-accord-pph-patent-prosecution-highway-avec-office-de-propriete-intellectuelle-du-canada

. https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/guerre-des-brevets-les-entreprises-francaises-de-plus-en-plus-a-risque-898465.html?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=LinkedIn#Echobox=1639572661

 

 

 

Vu et lu dans Décideurs Collection Guide-Annuaire 2020-2021
Vu et lu dans Décideurs Collection Guide-Annuaire 2020-2021

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Publié dans L'entreprise du mois

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La Nouvelle-Calédonie (suite & rappel)

Publié le par Jacques SAMELA.

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Soitec (suite) et sa vallée

Publié le par Jacques SAMELA.

Soitec (suite) et sa vallée
Soitec (suite) et sa vallée
Vu et lu dans Electroniques de septembre 2021
Vu et lu dans Electroniques de septembre 2021

Vu et lu dans Electroniques de septembre 2021

SOITEC FAIT FEU DE TOUT BOIS DANS LES SUBSTRATS EN CARBURE DE SILICIUM

Soitec fait feu de tout bois dans les substrats en carbure de silicium - VIPress.net

Publié par Frédéric Fassot | 1 Déc 2021 

 

Soitec annonce simultanément l’acquisition de Novasic et la signature d’un accord stratégique avec Mersen pour accélérer ses développements de substrats en carbure de silicium afin de préparer l’industrialisation de de substrats SmartSiC, à partir de sa technologie brevetée.

Dans une démarche stratégique visant à répondre aux besoins des marchés automobile et industriel en matière de performance et d’efficacité énergétique, Soitec élargit son portefeuille de produits au-delà du silicium sur isolant (SOI) avec le carbure de silicium. Ce matériau cristallin offre de meilleures performances, une conception optimisée et un impact environnemental réduit pour l’électronique de puissance, ce qui en fait une solution de plus ne plus prisée notamment pour les véhicules électriques et d’autres applications à faible consommation d’énergie.

Les substrats SmartSiC, résultant de l’application de la technologie brevetée de Soitec, appelée SmartCut, au SiC, permettront d’atteindre de nouveaux niveaux de performance et d’efficacité énergétique par rapport au carbure de silicium traditionnel massif, grâce à une plus grande réutilisation de substrats donneurs, à des rendements améliorés et à des tailles de puce plus faibles, assure le groupe frnaçais. En plus de réduire l’impact environnemental du carbure de silicium dans son processus de production, SmartSiC sera un catalyseur pour accélérer l’adoption des véhicules électriques. SmartSiC est actuellement en phase de prototypage pour les appareils avec plusieurs partenaires clés.

Novasic est spécialisé dans le polissage et la régénération de tranches sur carbure de silicium (SiC). L’entreprise fournit des services de production de tranches, de récupération et de polissage, en mettant un accent particulier sur le carbure de silicium. La société a développé des processus de polissage innovants permettant d’améliorer les performances des dispositifs grâce à une surface prête à l’emploi ultra-propre, sans rayures, à faible rugosité et sans couches endommagées. Novasic a été créée en 1995 à proximité du centre de haute technologie et de recherche de Grenoble. Depuis septembre 2001, Novasic fonctionne à partir d’une nouvelle usine conçue pour une production nettement plus importante. Les installations comprennent une salle blanche de classe 100 pour le nettoyage des tranches et l’inspection finale. Avec cette acquisition, Didier Marsan, p-dg de Novasic et expert international, deviendra conseiller technique senior pour Soitec.

« Les substrats SmartSiC de Soitec seront l’épine dorsale de l’électromobilité économe en énergie. L’acquisition de Novasic et l’intégration de son expertise dans la production de tranches, le polissage et la récupération apporte la dernière brique technologique permettant à Soitec de fournir un produit final optimal et de préparer la phase d’industrialisation de notre ligne de produits SmartSiC. L’expertise de Novasic nous aidera à accélérer encore la mise sur le marché et l’adoption de nos applications intelligentes de carbure de silicium sur les marchés prometteurs et exigeants de l’automobile et de l’industrie », déclare Bernard Aspar, COO de Soitec.

Un partenariat stratégique avec Mersen dans le polySiC

Parallèlement, Soitec annonce avoir conclu un partenariat technique stratégique avec Mersen, expert mondial des spécialités électriques et des matériaux avancés, pour le développement d’une nouvelle famille de substrats de carbure de silicium polycristallins (polySiC) destinée au marché du véhicule électrique.

Grâce à leurs expériences respectives dans le domaine des matériaux et des substrats, ce développement de substrats polySiC à très faible résistivité électrique mené par Soitec et Mersen permettra d’optimiser les composants de puissance en SiC élaborés à partir de la technologie SmartSiC de Soitec. Ce développement est renforcé par une collaboration des équipes de Mersen à Gennevilliers et celles de Soitec à Bernin et à Grenoble. Elles pourront par ailleurs bénéficier des compétences du Substrate Innovation Center de Soitec au sein du CEA-Leti pour valider les progrès réalisés dans le processus d’industrialisation.

« L’intensification de la mise en commun de nos expertises en matériaux et semiconducteurs nous permet de générer des substrats d’un niveau de performance très avancée. Ces résultats sont compatibles avec notre technologie SmartSiC et dépassent aussi les spécifications de nos clients, fondeurs de circuits électroniques de puissance en SiC. Ce substrat polySiC devient un élément clé de notre technologie avec sa très faible résistivité électrique. Cela apportera un fort gain d’efficacité énergétique, rendant ainsi les véhicules électriques plus efficaces », commente Christophe Maleville, Chief Technology Officer de Soitec.

« Ce partenariat illustre l’expertise de Mersen dans le domaine du SiC polycristallin et sa capacité à développer un produit sur mesure compatible avec la technologie de Soitec. Grâce à ce partenariat renforcé, nous serons ainsi en mesure d’offrir aux acteurs de l’industrie électronique un substrat de haute performance et économique pour la production de semiconducteurs de puissance, en particulier pour le marché des véhicules électriques », ajoute Luc Themelin, directeur général de Mersen.

Le Français Mersen avait annoncé le 19 juillet dernier sa participation au consortium Transform, qui vise à développer une filière européenne de fabrication de semiconducteurs à base de carbure de silicium (SiC) pour le marché du véhicule électrique (voir notre article).

Présent dans 35 pays avec plus de 50 sites industriels et 16 centres de R&D, Mersen (anciennement Carbone-Lorraine) est un expert mondial des spécialités électriques et des matériaux avancés pour les industries High-Tech, que ce soit l’éolien, le solaire, l’électronique, le véhicule électrique, l’aéronautique ou le spatial.

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2018/05/soite-une-reponse-francaise-et-europeenne.html

 

Vu et lu dans Challenges n° 713 du 07/10/21
Vu et lu dans Challenges n° 713 du 07/10/21

Vu et lu dans Challenges n° 713 du 07/10/21

Vu et lu dans l'Usine Nouvelle n° 3693 de mai 2021
Vu et lu dans l'Usine Nouvelle n° 3693 de mai 2021

Vu et lu dans l'Usine Nouvelle n° 3693 de mai 2021

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Délocalisations - Relocalisations (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Délocalisations - Relocalisations (suite)
Délocalisations - Relocalisations (suite)

Après la première crise sanitaire, la relocalisation des industries s'affirme

https://www.lefigaro.fr/conjoncture/apres-la-premiere-crise-sanitaire-la-relocalisation-des-industries-s-affirme-selon-une-etude-20211207

Par Le Figaro avec AFP Publié le 07/12/2021

 

Quelque 115 relocalisations ont été identifiées depuis septembre 2019. Pour la seule année 2021, l'étude dénombre 45 implantations.

Les relocalisations d'industries se multiplient dans le monde au fur et à mesure de la reprise des investissements qui ont retrouvé en 2021 leur niveau d'avant-Covid et bénéficient, en France, surtout aux PME, indique une étude publiée mardi par le cabinet Trendeo.

La distance moyenne entre le lieu de décision d'un investissement et le lieu de l'investissement s'est établie à 3120 kilomètres à mi-2021. En 2020, elle a baissé de presque 5% dans le monde, maximum observé par le baromètre de l'industrie publié par Trendeo depuis sa création en 2016. Cette diminution, amorcée en 2018 et 2019, s'est poursuivie à un niveau moindre en 2021 : «Il y a bien une contraction des chaînes mondiales de production», souligne David Cousquer, fondateur de Trendeo, société spécialisée dans l'analyse de données sur les tendances économiques, lors d'une présentation du «baromètre annuel de l'usine du futur».

«Il y a une régionalisation des investissements industriels mondiaux, on voit que c'est une tendance de fonds», ajoute Gwenaël Guillemot, directeur de l'Institut de la réindustrialisation, et responsable du département Industrie à l'école d'ingénieurs CESI, partenaire du baromètre de Trendeo. «En France, le phénomène se traduit par des relocalisations en »forte hausse«, indique le baromètre.

Quelque 115 relocalisations ont été identifiées depuis septembre 2019. Pour la seule année 2021, l'étude dénombre 45 implantations ayant généré plus de cinq emplois, grâce le plus souvent aux aides financières du plan de relance du gouvernement et de l'Union européenne. «Avant France Relance, on comptait en moyenne une dizaine de cas de relocalisations de plus de cinq emplois par an en France, avec un pic à une trentaine de projets en 2014 grâce à l'activisme du ministre de l'Industrie de l'époque Arnaud Montebourg, mais la mayonnaise n'avait pas pris», ajoute Gwenaël Guillemot.

 «Il y a bien quelque chose qui se passe, et cela impacte surtout le tissu industriel des PME», analyse-t-il, alors que le phénomène des délocalisations avait, lui, surtout touché les grands groupes. Du coup, la tendance est encore loin de se refléter dans les chiffres de l'emploi global : «31.740 emplois ont été délocalisés entre 2009 et 2021, et 4.885 emplois ont été créés, relocalisés dans le même temps», indique Gwenaël Guillemot.

https://www.lefigaro.fr/conjoncture/made-in-france-la-relocalisation-au-secours-du-climat-20211109

 

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2014/09/delocalisations-relocalisations.html

 

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Airbus (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Airbus (suite)
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Magazine Val d'Oise du 14/11/21
Magazine Val d'Oise du 14/11/21

Magazine Val d'Oise du 14/11/21

Challenges n° 715 du 21/10/21
Challenges n° 715 du 21/10/21

Challenges n° 715 du 21/10/21

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Kinéis (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Kinéis (suite)
Kinéis (suite)

VERS DES ANTENNES MINIATURES POUR L’IOT SATELLITAIRE

Publié par Pascal Coutance | 18 Oct 2021 VIPress.net

 

Kinéis et le CEA-Leti unissent leurs expertises pour développer la prochaine génération d’antennes miniatures pour l’IoT satellitaire permettant une connectivité hybride basse consommation associant connexion radio terrestre et satellitaire (dans la bande 400 MHz) en relais.

Depuis quelques années, la multiplication des projets de constellations de nanosatellites dédiés à l’IoT constitue la promesse d’un accès à de nouveaux services s’appuyant sur une couverture mondiale.

Parmi les acteurs de ce secteur, la start-up toulousaine Kinéis, qui a levé pas moins de 100 millions d’euros l’an dernier, a récemment signé un contrat avec Rocket Lab, fournisseur de services de lancements et de systèmes spatiaux basé aux États-Unis, pour une mise sur orbite de ses solutions dès le deuxième trimestre 2023.

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Parmi les solutions qu’il développe, l’opérateur satellitaire toulousain travaille sur des objets communicants à connectivité hybride mettant en oeuvre une connexion radio terrestre et satellitaire (dans la bande 400 MHz) en relais. Moins consommatrice d’énergie, l’utilisation d’une communication basse fréquence présente l’avantage d’améliorer l’autonomie des produits, ce qui est un vrai plus dans les applications IoT. Reste qu’une fréquence de communication plus basse implique une antenne plus grande, au point de rendre son encombrement incompatible avec des objets communicants de très petite taille.

C’est pour résoudre cette équation à première vue insoluble que Kineis et le CEA-Leti unissent leurs expertises, dans le cadre du projet Artes+ MONAMI de l’ESA. L’organisme de R&D entend ainsi capitaliser sur son expertise en conception et en intégration d’antennes miniatures pour réduire la taille de ces antennes d’un facteur 7,5.

Les travaux porteront notamment sur des techniques de chargement réparti sur l’antenne – afin d’émuler une taille plus importante -, ainsi que sur un design adapté afin de conserver les performances d’origine de l’antenne malgré sa taille réduite. L’autre point de développement consistera à générer un rayonnement d’antenne à polarisation circulaire pour la liaison satellite, ce qui reste un défi pour les antennes miniatures.

Kineis et le CEA-Leti ont d’ores et déjà procédé à des essais préliminaires qui montrent qu’une antenne de 5 cm maximum peut remplir le cahier des charges d’une connectivité hybride pour l’IoT satellitaire et est en passe d’être mise au point par les deux partenaires. L’enjeu est de taille car les applications visées sont potentiellement nombreuses, cette technologie permettant à des personnes, des marchandises, des animaux ou encore des capteurs environnementaux de rester connectés en permanence où qu’ils se trouvent sur la planète.

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2021/06/le-nouvel-espace-a-la-francaise.html

 

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