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Le rendez-vous de l'Europe : Quelques informations

Publié le par Jacques SAMELA.

Le rendez-vous de l'Europe : Quelques informations
Le rendez-vous de l'Europe : Quelques informations
Vus et lus dans Les Echos du 14 et du 15/09/20
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Vus et lus dans Les Echos du 15/09/20, et Télérama du 23/09/20
Vus et lus dans Les Echos du 15/09/20, et Télérama du 23/09/20
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Vus et lus dans Les Echos du 14 et du 16/09/20
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Vus et lus dans Les Echos du 14 et du 16/09/20

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Vus et lus dans Les Echos du 04, 15 et 21/09/20
Vus et lus dans Les Echos du 04, 15 et 21/09/20
Vus et lus dans Les Echos du 04, 15 et 21/09/20
Vus et lus dans Les Echos du 04, 15 et 21/09/20

Vus et lus dans Les Echos du 04, 15 et 21/09/20

Europe : des clés pour la souveraineté

 le 21 août 2020 / Les Echos

 

L'Europe a fait le choix, historique, de la solidarité pour affronter la crise et financer la relance et la reconstruction. Alors que la pandémie a révélé nos dépendances en matière de produits, de matériaux critiques et dans certaines chaînes de valeurs, l'Europe doit désormais prendre en main ses intérêts stratégiques afin d'assurer une souveraineté, devenue nécessité commune. 

Dans un monde où les rapports de force entre blocs se durcissent, la course à l'autonomie et à la puissance bat son plein. Face à la « guerre technologique » à laquelle se livrent les Etats-Unis et la Chine, l'Europe se doit de jeter, dès maintenant, les bases de sa souveraineté pour les 20 prochaines années. Il ne s'agit pas de céder à la tentation de l'isolement ou du repli sur soi, contraire à nos intérêts, à nos valeurs et notre culture. Il s'agit d'assumer des choix qui seront déterminants pour le futur de nos concitoyens en développant les technologies et les alternatives européennes sans lesquelles il n'existe ni autonomie ni souveraineté. Mobilisée autour de grands projets développés en partenariat, l'Europe a démontré par le passé qu'elle avait la capacité de jouer les premiers rôles sur la scène mondiale. Le temps est venu de reprendre l'initiative commune.

Au premier rang des grands enjeux figure notre souveraineté numérique qui repose sur trois piliers indissociables : puissance de calcul, maîtrise de nos données, connectivité sécurisée

Au premier rang des grands enjeux figure notre souveraineté numérique qui repose sur trois piliers indissociables : puissance de calcul, maîtrise de nos données, connectivité sécurisée. Tout d'abord, il convient d'accroître sans plus tarder la capacité de l'Europe à développer et produire les processeurs - y compris quantiques - les plus performants au monde. Ces composants micro-électroniques sont à la base de la plupart des chaînes de valeur clés pour l'avenir : voitures et objets connectés, tablettes et smartphones, supercalculateurs et edge computers, intelligence artificielle et défense. Dans le même ordre d'idée, il devient impératif de se doter de clouds européens autonomes garantissant à nos entreprises que leurs données industrielles ne seront soumises à aucune loi d'un pays tiers et seront protégées contre toute interférence cyber extérieure. 

Enfin, en complément de nos réseaux haut débit et 5G, nous devons réfléchir à une constellation de satellites en orbite basse afin de fournir à tous les Européens, où qu'ils se trouvent sur le continent, une connectivité haut débit, d'en finir avec les zones blanches et de donner accès, en Europe, au niveau de sécurité offert par la cryptologique quantique spatiale. Une telle constellation compléterait utilement nos infrastructures souveraines Galileo pour la géolocalisation et Copernicus pour l'observation. De quoi renforcer l'Europe, deuxième puissance spatiale au monde.

L'Europe, via le Fonds européen de défense, vient d'accomplir un pas inédit et décisif

En matière de sécurité et de défense, renforcer l'autonomie technologique apparaît désormais incontournable. L'Europe, via le Fonds européen de défense, vient d'accomplir un pas inédit et décisif car il permettra d'organiser la coopération européenne dans des projets technologiques clés tels que les drones, l'avion de combat, le char européen, les capacités spatiales, la cybersécurité. La dernière proposition budgétaire nous permettra dans les sept ans à venir de générer entre 30 et 40 milliards d'euros d'investissements supplémentaires collectifs. Et de faire en sorte que chaque Etat membre se sente acteur des industries de défense et opère des choix cohérents d'équipements européens.

Faire de l'Europe l'épicentre de la « green tech »

Sur le marché intérieur, la souveraineté doit aussi se décliner sur le spectre des technologies vertes et faire de l'Europe l'épicentre de la « green tech ». Cela nécessite de renforcer nos chaînes de valeurs, de diversifier nos approvisionnements essentiels, voire de relocaliser certaines productions. Mais aussi d'accélérer le processus de décarbonation industrielle et de réduire nos dépendances énergétiques. Par exemple, en se donnant les moyens d'un leadership européen sur l'hydrogène propre. La production d'hydrogène par électrolyse est particulièrement consommatrice d'électricité. Elle s'appuiera sur nos énergies décarbonées (éoliennes, solaire) ou sur la disponibilité de notre parc d'énergie décarbonnée de transition (nucléaire, hydraulique).

L'Europe plus autonome, plus résiliente, porte une nouvelle ambition.

Avons-nous la volonté politique et les moyens de ces ambitions ? La réponse est oui ! Pour l'ensemble des programmes de souveraineté, c'est plus de 20 % d'augmentation par rapport au budget précédent et même 30 % après le départ du Royaume-Uni. Concernant la seule souveraineté numérique, le nouveau programme DigitalEurope permettra des investissements additionnels de plus de 20 milliards. Quant au programme CEF (Connecting Europe Facility), son volet numérique est pratiquement doublé. Outre que la Défense voit ses moyens décuplés, recherche et espace sont en légère augmentation. On pourrait toujours espérer plus. Le Parlement européen a du reste la possibilité d'en décider. Par ailleurs, les plans de relance nationaux pourront eux-mêmes accroître les moyens de financement de nos grands projets européens industriels et d'infrastructures. L'Europe solidaire et moins naïve est née de la crise. L'Europe plus autonome, plus résiliente, porte une nouvelle ambition. Nous y reviendrons.

Thierry Breton (Commissaire européen au Marché intérieur)

 

https://vipress.net/leurope-face-a-deux-defis-pour-simposer-dans-lembarque/

Vu et lu dans Les Echos du 18/09/20
Vu et lu dans Les Echos du 18/09/20

Vu et lu dans Les Echos du 18/09/20

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De 2017 à 2018

Publié le par Jacques SAMELA.

De 2017 à 2018

2017 s’achève, année de bascule, politique, économique, historique, peut-être, 2018 arrive, année de confirmation semble-t-il, ce sont les chiffres qu’ils le disent, et comme le temps passe, vite ou moins vite c’est selon, cela fait déjà cinq ans de passé depuis la création de mon blog, qui vous le savez désormais, m’a permis de transcrire mon ras-le-bol d’une certaine ambiance, maussade, défaitiste, récurrente, avec des médias ne relatant que de nouvelles et d’informations négatives.

Qu’en est-il donc aujourd’hui, et que s’est-il passé depuis ?

Tout d’abord, un changement significatif quant à la vision d’une France, non plus à la dérive, voir en déclin pour certains, mais plutôt à l’orée d’une renaissance que l’on ressent, balayant en cela les prédictions les plus pessimistes, colportées de ci de là par des oiseaux de mauvais augures (ces mêmes certains), et malheureusement véhiculées par des acteurs à la recherche de coups médiatiques.

Attention, je ne dis pas que tout est parfait, mais ce que je vois et lis depuis un ou deux ans, et que je retranscris chaque jours dans mon blog, me conforte dans l’idée de continuer mon activité, d’informer, de relater d’actions positives, de donner mon avis, avec pour cette année nouvelle à venir, un souhait de vous faire participer, vous qui me lisaient quotidiennement ou presque, à l’élaboration de nouveaux sujets, à la mise en place de nouvelles idées comme par exemple l’organisation d’un prix récompensant l’entreprise la plus innovante de l’année, ou celle dont l’actualité a été la plus relayée, et pas seulement par mon intermédiaire.

Ensuite, en pleine réflexion, l’ouverture à d’autres moyens de communication comme l’élaboration d’objets publicitaires, l’utilisation de la vidéo, la création d’une Web-série, pourraient me permettre d’asseoir encore plus mon positionnement, et d’accompagner une croissance non démentie cette année encore, avec pour couronner le tout, l’organisation d’un 1er évènement consacré à vous et moi, afin de se connaître, d’échanger, de confronter nos idées, nos envies pour la France d’aujourd’hui et de demain, mais aussi et surtout pour passer un bon moment ensemble, autre que devant un écran, chacun chez soi.

Qu’en pensez-vous ? N’hésitez-pas à m’en faire part. Cette prochaine année sera interactive ou ne sera pas.

Sinon, dans l’attente de vos retours quant à ces idées, attendez-vous également pour cette sixième année à de nouveaux sujets, traitant de l’intelligence artificielle, la FoodTech, les MedTech, les Green Bonds, la Plastronique, l’haptique, le CAC 40, Jean Nouvel, Inès de la Fressange, La Tour Eiffel, Blade, Seabubbles, RATP Dev, Figeac Aéro, La Redoute, et tant d’autres, en attente, ou qui viendront se positionner comme une évidence, sans oublier mes retours sur des sujets déjà traités auparavant, mais cela vous connaissez déjà.

Donc, c’est avec impatience que je vous donne rendez-vous l’année prochaine.

Jacques Samela

competitiviteinfrance@orange.fr  

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La France attractive

Publié le par Jacques SAMELA.

Le groupe bahreïni BGF International (www.bgfinternational.com) s’implante en Alsace. Spécialiste de la fabrication de pièces en composite et des cabines de toilettes, il va créer à Illkirch-Graffenstaden (Bas-Rhin) son centre de R&D européen. Son aménagement nécessitera un investissement de 1 millions d’Euros, une vingtaine de personnes y travailleront, et il permettra de développer un nouveau système de toilette intégrée destiné à l’industrie ferroviaire. Ce groupe familial de 1 600 salariés dans le monde envisage d’autres investissements en Alsace, après une acquisition déjà actée en 2009 à La Rochelle, il s’agissait alors de la société ATMC Industrie (www.atmc.i.com).

. Le norvégien Odfjell Terminals (www.odfjell.com) s’installe sur le port du havre. Il y implantera un terminal de stockage de produits pétrochimiques et de produits dérivés du pétrole. Sa mise en service est prévue pour 2017, et l’investissement atteint les 150 millions d’Euros.

. Le groupe allemand Neudorff (www.neudorff.fr), premier fabricant mondial de produits phytosanitaires naturels, s’implante à Revel en Haute-Garonne, territoire de la BioVallée (www.biovallee.fr), situé à 50 km de Toulouse. Centre de distribution et de production pour l’Europe du sud (France, Italie, Espagne), il devrait créer d’ici 2017 une cinquantaine d’emplois.

. Le fabricant américain de composites Continental Structural Plastics (www.cspplastics.com) s’implante à Pouancé dans le Maine et Loire. Cette installation nouvelle lui permettra de soutenir le marché européen.

. L’enseigne britannique de mode jeune à prix cassés Primark (www.primark.co.uk) a choisi de s’installer en France. Les deux premiers magasins ouvriront leurs portes à l’automne dans les centres commerciaux O’Parinor en Seine-Saint-Denis, et à Marseille Grand Littoral. Présente dans huit pays, essentiellement européen, elle compte concurrencer H&M et Zara.

. Le groupe papetier thaïlandais Double A (www.doubleapaper.com) s’installe en France et reprends la papeterie d’Alizay dans l’Eure. Employant 3 000 personnes dans le monde, et avec un chiffre d’affaires de 600 millions d’Euros, le groupe compte se servir de la France pour s’ouvrir les marchés européens, africains et d’Amérique du nord. Il relancera également sur ce site la production du papier A4, abandonné par l’ancien propriétaire, le finlandais M-Real.

. Le groupe IBM (www.ibm.com) va implanter sur le site Euratechnologies (www.euratechnologies.com) à Lille, un centre de services d’envergure, porteur de plus de 600 emplois, qui pourrait même avoisiner les 750.

. Le spécialiste suisse des panneaux en fibre de bois, Pavatex (www.pavatex.fr), lance sa production de panneaux isolants à Golbey au sein de ce que l’on appelle la Green Valley. Après un an de travaux, 60 millions d’Euros et l’embauche de 49 salariés, ce site lui permettra d’ancrer sa présence sur le marcha français, avant d’exporter 60 % de sa production vers d’autres pays comme le Benelux, l’Allemagne ou le Japon.

. Victall (www.victall.com), sous-traitant chinois du groupe Alstom, s’installe en Alsace pour alimenter l’usine de Reischoffen, où sont montés les nouveaux trains Régionalis. Retenu par Alstom comme un des 160 fournisseurs de l’usine, ce groupe emploie chez lui plus de 3 000 salariés, et compte se développer sur le secteur ferroviaire français.

. La boutique en ligne britannique consacré à la mode Asos (www.asos.fr), ce qui veut dire As Seen On Screen, installe sa filiale française sur le site Euratechnologies à Lille. Après avoir lancé la version française de son site il y a de cela trois ans, la France st aujourd’hui son 3ème marché. De 50 à 100 personnes pourraient être embauchées d’ici cinq ans.

. Le consortium indien Tata, numéro quatre mondial dans le secteur des TIC, et qui compte 263 000 consultants dans le monde, installe sa filiale TCS (www.tcs.com) à Euratechnologies. Il deviendra son premier centre de services en France, et s’appuiera sur TCS France qui compte déjà 200 collaborateurs, et travaille pour des grands comptes français.

. Le groupe américain Koch Fertilizer Products (www.kochfertilizer.com) ouvre sur le port de Rouen une usine de production et d’ensachage d’engrais azotés, phosphorés et potassiques.Il également présent à Sète et à Bordeaux.

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Juillet 2021

Publié le par Jacques SAMELA.

Juillet 2021
Juillet 2021

EXCEPTIONNEL. Le 1er semestre pour la French Tech, avec 4,7 milliards d’Euros levés en 400 opérations (+24 %), soit presque autant que l’année dernière.

La Tribune du 01 juillet 2021

 

INVESTISSEMENT 1. De 300 millions d’Euros par le groupe allemand Zalando en Ile de France, afin d’y installer un centre logistique qui devrait employer près de 2 000 personnes.

Challenges du 01 juillet 2021

 

INVESTISSEMENT 2. De 62 millions d’Euros pour le groupe d’origine américaine Westinghouse à Chaponnay (Rhône), afin de créer un centre ultra moderne dédié à la conception de solutions mécaniques de soudage et d’usinage.

L’usine Nouvelle du 05 juillet 2021

 

GEANT. Le contrat signé par le groupe Jouve (www.jouve.com) aux Etats Unis avec United States Patent and Trademark Office (USPTO), le bureau américain des brevets et des marques déposés dans ce pays, soit 1,4 milliards de dollars, avec à la clé, un recrutement de 1 150 personnes.

Le Figaro du 06 juillet 2021

 

INVESTISSEMENTS 1. De plus de 9 milliards d’Euros dans la pharma en France en 2020, avec 7,3 milliards d’Euros injecté dans la R&D, soit un effort accru de 17 % en seulement un an.

L’Usine Nouvelle du 07 juillet 2021

 

RECORD. Pour la Fintech française avec 1,5 milliards d’Euros levés durant le 1er semestre de cette année, soit le marché le plus dynamique d’Europe.

Les Echos du 07 juillet 2021

 

PREMIERE 1. Mondiale pour le groupe RTE (www.rte-france.com) avec l’inauguration d’un site expérimental de gestion automatisée de stockage d’électricité produite à partir d’énergies renouvelables. Baptisé Ringo, il est situé sur la commune de Fontenelle en Côte d’Or.

Batiactu du 07 juillet 2021

 

INVESTISSEMENTS 2. De 45 millions d’Euros à Tournus (Saône et Loire) par le groupe américain Sherwin-Williams (www.sherwin-williams.com), spécialiste des peintures et produits chimiques, afin d’y engager la production d’une résine sans perturbateur endocrinien. Et de 40 millions d’Euros pour le groupe Procter & Gamble, afin d’y créer une nouvelle ligne de production, et renforcer ses actions en faveur de l’environnement sur son site d’Amiens.

L’Usine Nouvelle du 08 juillet 2021

 

LANCEMENT. De son activité à Dubaï pour la startup francilienne Green Riders (www.green-rides.fr), en y ouvrant son premier showroom de trottinettes électriques.

Le Moci du 09 juillet 2021

 

INTERNATIONAL. Le concours remporté par l’architecte Elizabeth de Portzamparc, après avoir obtenu le trophée « the ancien tree civilization and residence future » de la Royal Intitute of British Architects pour son projet intitulé « Living in the leaves ».

Batiactu du 12 juillet 2021

 

RECORD. Du monde battu par le français Arnaud Jerald dans la discipline de l’apnée, avec une plongée à 116 mètres en poids constant bi-palmes.

L’Equipe du 13 juillet 2021

 

PREMIERE 2. Pour Carmat aux Etats-Unis, le plus grand marché mondial des dispositifs médicaux,  après l’implantation d’un de ses cœurs artificiels appelé Aeson chez un patient américain.

L’Usine Nouvelle du 15 juillet 2021

 

FORTE. La hausse d’embauches en France au deuxième trimestre avec plus de 2,2 millions de déclarations, soit une progression de 16,9 %.

BFM Business du 21 juillet 2021

 

CHAMPIONNE. Du monde la France dans le domaine de l’obligation verte, avec un encours atteignant 28,9 milliards d’Euros en février, soit la plus volumineuse sur le marché actuellement.

Le Figaro du 21 juillet 2021

 

ATTRIBUTION. D’un contrat de 500 millions d’Euros pour le groupe Vinci en Allemagne, dans le cadre de la construction et l’exploitation sur 30 ans d’une route fédérale.

Batiactu du 23 juillet 2021

 

CLASSEMENTS. Au patrimoine de l’UNESCO pour le phare de Cordouan, considéré comme le « roi des phares », et pour la ville de Vichy dans le cadre des grandes villes d’eau d’Europe.

24News et La Croix du 24 juillet 2021

 

AUTORISATION. De l’UE pour le plan français de 30,5 milliards d’Euros consistant à favoriser la production d’électricité à partir de sources d’énergie renouvelables.

Euractiv du 28 juillet 2021

 

REPRISE. De l’économie française sur le bon chemin, avec selon le gouvernement une progression du PIB de 6 % sur l’ensemble de l’année.

La Tribune du 30 juillet 2021

 

 

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Janvier 2017

Publié le par Jacques SAMELA.

Janvier 2017
Janvier 2017

EUROPE. Les jeunes Français Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron ont été sacrés pour la première fois Champions d'Europe en danse sur glace à Stockholm.

 

MONDE. L’équipe nationale de handball masculin remporte son 6ème titre mondial après avoir battue la Norvège par 33 buts à 26.

 

UNIVERS. Iris Mitttenaere, la Miss France 2016, remporte le titre de Miss Univers 2017, soit soixante ans après une autre française appelée Christiane Martel, et titrée donc en 1953.

 

ACQUISITION. Le groupe immobilier La Foncière des Régions (www.foncieredesregions.fr) acquiert 19 hôtels en Espagne pour 542 millions d’Euros.

Les Echos du 03/01/17

 

REDUCTION. Dévoilé ce jour par les Douanes, la France a réduit son déficit commercial en novembre 2016, soit – 4,4 milliards d’Euros contre – 5,2 milliards en octobre 2016.

Boursier du 06/01/17

 

INVESTISSEMENTS. Près de 2,3 milliards d’Euros ont été investis dans la Tech française en 2016, marquant une réelle accélération dans ce secteur.

FrenchWeb.fr du 09/01/17

 

POTEAU. Airbus coiffe au poteau son principal rival, engrangeant 731 commandes nettes contre 668 pour Boeing.

BFM Business du 11/01/17

 

INNOVANTE. La France sur le podium des nations les plus innovantes, obtenant la 3ème place derrière l’Allemagne et les Etats-Unis, et devant le Japon.

La Tribune du 12/01/17

 

CONTRAT 1. Le groupe Bouygues (www.bouygues.com) obtiendra 1,7 milliards d’Euros dans le cadre de la construction des 2 réacteurs nucléaires EPR anglais d’Hinkley Point.

Les Echos du 12/01/17

 

RECORD. En 2016, 37 nouveaux projets ont été approuvés par la BEI (Banque Européenne d’Investissements), faisant de la France le 2ème pays européen bénéficiaire du plan Juncker, soit 4,1 milliards d’Euros.

Les Echos du 13/01/17

 

HISTORIQUE. Les ventes de Cognac ont connu une nouvelle année historique avec une croissance de 6 %, tiré notamment par les Etats-Unis, premier marché depuis 25 ans. Il s’est donc vendu en tout 179,1 millions de bouteilles en 2016 contre 168,9 millions en 2015, et ce pour un chiffre d’affaires de 2,76 milliards d’Euros (2,6 milliards en 2015).

Les Echos du 16/01/17

 

INNOVATION. Neuf français dans le top 100 mondial des acteurs de l’innovation (http://top100innovators.stateofinnovation.com), avec pour la sixième année consécutive le CEA, accompagné par le CNRS, l’IFP Energies nouvelles, Alstom, Arkema, Safran, Saint-Gobain, Thales et Valeo.

VIPress.net du 16/01/17

 

DEFICIT. Le déficit du budget de l’Etat a été réduit en 2016 à 68,9 milliards d’Euros, soit 3,3 milliards de mieux qu’initialement prévu, et 1,6 milliards de mieux qu’en 2015.

L’Express du 17/01/17

 

CONTRAT 2. Le groupe Keolis (www.keolis.com) remporte le contrat d’exploitation et de maintenance de Metrolink, le plus grand réseau de tramways du Royaume-Uni. Le montant n’a pas été dévoilé.

Le Figaro du 19/01/17

 

RENOUVELABLE. Dans sa 7ème édition, le « Baromètre des énergies renouvelables électriques en France » dévoile un bilan positif pour l’année 2016 avec 23 % de la consommation électrique française assurée par des énergies renouvelables.

Les clés de demain du 19/01/17

 

MONDIAL. Grâce à ses établissements prestigieux comme HEC, Polytechnique, Les Mines, la France se classe au 3ème rang mondial de la formation des PDG des plus grandes entreprises selon le classement de Times Higher Education. Au total, ce sont 68 dirigeants des entreprises du Fortune 500 qui ont été formés en France.

Capital du 20/01/17

 

RECORD 2. Les start-up françaises battent des records de levées de fonds en Europe, avec un bond de près de 22 % en 2016.

La tribune du 21/01/17

 

DEPASSEMENT. D’après la plate-forme de formation continue CodinGame (www.codingame.com), les écoles françaises d’informatique dépassent les anglo-saxonnes, avec comme chef de file, l’école 42 de Xavier Niel.

DYNAMIQUES. La hausse des déclarations d’embauches de plus d’un mois a augmenté de 6,4 % en 2016.

Les Echos du 23/01/17

 

MEGACONTRAT. Le groupe Atos (www.atos.net) fournira des services de Cloud Computing et d’infrastructures réseaux & communications dans le cadre d’un contrat pluri-ministériel de cinq ans du gouvernement d’Australie-Occidentale. Le contrat pourrait atteindre plus de 3 milliards de dollars australiens (2,2 milliards d’Euros).

La Tribune du 24/01/17

 

CHOIX. La start-up californienne Hyperloop Transportation Technologies, qui travaille sur le développement d’un nouveau concept de transport à très grande vitesse, implantera son futur centre de R&D européen à Toulouse.

Industrie & technologies du 24/01/17

 

CONTRAT 3. Le groupe Thales (www.thalesgroup.com) vient de remporter un contrat de 74 millions d’Euros pour la modernisation des radars master au profit des forces aériennes de la Confédération suisse.

VIPress.net du 25/01/17

 

MONDE 2. La France remporte la Coupe du monde de pâtisserie à Lyon, devant le Japon et la Suisse.

L’Express du 25/01/17

 

CREATIONS. 554 000 entreprises ont été créées en France en 2016, soit une hausse de 6 % par rapport à l’année 2015.

CONTRAT 4. Le sous-traitant aéronautique Figeac-Aéro (www.figeac-aero.com) annonce avoir signé le plus gros contrat de son histoire avec l’ensemblier américain Spirit Aerosystems pour 500 millions d’Euros de pièces en aluminium et titane destinées à Airbus et Boeing.

GREEN BONDS. Pari réussi pour la première émission d’obligations vertes de la France, avec une levée de 7 milliards d’Euros à 22 ans. Les « green bons » sont des emprunts obligataires classiques, mais servant à financer des projets de transition énergétique, de lutte contre le réchauffement climatique.

Les Echos du 25/01/17

 

BAISSE. Les plans sociaux ont baissé de 16 % en France entre 2015 et 2016.

L’AFP du 26/01/17

 

BOOM. Le financement des start-up par les grands groupes français a explosé en France en 2016, avec 590 accords signés contre 243 l’année précédente, et pour un montant cumulé de 2,7 milliards d’Euros contre 1,5 milliards en 2015.

La Tribune du 30/01/17

 

CONTRAT 5. Le groupe Engie (www.engie.com) remporte un contrat de 1,1 milliard d’Euros pour construire, exploiter et assurer la maintenance d’une centrale de cogénération d’électricité en Arabie Saoudite.

REPRISE. La construction neuve s’est amplifié en 2016 avec 376 500 logements neufs mis en chantier, soit une progression de 10,4 %.

INVESTISSEMENT 2. La French Tech attire de plus en plus les investisseurs étrangers avec 61 actions sur 2015-2016, contre 23 sur la période 2009-2010.

SESAME. La PME française Amplitude Surgical (www.amplitude-surgical.com) vient d’obtenir l’accréditation par la Food and Drug Administration pour sa prothèse du genou appelée Anatomic, déjà posé sur 20 000 patients dans le monde, générant 60 % de son chiffre d’affaires.

Les Echos du 30/01/17

 

DEFAILLANCES. Le nombre de défaillances d’entreprises françaises est en très net recul (- 8,3 %), se rapprochant de son niveau d’avant crise (2008).

Les Echos du 31/01/17

 

 

 

 

 


 

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Qarnot (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Qarnot (suite)
Qarnot (suite)

Révélation du palmarès
 
CHAMPIONS 2021

#Champion2021_Systematic

 

Pour la 10ème fois, Systematic Paris-Region a sélectionné des PME innovantes, membres du Pôle, qui se démarquent par leur potentiel d’innovation, leur croissance régulière, leur ambition en France et à l’international ainsi que leur capacité à l’exécuter. Elles possèdent, en outre, l’agilité, la réactivité, la résilience et le pragmatisme nécessaire pour relever les défis en cours et à venir liés au contexte économique actuel.
Depuis 2011, 61 Champions ont été distingués parmi lesquels 2 sont devenus des licornes et 4 sont désormais cotés en bourse.

Cette année, ADACORE, ECOMUNDO, IMAGINE OPTIC, QARNOT et TEHTRIS rejoignent le club sélectif des Champions du Pôle Systematic, portant désormais à 61 le nombre total de PME distinguées depuis 2011. 

Découvrons tout de suite QARNOT !

 

Qarnot est un fournisseur de services cloud spécialisés dans le calcul haute performance à faible empreinte environnementale, ayant la particularité de réutiliser la chaleur fatale informatique générée par les serveurs.

Pour cela, Qarnot installe ses infrastructures de calcul là où la chaleur est nécessaire : dans les bâtiments (logements, tertiaires, entrepôts, piscines…), réseaux de chaleur, industries…
Dans cette optique, Qarnot a développé un radiateur-ordinateur (QH.1) et une chaudière numérique (QB.1) qui embarquent des processeurs informatiques comme sources de chaleur.

Reliées à Internet, ces technologies réalisent plus ou moins de calculs informatiques suivant le besoin de chaleur de l’usager final.

Qarnot est opérateur de son propre data center distribué au niveau du edge, avec une dizaine de sites installés, comptant près de 100 000 cœurs de calcul.

Qarnot a ainsi créé une solution d’économie circulaire numérique : le déchet des uns -la chaleur dans l’informatique- est la ressource précieuse des autres, la chaleur dans le bâtiment.
 

Parmi ses dernières réussites :

Le choix de Qarnot par IMG (Illumination McGuff, une référence mondiale dans l’animation 3D, partenaire français d’Universal Pictures) pour le rendu du film d’animation Les Minions 2.

Le choix de Qarnot par Natixis pour ses besoins de calculs en position de risques, sur les sujets de performances, de sécurité et de coût.

Et enfin en Finlande, le déploiement de son premier gros marché d’infrastructure au sein d’un réseau de chaleur, permettant de concrétiser le modèle de développement à l’export.
 
Création en 2010 – Effectif : 52 collaborateurs – Implantations : France et Finlande (1er site accompagné)
 
Les atouts de Qarnot qui ont retenu l’attention du Jury : « La résilience de l’entreprise, son modèle économique qui croise le calcul haute performance et l’économie circulaire ; l’impact territorial, énergétique et l’approche distribuée de Qarnot Computing »

 

Découvrir l'interview !

https://systematic-paris-region.org/success_story/interview-qarnot-champion-2021-pole-systematic/

Pouvez-vous nous présenter Qarnot en quelques lignes ?

https://q5p6i7u4.rocketcdn.me/wp-content/uploads/2021/06/Paul_B-238x300.jpgPaul Benoît, CEO & co-fondateur de Qarnot

Paul Benoît : Qarnot est un fournisseur de services cloud spécialisés dans le calcul haute performance à faible empreinte environnementale, ayant la particularité de réutiliser la chaleur fatale informatique générée par les serveurs. Pour cela, Qarnot installe ses infrastructures de calcul là où la chaleur est nécessaire : dans les bâtiments (logements, tertiaires, entrepôts, piscines…), réseaux de chaleur, industries… Dans cette optique, Qarnot a développé un radiateur-ordinateur (QH.1) et une chaudière numérique (QB.1) qui embarquent des processeurs informatiques comme sources de chaleur. Reliées à internet, ces technologies réalisent plus ou moins de calculs informatiques suivant le besoin de chaleur de l’usager final.

Qarnot est opérateur de son propre data center distribué au niveau du edge, avec une dizaine de sites installés, comptant près de 100 000 cœurs de calcul.

Qarnot a ainsi créé une solution d’économie circulaire numérique : le déchet des uns -la chaleur dans l’informatique- est la ressource précieuse des autres, la chaleur dans le bâtiment.

Quelles sont vos plus belles réalisations ces trois dernières années ?

PB : Sur 2020, nous avons 3 belles réussites dont nous pouvons être fiers. En premier lieu, la société Qarnot a été choisie par IMG (Illumination McGuff, une référence mondiale dans l’animation 3D, partenaire français d’Universal Pictures) pour le rendu du film d’animation Les Minions 2 (dont la sortie a été repoussée par la crise sanitaire. Ensuite, nous avons convaincu l’ensemble des équipes de Natixis, pour ses besoins de calculs en position de risques, sur les sujets de performances, de sécurité et de coût. Enfin, en Finlande, Qarnot a déployé son premier gros marché d’infrastructure au sein d’un réseau de chaleur, permettant de concrétiser le modèle de développement à l’export.

Quelle aide Systematic a pu vous apporter depuis votre adhésion ?

PB : Notre adhésion chez Systematic nous a beaucoup apporté sur plusieurs points. D’abord au niveau information et veille, via les newsletters, les alertes de l’équipe. Ensuite en ce qui concerne les appels à projets : l’équipe relève souvent des opportunités intéressantes, en lien précis avec notre cœur d’activité. Concernant la visibilité de notre société au sein de l’écosystème Systematic, nous avons eu l’occasion quelques fois de présenter Qarnot et de valoriser ainsi notre savoir-faire : table-ronde, Welcome Session, matinée d’échanges, etc,… Enfin, nous commençons à nous mettre en lien avec les autres membres du Pôle, ce qui est prometteur, …  ».

Quels sont les principaux axes de votre plan de développement à 3 ans ?

PB : Nous avons 3 grands axes. D’abord l’axe Iaas : nous souhaitons en effet développer une offre Iaas adaptée à notre infrastructure distribuée et edge permettant plus de flexibilité pour nos clients, tout en conservant les spécificités de l’approche unique proposée par Qarnot. La conformité Gaïa-X fait également partie du plan de développement à court terme. Ensuite, nous avons l’axe GPU / IA pour développer une offre orientée vers l’Intelligence Artificielle permettant d’exploiter une infrastructure intégrant plus de GPU. Enfin, nous avons l’axe Europe : nous misons sur notre développement commercial à l’Europe tant pour la partie Green Cloud que pour la partie chaleur. En effet, il s’agit de capitaliser sur les réussites réalisées en France pour répliquer ce modèle en Europe, d’abord sur les segments historiques de Qarnot (animation 3D et fintech) pour ensuite poursuivre la croissance sur d’autres marchés.

Être Champion du Pôle, cela représente quoi pour vous ?

PB : Nous sommes investis dans le pôle depuis notre arrivée, convaincus que nous pouvons y apporter notre expertise et notre approche environnementale forte, et qu’en retour le pôle et ses membres nous apporterons (R&D, partenariats, clients…). Nous avons décidé d’intégrer le Directoire lors des dernières élections et sommes heureux d’avoir été élus !

Les Champions passés (avant nous, nous l’espérons !) sont tous des entreprises s’étant démarquées par leur singularité, leur caractère visionnaire, leurs performances ou leurs produits et offres atypiques. Nous croyons faire partie de la même veine que ces entreprises qui ont eu la force d’avoir eu de l’avance sur le marché et d’avoir anticipé les attentes de société.

Qarnot a pensé son offre avec une approche de “bon sens” : le problème des uns peut être résolu par le problème des autres. La chaleur, à évacuer dans l’IT, est recherchée et précieuse dans le bâtiment ! Notre approche combine la performance, l’environnement et la R&D. Nous ne présentons peut-être pas le CA le plus florissant parmi tous les concurrents, mais notre entreprise a anticipé l’avenir, nous sommes positionnés au confluent de la pollution numérique et de la transition énergétique des bâtiments, deux enjeux clefs de nos sociétés !

Devenir Champion, c’est pour nous d’abord une grande reconnaissance, la marque de la confiance du Pôle dans un modèle alternatif, vertueux environnementalement “by design”, et d’un potentiel énorme.

Marcher dans les pas des pépites devenues Champions avant nous est un encouragement à suivre leur exemple !

Nous pensons que la visibilité et l’accompagnement apportés par cette reconnaissance seront extrêmement bénéfiques pour Qarnot, dans le but d’accélérer encore sa croissance et sa notoriété !

Et si on vous demandait de définir Systematic en trois mots ?

  • Expertise
  • Réseau
  • Possible !

Carte d’identité de Qarnot :

Date de création : 2010

Effectif : 52

Implantations (France, étranger) : France, Finlande (1er site accompagné)

Labels ou récompenses obtenus : Label Green Tech Innovation

 

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2016/06/qarnot-computing-chauffer-a-moindre-cout.html

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Le rendez-vous de l'Europe : Le moment de la relance

Publié le par Jacques SAMELA.

Le rendez-vous de l'Europe : Le moment de la relance
Le rendez-vous de l'Europe : Le moment de la relance

Une initiative européenne de relance : une ambition commune pour l'Europe

https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/une-initiative-europeenne-de-relance-une-ambition-commune-pour-l-europe-848748.html?xtor=EPR-2-[l-actu-du-jour]-20200527&_ope=eyJndWlkIjoiODg0MzIyNjY3OWUxNzQwOGMwNTk3YWFlZTFiNGIxODYifQ%3D%3D

27/05/2020

(Les milieux économiques des pays de l'Union européenne (UE) ont besoin d'un plan de relance coordonné pour éviter les réflexes protectionnistes et la tentation de renationaliser les politiques européennes. Par Pierre Goguet, Président de CCI France, et Eric Schweitzer, Président du DIHK (Deutscher Industrie und Handelskammertag).

Pour surmonter la crise économique provoquée par le coronavirus, l'Europe a besoin d'un plan de relance solide qui corresponde aux besoins de tous les pays de l'UE - un compromis qui soit à la fois audacieux et financièrement responsable sur le long terme. La récente proposition franco-allemande d'un prêt européen de 500 milliards d'euros pour financer la relance européenne porte en soi une grande ambition et envoie ainsi un signal fort de solidarité dans ce contexte. A circonstances exceptionnelles, réponses exceptionnelles. Avec la relance, le plus difficile est encore devant nous. L'initiative de la France et de l'Allemagne de montrer l'exemple et de trouver de nouvelles solutions est l'attitude que nous devons voir de la part des dirigeants européens en ce moment. Une chose est sûre : notre économie souffre, et la crise actuelle réclame des réponses d'une ampleur inégalée, mais certainement à des niveaux qu'aucun Etat européen ne pourra assumer seul.

Nos entreprises doivent trouver les moyens de répondre efficacement à la profonde récession qui touche tous les Etats membres. Le ralentissement économique est évalué à 7,7% dans la zone euro pour 2020. Il était « seulement » de 4% en 2009, au cœur de la crise financière...

Les économies allemande et française dépendent fortement des exportations vers le marché unique, la reprise n'est donc possible que si tous les autres États membres se redressent également. Les entreprises allemandes réalisent 60 % de leurs activités dans l'UE, c'est globalement du même ordre pour les entreprises françaises. De plus en plus de chaînes d'approvisionnement sont transfrontalières dans toute l'Union et des milliers d'entreprises européennes sont en relation d'affaires dans d'autres Etats membres.

La déclaration commune franco-allemande va dans le bon sens

Dans ce contexte, en appelant à l'action, la déclaration commune franco-allemande va dans le bon sens. Nous devons travailler ensemble, trouver un nouveau compromis pour soutenir nos économies respectives.

Nos milieux économiques ont besoin d'un plan de relance coordonné pour éviter les réflexes protectionnistes et la tentation de renationaliser les politiques européennes. Ceci se fera  notamment en rétablissant le lien entre le potentiel de croissance de nos économies nationales et un projet européen commun.

Certains de nos principaux défis ont été révélés pendant la crise, tandis que d'autres, comme le changement climatique, la politique industrielle, le numérique, le renforcement de la R&D, étaient déjà à l'ordre du jour auparavant et doivent rester des priorités absolues.

L'Europe doit absolument voir émerger, à l'échelle de l'Union, des grands projets industriels créateurs d'emplois. Ceci ne pourra se faire qu'à travers des investissements massifs dans le développement de filières d'excellence dans des domaines clés, comme ceux de l'intelligence artificielle, des matières premières critiques, de l'hydrogène propre... La relance intégrera très probablement une réintégration de certaines de nos chaînes de valeur en Europe - et la santé en fera nécessairement partie. Une attention particulière devra être accordée à la situation des secteurs européens phares - tels que les industries aéronautique et spatiale ou l'industrie automobile - considérablement affaiblis et entraînant avec eux la R&D, la sous-traitance et des dizaines de milliers d'emplois en Europe.

Un Green Deal qui soit un Good Deal pour nos entreprises

Un autre point d'attention est le lien qui devrait exister entre le Green Deal et le développement économique, en tant que pilier de la reprise. La transition énergétique et les politiques climatiques ambitieuses de l'UE doivent être traduites en une véritable stratégie de croissance pour l'économie européenne. Toutes les mesures et tous les objectifs devraient donc être mis en perspective avec l'amélioration de la compétitivité des entreprises pour l'après-crise et au-delà. Sans aucun doute, le Green Deal réussira si c'est un Good Deal pour nos entreprises.

Nos PME, en première ligne ou sous-traitantes, devront être sensibilisées et accompagnées pour affronter tous ces changements à la fois : relance,  transformation industrielle, mutations sociales et d'approche des marchés. Le commerce international reste vital pour les entreprises de l'UE, mais il doit être davantage encadré par des règles du jeu équitables à l'échelle mondiale.  Il est indispensable que l'UE parle d'une seule voix - et plus fort qu'auparavant - sur les questions commerciales au niveau mondial, car le défi de la création de chaînes de valeur résilientes ne peut être relevé que par la coopération internationale et non par des approches de type "moi d'abord".

Des efforts importants devront être entrepris sur la question du Marché unique, qui  prend une résonance particulière avec le plan de relance. Les estimations de la Commission de 713 milliards d'euros d'avantages pour l'économie européenne d'une meilleure fluidité des échanges, montrent le potentiel important offert par une ouverture effective des frontières sur des bases communes. Ce potentiel doit absolument être libéré.

L'Europe doit également avoir l'ambition de construire un avenir pour les jeunes arrivant sur un marché du travail fortement touché dans de nombreux secteurs (aéronautique, automobile, tourisme, etc.). L'Union européenne doit travailler d'urgence avec tous les acteurs concernés pour adapter les systèmes d'éducation et de formation aux nouvelles exigences en matière de compétences, principalement la formation professionnelle et l'apprentissage. L'amélioration des compétences managériales doit également être facilitée, en particulier pour les petites entreprises.

Agir sans plus attendre

La priorité est maintenant d'agir, sans plus attendre. L'Union européenne et les États membres doivent rapidement trouver un consensus pour mettre en place toutes les mesures récemment annoncées pour soutenir l'économie européenne. Ces mesures devront être rendues aussi effectives que possible pour nos entreprises sur le terrain, en bonne coordination avec les autorités nationales, locales et tous les acteurs concernés.

Tel est le message principal. Nous avons besoin de solutions rapides, pragmatiques et à l'échelle de l'UE.

Travaillons ensemble pour trouver la voie d'une croissance durable.

 

 

Plan de relance européen : le choix fort et très politique de von der Leyen

https://www.lesechos.fr/monde/europe/plan-de-relance-europeen-le-choix-fort-et-tres-politique-de-von-der-leyen-1206173#xtor=RSS-52

le 27 mai 2020

La présidente de la Commission a présenté, mercredi, son projet pour l'avenir des finances de l'UE. Il est proche des propositions franco-allemandes et propose des transferts généreux à l'égard des pays du Sud. Un choix fort qui promet un débat musclé à 27.)

« Les mesures les plus audacieuses sont celles qui garantissent le mieux l'avenir. » En présentant, mercredi, son projet pour l'avenir des finances de l'Union européenne, Ursula von der Leyen a fait le choix de l'ambition. Prenant pour témoin l'histoire de la construction européenne, elle a suivi de près les idées qu'avaient poussées la France et l'Allemagne . Le résultat est une proposition qui fait la part belle aux subventions - à hauteur de 500 milliards d'euros - et entérine donc une petite révolution en gravant dans le marbre le principe d'une union de transferts. Les mécanismes de prêts, eux, ne dépasseraient pas les 250 milliards d'euros.

Pression

Le projet de la présidente de la Commission européenne doit, certes, obtenir l'aval des Vingt-Sept, ce qui promet un nouveau bras de fer. Mais en se rapprochant fortement de la proposition franco-allemande, et en donnant la priorité aux subventions plutôt qu'aux prêts, Ursula von der Leyen opère un incontestable choix politique et déplace le centre de gravité du débat européen, accentuant la pression sur les 4 Etats-membres (Pays-Bas, Autriche, Danemark et Suède) qui se montrent réticents à tout mécanisme de subvention . S'il était concrétisé, la réponse européenne à la crise, dans son ensemble, ne pourrait plus être taxée d'insuffisance. Outre les fonds débloqués par les Etats-membres et le bazooka monétaire de la BCE à 1.000 milliards d'euros, il faudrait ajouter les 540 milliards déjà mis sur la table pour faire face à la crise et cette réponse à 750 milliards sur trois ans.

Seule concession au camp des pays nordiques, mais chère également à Berlin : une part importante des financements serait conditionnée à une validation collective, obligeant ainsi les Etats-membres en faisant la demande à s'inscrire dans le cadre des recommandations de leurs pairs. Y compris pour faire, parfois, des réformes douloureuses.

Innovation

Au coeur de ce projet, une innovation méthodologique essentielle, et un changement de paradigme. L'innovation concerne la façon dont l'UE va financer son plan de relance. Comme cela était déjà évoqué , Bruxelles propose bien de lever elle-même des fonds sur les marchés, sur la base de simples garanties des Etats-membres - donc de sommes qui ne sont pas censées être réellement déboursées par ces derniers. Ce sont ces emprunts réalisés au nom de l'UE, à des taux vraisemblablement très avantageux, qui seraient ensuite largement déversés aux régions les plus fragilisées par la crise, sur trois ans et à compter de janvier 2021.

L'Italie, avec 173 milliards d'euros, ainsi que l'Espagne, avec 140, en seraient les premiers bénéficiaires. La France recevrait près de 39 milliards.Les remboursements, eux, ne commenceraient pas avant 2028 et pourraient s'échelonner jusqu'à 2058. Ils reposeraient sur des contributions des Etats-membres et, idéalement, de nouvelles ressources propres, c'est-à-dire de nouvelles taxes européennes. « Nous avons jusqu'à 2028 pour nous entendre sur ce point », relativise une source à la Commission. 

Changement de credo

Le changement de paradigme concerne la façon dont l'Europe pense sa souveraineté. Chantre d'une approche « géopolitique » de l'Union européenne, Ursula von der Leyen inscrit sa proposition dans la droite ligne d'une vision très française du projet européen et propose qu'une partie des financements serve à soutenir le secteur privé, en mettant l'accent sur les chaînes de valeur ou les entreprises jugées stratégiques. Donnant le coup de grâce au strict « laisser-faire » qui a longtemps été le seul credo économique de l'Union européenne, la Commission propose de passer par l'intermédiaire de la Banque européenne d'investissement (BEI) qui se chargerait d'inciter les fonds d'investissement à prendre des parts dans des sociétés jugées stratégiques . Cette approche souveraine se décline également au travers de la proposition de créer une Europe de la santé.

Exhortant les Etats-membres à être à la hauteur de l'enjeu, Ursula von der Leyen a résumé la situation et le « choix binaire » qui s'offre aux Européens : « Soit nous faisons tous cavalier seul, laissant à la traîne des pays et des régions entières, en acceptant une union de nantis et de pauvres, soit nous avançons tous ensemble, et nous faisons un grand pas en avant. Pour moi ce choix est simple à faire. » Appelant à une « union de la durabilité », elle a conclu : « Nous le devons aux générations futures. »

Gabriel Grésillon  (Bureau de Bruxelles)

 

 

Cinq choses à savoir sur le plan de relance européen

https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/cinq-choses-a-savoir-sur-le-plan-de-relance-europeen-848798.html?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=LinkedIn#Echobox=1590595562

27/05/2020

Le premier grand emprunt européen de l'histoire, de nouvelles taxes pour le rembourser, un cocktail de dons et de prêts octroyés sous conditions dont l'Espagne et l'Italie seront les principaux bénéficiaires... Voici cinq choses à savoir sur le plan de relance européen proposé, ce mercredi, par la Commission.

 

  • 1) Une dette européenne commune, une première

Pour sortir le Vieux Continent d'une récession sans précédent, la Commission européenne veut emprunter sur les marchés 750 milliards d'euros. Jamais dans l'histoire de l'Union, elle n'avait levé une telle somme au nom de l'UE.

Berlin a ouvert la voie la semaine dernière à une telle proposition: à la surprise générale, elle a opéré un virage à 180°C en prônant, aux côtés de Paris, une mutualisation des dettes entre les États membres.

Forte de sa bonne image auprès des marchés et grâce aux pays du Nord soucieux d'orthodoxie budgétaire, comme l'Allemagne et les Pays-Bas, la Commission peut emprunter à des taux d'intérêt peu élevés. Une aubaine pour les pays du Sud, comme l'Italie, dont la dette publique explose.

 

Si le paiement des intérêts commencera dès 2021, le remboursement des sommes empruntées n'aura lieu qu'à partir de 2028 et devrait s'achever en 2058.

  • 2) De nouvelles taxes européennes pour rembourser l'emprunt

Pour rembourser sa dette, la Commission propose de créer de nouvelles taxes levées dans l'Union.

Cela permettrait de ne pas augmenter les contributions nationales des 27 dans le budget européen. Il s'agit d'un argument de poids pour tous les pays qui payent davantage qu'ils ne reçoivent, et notamment pour ceux surnommés les "quatre frugaux" - Pays-Bas, Danemark, Suède et Autriche - qui refusent déjà d'accroître leur écot.

Parmi les impôts qui pourraient voir le jour, la Commission envisage une taxe carbone aux frontières de l'UE pour pénaliser les importations de produits fabriqués par des usines polluantes, un impôt sur les revenus des grandes entreprises, voire une taxe spécifique pour les sociétés numériques.

Elle voudrait aussi récupérer une partie plus importante des revenus engendrés par les droits d'émissions de CO2.

Or, les tentatives pour instaurer des taxes européennes ont jusqu'ici échoué, comme ce fut par exemple le cas pour la taxe sur les GAFA. Elles nécessitent l'unanimité des 27 de l'UE.

  • 3) Un cocktail de dons et prêts

Sur les 750 milliards d'euros, 500 milliards seraient redistribués sous forme de subventions qui ne seront pas remboursées - un montant préconisé dans le projet franco-allemand - et le reste en prêts aux États membres.

Pour des pays aux finances exsangues comme l'Italie, ces dotations sont une bouffée d'oxygène.

Reste à savoir si les quatre "frugaux", qui ont jusqu'ici seulement proposé des crédits, accepteront l'idée de dons.

  • 4) Italie et Espagne, principaux bénéficiaires

L'Italie et l'Espagne se taillent la part du lion dans ce plan et pourraient recevoir respectivement plus de 172 milliards d'euros et 140 milliards d'euros (répartis entre subventions et prêts).

Très endeuillés par la pandémie de coronavirus, ces pays ont des économies dépendant largement du tourisme, mis à mal par les mesures de confinement.

Après la Pologne (avec 63,838 milliards), la France serait le quatrième bénéficiaire avec 38,7 milliards de subventions uniquement.

L'Allemagne arrive loin derrière avec 28,806 milliards d'euros de subventions.

  • 5) Une aide octroyée sous conditions

Pour obtenir ces soutiens financiers, les pays bénéficiaires devront présenter un plan d'investissements et de réformes, censé être compatible avec les priorités de la Commission européenne.

Ces dernières sont la transition écologique et numérique, ainsi que l'amélioration de la "résilience économique". Ils devront par exemple s'efforcer d'augmenter leur autonomie stratégique dans un certain nombre de secteurs, notamment vis-à-vis de la Chine en ce qui concerne la santé.

Les bénéficiaires des fonds devront également tenir compte des recommandations de la Commission émises deux fois par an, lorsqu'elle encourage les pays membres à des réformes structurelles pour améliorer leur compétitivité.

Il n'est pas certain cependant que ces conditions soient suffisantes aux yeux des quatre "frugaux", qui appellent régulièrement les pays du Sud à la discipline budgétaire et aux réformes.

 

 

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L' Italie malgré tout

Publié le par Jacques SAMELA.

L' Italie malgré tout
L' Italie malgré tout

[Made in Italy] L’Italie sur une nouvelle dynamique au Viva Technology ?

Par Philippe Tandeau de Marsac, correspondant FrenchWeb.fr  / responsable du développement d’Invitalia Ventures SGR, le Mentor French Tech et membre du comité de pilotage French Tech Hub Milan. 17/05/2018

On le répète souvent. L’écosystème de l’innovation en Italie tarde à s’affirmer malgré les nombreuses opportunités que regorge le pays. A l’heure où l’Italie se trouve dans un contexte politique incertain, il apparait fondamental de faire du soutien à l’écosystème des startups une des priorités de la prochaine législature.

Il existe cependant des raisons de cultiver un brin d’optimisme.

Regardons les derniers investissements réalisés dans la Péninsule.

Au premier Q1 2018, les startups ont levé près de 80 millions d’euros. Certes pas de quoi pavoiser si l’on regarde les autres pays européens. Mais ce chiffre n’est pas si mauvais qu’il en a l’air. Il y a fort longtemps que des rounds d’investissements robustes ne voyaient pas le jour. Les investisseurs étrangers y ont d’ailleurs contribué fortement confirmant l’intérêt croissant pour l’Italie.

Ainsi Erydel, société de biotechnologie italienne spécialisée dans l’administration de médicaments à travers les globules rouges a levé plus de 25 millions d’euros auprès d’opérateurs spécialisés dont Sofinnova. Medical Micro Instruments, société italienne dont la mission est d’améliorer les résultats cliniques des patients subissant une microchirurgie a, quant à elle, clos un round A de 20 millions d’euros auprès notamment d’Andera Partners, anciennement Edmond de Rothschild Investment Partners. Freeda, média italien dédié aux femmes italiennes Milléniums, vient de lever 10 millions d’euros auprès du fond français Alven Capital. Enfin, Artemest, la conciergerie on line du design italien de luxe a levé 5 millions auprès d’investisseurs dont le fond de Hong Kong Nuo Capital.

Autant de signes encourageants qui ne doivent toutefois pas masquer le profond gap que l’Italie se doit de réduire rapidement en Europe. Car si les benchmarks se faisaient il y a quelques années sur la France ou l’Allemagne, ce sont désormais les exemples espagnols et/ou portugais qui forcent l’admiration.

C’est donc sur cette timide mais réelle dynamique que l’écosystème italien se présente pour la première fois à Paris à l’occasion du Viva Technology.

Organisé sous la houlette du tout nouveau « Desk Innovation » de l’Agence italienne pour le commerce extérieur à Paris, le stand accueillera une quinzaine de startups oeuvrant sur des thèmes très variés tels que mobility, health, retail, big data, robotics, IoT, tourism, AgTech, customer intelligence.

Avec pour objectif faire valoir leur technologie, pitcher devant un parterre d’investisseurs et rencontrer de potentiels partenaires.

Passons en revue ces 15 startups qui représenteront l’Italie.

CLab mise en place d’un dispositif permettant de réduire le risque lié au gaz Radon notamment sur les bâtiments existants.

Cynomys Datafalls algorithme de customer intelligence qui permet aux entreprises d’enrichir le profil des consommateurs. 

Dronyx  le premier green robot mobile en mesure de nettoyer les plages avec un haut niveau de performance.

Empatica  dispositif portable destinés aux personnes atteintes d’épilepsies

EZ Lab  plateforme permettant de faciliter la traçabilité des produits alimentaires à travers la blockchain.

GeMP  développement et commercialisation d’un e-paper display qui vise à remplacer les systèmes actuels d’affichage des prix.

INNAAS   plateforme d’analyse et de transformation as a service de données et digital services.

Next Industries développe des senseurs et gateway à travers différentes technologies wireless.

Park Smart  signale aux conducteurs de véhicules sur leur smartphone les parkings disponibles en temps réel.

PlayCast  le premier plâtre en 3D sur mesure disponible dans les meilleurs centres médicaux de réhabilitation.

Sailsquare   plateforme de mise en relation de skippers et de particuliers

Sclak développement d’une clé digitale pour ta propre habitation.

Splosh  service smart de blanchisserie à domicile.

Vega Electronics la première communauté qui récompense la conduite responsable.

Cynomys solutions connectées pour l’agrifood et en particulier pour la santé des animaux 

Intéressés pour les rencontrer ?

  • 24 mai session de pitch (09.00 @City Hub, Métropole Grand Paris pitch zone)
  • 24-26 mai (stand Italie  L-10 du « Lab & Accelerate »)   

 

Et pour plus d'informations sur l'Italie innovante https://www.economyup.it/

 

. Et pour plus d'informations encore, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 09 novembre 2016, intitulé : L'Italie, un partenaire incontournable.

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Le rendez-vous de l'Europe : La Pologne, Accords de libre échange, Existence, Horizon, Chips Act, Immigration

Publié le par Jacques SAMELA.

Le rendez-vous de l'Europe : La Pologne, Accords de libre échange, Existence, Horizon, Chips Act, Immigration
Vu et lu dans Télérama n° 3850 du 25/10/23

Vu et lu dans Télérama n° 3850 du 25/10/23

Union européenne : les accords de libre-échange génèrent 2 000 milliards d’euros de flux

https://www.lemoci.com/union-europeenne-les-accords-de-libre-echange-generent-2-000-milliards-deuros-de-flux/

Par sophie.creusillet@lemoci.com / Le 17/11/23

 

La Commission européenne a publié le 15 novembre son troisième rapport annuel sur la mise en œuvre de sa politique commerciale. Elle y constate une valeur record des marchandises échangées en 2022 avec les partenaires de ses accords de libre-échange.

L’Europe dispose du plus grand réseau d’accords de libre-échange dans le monde avec un total de 74 pays partenaires. Selon le rapport de Bruxelles, les échanges effectués dans ce cadre en 2022 ont franchi pour la première fois la barre des 2 000 milliards d’euros. Il montre également que la valeur des échanges avec les vingt principaux partenaires ont augmenté de près de 30 % en moyenne en 2022.

Par ailleurs, la Commission, en collaboration avec les États membres et les entreprises de l’UE, a également éliminé plus de 30 obstacles au commerce dans 19 pays. La suppression d’obstacles au cours des cinq dernières années a permis de débloquer 7 milliards d’euros d’exportations de l’UE pour la seule année 2022.

« Les accords commerciaux sont essentiels pour la sécurité économique de l’UE, estime Valdis Dombrovskis, vice-président exécutif et commissaire chargé du commerce. Ils soutiennent l’emploi, la croissance et l’innovation, nous aident à répondre aux chocs géopolitiques et réduisent les dépendances critiques. Le renforcement de la mise en œuvre et l’application des accords a permis à nos exportateurs de réaliser des milliards d’euros d’économies et d’accroitre la protection de l’environnement et des droits des travailleurs, ce qui signifie que nous retirons encore plus de valeur ajoutée de nos accords commerciaux. »

Pour accéder au rapport (en anglais)

https://ec.europa.eu/transparency/documents-register/detail?ref=COM(2023)740&lang=en

 

Vu et lu dans Les Echos du 28/08/23
Vu et lu dans Les Echos du 28/08/23

Vu et lu dans Les Echos du 28/08/23

 

Horizon Europe : plus de 290 millions d’euros dédiés à l’IA, aux data et l’informatique

https://www.actuia.com/actualite/horizon-europe-plus-de-290-millions-deuros-dedies-a-lia-aux-data-et-linformatique/?mc_cid=590b53b56d&mc_eid=ed2cb670a6

 

Le 16 novembre 2023, par Thierry Maubant.

L’Union européenne a annoncé hier un financement majeur de plus de 290 millions d’euros dans le cadre du programme Horizon Europe pour le numérique, l’industrie et l’espace 2023-2024. Ces investissements substantiels stimuleront la recherche et l’innovation dans des domaines clés tels que les technologies des données, l’informatique et l’intelligence artificielle.

Doté de plus de 15 Mds€ sur la période 2021-2027, le Cluster 4 Numérique, Industrie et Espace d’Horizon Europe, rassemble l’essentiel des financements de projets collaboratifs de recherche et d’innovation en lien avec la double transition écologique et numérique ainsi que les projets liés aux technologies spatiales. Une nouvelle série d’appels est lancée pour un montant de plus de 290 millions d’euros au titre du programme de travail 2023-2024.

Stimuler l’innovation dans les technologies des données et de l’informatique

L’UE a lancé une série d’appels à propositions visant à catalyser l’innovation dans les technologies des données et de l’informatique, avec une enveloppe de 85 millions d’euros. Cette initiative vise à promouvoir des systèmes et des services d’IA sans biais, avec un accent particulier sur les opérations de données alimentées par l’IA. De plus, des projets pilotes à grande échelle seront soutenus, favorisant les plates-formes industrielles de l’Internet des objets (IoT) et les technologies d’informatique de périphérie de prochaine génération.

En outre, 206 millions d’euros financeront des projets de recherche sur les technologies qui alimenteront la compétitivité numérique et technologique de l’Europe et contribueront aux objectifs du pacte vert pour l’Europe.

Soutien aux objectifs du Green Deal européen

Dans le cadre de ce financement, 60 millions d’euros seront spécifiquement alloués à la recherche sur l’IA et les solutions de données afin de soutenir les objectifs du pacte vert pour l’Europe. Les projets attendus utiliseront les données robotiques et les solutions d’IA pour optimiser l’énergie et les ressources dans les chaînes de valeur de production, contribuant ainsi à la transition vers une économie plus verte.

Investissements diversifiés dans les domaines clés de la technologie

L’UE allouera également 76 millions d’euros à des projets de recherche dans des domaines variés tels que l’IA, les données, la robotique, et les technologies photoniques.

Ces projets permettront aux robots d’accomplir des tâches non-répétitives dans des contextes quotidiens et favoriseront une intégration plus large des robots dans l’industrie et la société. L’IA et les données seront exploitées dans d’autres projets pour accélérer le développement de logiciels, les sécuriser et garantir leur bon fonctionnement sur divers appareils.

Ceux utilisant les technologies photoniques viseront à améliorer la qualité des réseaux de communication, ainsi que la création d’une “usine d’innovation photonique” afin de contribuer à accélérer l’utilisation des technologies photoniques au sein de l’industrie européenne.

Vers une architecture européenne complète de cloud et d’edge computing

Les 70 millions d’euros restants seront investis dans des projets innovants, notamment le développement de serveurs “cloud to edge”, afin de contribuer à établir une architecture européenne complète de cloud ouvert et d’edge computing.

Des fonds seront également dédiés à l’intégration de matériaux bidimensionnels dans les technologies de semi-conducteurs et à l’avancement des technologies de détection quantique, préparant ces innovations pour une mise sur le marché.

Ce financement inclut la création de prix européens annuels récompensant les contributeurs de logiciels et de matériel open source, renforçant ainsi l’engagement en faveur de la collaboration et de la transparence dans le domaine de la technologie.

La date limite de candidature est fixée au 19 mars 2024. Plus d’informations sur les demandes de subventions pour ces appels à propositions sont disponibles ici : 

https://ec.europa.eu/info/funding-tenders/opportunities/portal/screen/programmes/horizon

D’autres appels dans le cadre du numérique, industriel et spatial 2023-2024 d’Horizon Europe seront ouverts au printemps 2024.

 

Vu et lu dans Les Echos du 11/08/23 et du 26/04/23
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Station F (inauguration), incubateur (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Vus et lus dans Cnewsmatin du 29 juin 2017, Industrie & Technologies n° 996 de mars 2017, Les Echos du 09 mars 2017, et Management de novembre 2016
Vus et lus dans Cnewsmatin du 29 juin 2017, Industrie & Technologies n° 996 de mars 2017, Les Echos du 09 mars 2017, et Management de novembre 2016
Vus et lus dans Cnewsmatin du 29 juin 2017, Industrie & Technologies n° 996 de mars 2017, Les Echos du 09 mars 2017, et Management de novembre 2016
Vus et lus dans Cnewsmatin du 29 juin 2017, Industrie & Technologies n° 996 de mars 2017, Les Echos du 09 mars 2017, et Management de novembre 2016
Vus et lus dans Cnewsmatin du 29 juin 2017, Industrie & Technologies n° 996 de mars 2017, Les Echos du 09 mars 2017, et Management de novembre 2016

Vus et lus dans Cnewsmatin du 29 juin 2017, Industrie & Technologies n° 996 de mars 2017, Les Echos du 09 mars 2017, et Management de novembre 2016

Bonjour à vous,

Ce soir se déroule l’inauguration avec le président de la république de l’incubateur aux 1 000 start-up à l’initiative de Xavier Niel (Free), le dénommé « Station F », basé à Paris 13ème.

Profitant de cet évènement tant attendu, plaçant la ville de Paris dans les capitales qui compteront demain, je vous engage à lire ou à relire le dossier du 29 juin 2015 intitulé : Incubateur, la poule aux œufs d’or ?

Mais aussi à lire ces quelques informations complémentaires ci-dessous :

 

. 10 chiffres à connaître sur Station F, le plus gros campus de start-up au monde Par Claire Spohr | le 27 juin 2017 / Frenchweb.fr

C'est officiel, et c'est l'agenda du Président Macron qui aura rendu l'information publique. L'inauguration de Station F, le plus gros campus de start-up au monde, aura lieu ce jeudi 29 juin à partir de 19h30. Les premières start-up s'installeront dans les locaux réhabilités de la halle Freyssinet à partir du 1er juillet.

Focus sur 10 chiffres à connaître sur ce projet d'envergure pour l'écosystème start-up français. 

  • 21 programmes d'accélération s'y côtoieront, dont 10 programmes internationaux. On y trouvera le Founders Program, le programme d'incubation mis au point par l'équipe de Roxanne Varza, mais aussi Impulse, le programme d'incubation de Vente-privee, le Start-up Garage de Facebook, ou encore le programme de Microsoft, spécialisé dans l'IA. Des écoles, comme HEC, ont également choisi d'y être présentes. 
  • 250 millions d'euros : c'est le montant investi par Xavier Niel dans ce projet, sur ses deniers personnels. Les coûts de fonctionnement sont estimés entre 7 et 8 millions d'euros par an. L'entrepreneur français a souligné que l'ambition de Station F n'était pas d'être rentable à tout prix, mais plutôt d'aider l'écosystème français. 
  • Au total, 1 000 start-up devraient être accueillies sur place. Plus de 3 000 postes de travail seront disponibles, ainsi que plus de 60 salles de réunion, un auditorium de 370 places, un fablab, un pop-up store, etc. 
  • 3 ans : c'est la durée des travaux pour réhabiliter l'espace de 34 000 mètres carrés, situé dans le 13e arrondissement de Paris. A noter, l'inauguration de Station F aurait dû avoir lieu en avril. Elle a été décalée en raison d'un dégât des eaux. 
  • Le bâtiment sera divisé en 3 grands espaces, avec des fonctions bien distinctes: la zone Share sera dédiée au travail et la zone Create facilitera les échanges. Dans la zone Chill, les entrepreneurs pourront se détendre et se restaurer, dans un espace ouvert au public. Au total, le bâtiment proposera 8 espaces dédiés à l'événementiel. 
  • 28 ans : c'est l'âge moyen de l'équipe qui anime le lieu. «Si vous avez plus de 40 ans, vous n'êtes pas légitime à être là», a indiqué Xavier Niel à l'AFP. A l'heure actuelle, une douzaine de personnes travaille sur le projet. Des recrutements sont en cours pour étoffer l'équipe. 
  • Dans un futur proche, l'équipe de Station F souhaite étendre le projet, et proposer une solution d'hébergement aux entrepreneurs. Ce co-living space devrait à terme accueillir 600 personnes, dans 100 appartements partagés. Situé à une dizaine de minutes de Station F, il sera équipé d'une salle de fitness et d'un bar privé. 
  • 195 euros par mois : c'est le tarif du Founders Program développé par Station F. Cela correspond à un poste de travail à temps plein, en plus de l'accompagnement sur site. Les entreprises sélectionnées pour faire partie de ce programme pourront intégrer le campus de start-up à compter d'octobre 2017. 
  • Le Selection Board du Founders Program de Station F est composé de 100 entrepreneurs français, présents dans 21 pays. Parmi ces entrepreneurs, 5 sont à la tête de licornes et 3 ont réalisé une IPO. Ils ont levé 5 milliards d'euros en cumulé. On y trouve notamment Alix de Sagazan (AB Tasty), Thierry Petit (Showroomprivé) ou encore Céline Lazorthes (Leetchi). 

 

. Quels programmes d’accélération seront hébergés à Station F ? Par Claire Spohr | le 28 juin 2017 / Frenchweb.fr

Après trois ans de travaux, Station F ouvrira ses portes le 1er juillet prochain, après son inauguration ce jeudi 29 juin. Au total, ce sont 1 000 start-up qui seront accueillies dans un espace de 34 000 mètres carrés, aménagé pour faciliter les échanges entre les entrepreneurs. 

Outre le Founders Program, développé par Station F, des entreprises y implanteront leurs incubateurs corporate, comme Microsoft ou encore Facebook. Au total, 21 programmes d'accélération y cohabiteront. Tour d'horizon de ces différents programmes hébergés à la halle Freyssinet. 

  • Microsoft s'associe à l'INRIA pour proposer son programme d'accélération dédié aux entreprises de l'intelligence artificielle. Au démarrage, 5 à 6 entreprises sont sélectionnées, pour tester le programme. L'objectif à terme: fédérer une communauté d'une centaine de sociétés de ce secteur en plein essor. 
  • Facebook a choisi Station F pour installer son tout premier incubateur corporate, baptisé le Start-up Garage. D'une durée de 6 mois, l'accompagnement concernera des «projets qui valorisent les données pour créer des services utiles à la vie quotidienne, à la santé, aux transports et à l'éducation». Ces derniers devront aussi mettre «au coeur de leur activité la confiance, la transparence et le contrôle des utilisateurs sur leurs données», déclare la société dans un communiqué. 12 start-up ont été sélectionnées pour participer à la première promotion, parmi lesquelles Jam, Alan ou encore Mapstr. 
  • Le spécialiste des jeux vidéo Ubisoft a également annoncé le lancement d'un programme d'accélération au sein de Station F. Dédié aux entreprises du gaming et du divertissement, il sera testé auprès de 5 start-up au démarrage. 
  • Vente-privee lance Impulse, son incubateur spécialisé dans la Fashion Tech et le retail. 80 postes de travail seront installés au sein de Station F pour ce programme, qui s'adresse à des start-up ayant déjà fait leurs preuves. Les sociétés doivent en effet compter entre 2 et 6 salariés, et avoir déposé leurs statuts depuis plus de 18 mois pour être éligibles. 
  • Thalès lance son programme d'incubation dédié aux entreprises de la cybersécurité. Au total, 20 start-up seront sélectionnées pour y participer. 
  • Du côté des écoles, l'EDHEC, une école de management basée à Lille et à Nice, a choisi d'installer une antenne de EYE, son incubateur, au sein de Station F. HEC y installe également son incubateur. Schoolab, l'accélérateur de projets parisien, en partenariat avec le pôle PEPITE Ile-de-France et les PEPITE franciliens, disposera de 40 postes de travail sur place. Le réseau des anciens d'Arts et Métiers a également choisi Station F pour lancer son accélérateur de projets hardware. 
  • Les programmes d'accompagnement et les réseaux de soutien à l'innovation existants ne sont pas en reste. Le Numa a ainsi annoncé le lancement d'un programme dédié à Station F, le Scale Hub. Ashoka a quant à lui annoncé le lancement d'Ashoka Village. 72 postes de travail seront dédiés aux entrepreneurs sociaux accompagnés sur place. L'Usine.io, spécialisé dans l'accompagnement de projets hardware, lance également un programme dédié, baptisé Focus. Impulse Labs, réseau d'accélérateurs dédiés à la construction, à l'immobilier, aux nouvelles formes de mobilités et aux infrastructures, sera présent, de même que ShakeUpFactory, un accélérateur spécialisé dans la FoodTech. L'Américain Plug and Play s'associe quant à lui avec BNP Paribas pour développer un programme dédié à la Fintech et à l'Insurtech.
  • Pas moins de 10 programmes d'incubation internationaux seront hébergés sur place. On y retrouve notamment Space Green, le programme développé par le Sud-Coréen Naver, pour les start-up spécialisées dans les contenus augmentés. Serrinnov, basée en Chine, a également choisi d'installer un programme d'accélération d'un an à Station F. L'éditeur de logiciels CRM américain Zendesk disposera de 47 postes de travail pour accélérer des projets.  
  • Le réseau d'incubateurs Creative Valley et l'Institut Français de la Mode (IFM) s'associent pour développer un programme d'accélération dédié aux entreprises des industries créatives. L'école Télécom Paris Tech accompagnera les sociétés les plus avancées sélectionnées pour y participer. 
  • Le Conseil National des Professionnels de l'Automobile (CNPA), en partenariat avec Via ID, lance MooveLab, un parcours de 6 mois. Les start-up travaillant sur la problématique des nouvelles mobilités adhérentes ou partenaires du CNPA peuvent envoyer un dossier de candidature.
  • L'Institut du Cerveau et de la Moelle Epinière (ICM) disposera d'une centaine de postes de travail, pour les sociétés accompagnées par son incubateur, l'iPEPS.
     
     
Vu et lu dans Le Parisien Magazine du 06 mai 2016

Vu et lu dans Le Parisien Magazine du 06 mai 2016

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 29/06/15, intitulé : Incubateur, la poule aux œufs d'or ?

Vus et lus dans le Parisien Magazine du 27 février 2017, et Les Echos du 07 mars, du 23 mai et du 04 juin 2017
Vus et lus dans le Parisien Magazine du 27 février 2017, et Les Echos du 07 mars, du 23 mai et du 04 juin 2017
Vus et lus dans le Parisien Magazine du 27 février 2017, et Les Echos du 07 mars, du 23 mai et du 04 juin 2017

Vus et lus dans le Parisien Magazine du 27 février 2017, et Les Echos du 07 mars, du 23 mai et du 04 juin 2017

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