13 résultats pour “phenix”
Phenix (suite)
Et pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le sujet du 11 janvier 2017
Tel un Phenix (suite)
Et pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le sujet du 11 janvier 2017
Phenix (suite)
Et il y a de cela deux ans (11/01/17), Baptiste Corval, l'un des dirigeant de cette société, me fit l'honneur de me la présenter. En voici le lien et bonne lecture :
Phenix (suite)
Et il y a de cela deux ans (11/01/17), Baptiste Corval, l'un des dirigeant de cette société, me fit l'honneur de me la présenter. En voici le lien et bonne lecture :
Phenix (suite)
Phenix, le spécialiste de l'antigaspillage, lève 15 millions d’euros
La startup de la Tech For Good, Phenix, a levé 15 millions d’euros. Une somme importante pour continuer de renforcer son impact social et environnemental.
Jean Moreau, CEO de Phenix. Crédit : Phenix.
Importante levée de fonds pour la Tech For Good. Phenix, le spécialiste de l’antigaspillage, annonce avoir levé 15 millions d’euros. L’entreprise créée en 2014 accueille donc à son capital trois nouveaux fonds spécialisés : BNP Paribas Solar Impulse Venture Fund, le fonds BNP Paribas Social Business Impact et Lombard Odier Investment Managers Sustainable Investments via leurs fonds Private Equity. Dans ce tour de table également, des actionnaires historiques de Phenix : INCO Ventures, ETF Partners, Danone Manifesto Ventures et le fonds Ville de demain.
UN MILLIARD DE REPAS SAUVÉS EN 2027
Phenix propose des solutions tech pour trouver un débouché aux invendus alimentaires et non-alimentaires. L’entreprise espère, avec cette levée de fonds, renforcer son impact social et environnemental en Europe. Phenix entend se renforcer dans les pays où il est déjà implanté : en France, Espagne, Portugal, Italie et Belgique.
Grâce à ce soutien financier, la startup espère franchir la barre des dix millions de téléchargements de son application en 2024 et également celle du milliard de repas sauvés en 2027. Phenix souhaite ainsi devenir une « licorne à impact ». Rappelons qu’une licorne est une startup, non cotée en bourse, dont la valorisation dépasse le milliard de dollars.
UNE LEVÉE DE FONDS DANS UN CONTEXTE ÉCONOMIQUE PERTURBÉ
Jean Moreau, cofondateur de Phenix, se félicite du montant conséquent levé dans un contexte économique pourtant perturbé, durant lequel les levées de fonds se font plus rares :
Cela prouve qu’une entreprise de l’économie sociale et solidaire peut attirer des financements conséquents avec des investisseurs prestigieux. Cela prouve que l’écosystème peut se donner les moyens de ses ambitions pour changer d’échelle et devenir progressivement dominant », Jean Moreau, CEO de Phenix.
L’entrepreneur considère également que cette levée de fonds est la consécration des startups qui ont une gestion saine et qui ne misent pas sur l’hypercroissance. Phenix vise la rentabilité pour l'année 2023.
2 000 ASSOCIATIONS CARITATIVES
Depuis 2014, Phenix met en relation grâce à sa plateforme des professionnels et près de 2 000 associations caritatives ainsi que cinq millions de consommateurs. L’entreprise a déjà permis d’éviter la destruction de 200 millions de repas grâce à cinq solutions différentes.
La rédaction
Rappelez vous ou découvrez le, Baptiste Corval, l'autre fondateur de la société, me fit l'honneur en 2017 de présenter leur création.
Phenix (suite et confirmation)
L’Europe et l’Asie dans le viseur de Phenix pour lutter contre le gaspillage alimentaire
Le 10/03/2021
Interview de Jean Moreau, co-fondateur et CEO de Phenix
Crédit : Phenix.
Sur un marché européen où le gaspillage alimentaire représente une perte de 143 milliards d’euros et 88 millions de tonnes de nourriture jetées chaque année, le chantier est immense. Parmi les acteurs qui luttent contre ce gaspillage alimentaire, la start-up française Phenix veut gagner du terrain en Europe.
Déjà présente en France, en Espagne et au Portugal, la société déploie ses services en Belgique et en Italie.
Dans le cadre de son expansion à l’international, Phenix mise sur son application mobile lancée en janvier 2019 pour permettre aux consommateurs d’acheter à prix réduit les invendus de près de 6 000 commerces (supermarchés, magasins bio, épiceries, boulangers, bouchers, fromagers…).
Utilisée par 1,5 million de personnes, cette application vient s’ajouter à la plateforme initiale déployée par l’entreprise pour jouer le rôle d’intermédiaire entre les professionnels (enseignes de grande distribution, industriels, producteurs…), à la recherche d’économies sur leurs coûts de traitement des déchets, et les associations, pour sauver les invendus de la poubelle.
Une présence dans 10 pays européens en 2023
Depuis sa création en 2014 par Baptiste Corval et Jean Moreau, Phenix indique avoir permis de sauver 115 millions de repas de la poubelle, dont 44 millions rien qu’en 2020. En moyenne, la société permet de sauver 120 000 repas par jour, soit 60 tonnes de produits alimentaires. Alors qu’elle cherche à passer la vitesse supérieure depuis son tour de table de 15 millions d’euros, bouclé en en novembre 2018, la start-up se fixe pour objectif de sauver plus de 450 000 repas par jour à l’horizon 2023 avec une présence dans une dizaine de pays européens.
Toutefois, Phenix ne lorgne pas que sur le marché européen. La société s’intéresse également à l’Asie, où elle mène d’ailleurs un test à Hong Kong, avant un éventuel déploiement dans plusieurs grandes villes asiatiques.
Une approche qui tranche avec celle de Too Good To Go, qui a levé 25 millions d’euros en janvier pour accélérer son développement aux États-Unis. Outre-Atlantique, la société dirigée par Lucie Basch espère sauver 4 millions de repas en 2021. Si Phenix surveille le marché américain, le moment n’est pas venu de s’y lancer aux yeux de Jean Moreau, co-fondateur et CEO de Phenix : «On considère que le marché américain n’est pas encore totalement mature.» La société française a déjà de quoi faire en Europe et en Asie.
Il y a de cela plus de trois ans (11/01/17), Baptiste Corval, l'un des dirigeant de cette société, me fit l'honneur de me la présenter. En voici le lien :
http://competitiviteinfrance.overblog.com/2017/01/phenix-et-la-seconde-vie-des-produits.html
Phénix au zenith (suite)
Phénix lève 15 millions d’euros pour lutter contre le gaspillage en Europe
08/11/2018 /frenchweb.fr
Le montant
La start-up française Phénix, qui lutte contre le gaspillage, a bouclé un tour de table de 15 millions d’euros mené par Environmental Technologies Fund (ETF Partners) et Bpifrance via le fonds Ville de Demain. Sofiouest, société d’investissement du groupe Ouest-France, et Arkéa via son fonds We Positive Invest ont également participé à l’opération.
Le marché
Fondée en 2014 par Baptiste Corval et Jean Moreau, Phénix accompagne les entreprises, collectivités et associations dans leur transition vers l’économie circulaire, avec des solutions de réduction du gaspillage et de valorisation des déchets. Le défi est de taille pour l’entreprise puisque 10 millions de tonnes d’aliments consommables finissent chaque année à la poubelle en France, ce qui représente 16 milliards d’euros gaspillés, selon l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie).
Dans ce contexte, Phénix joue le rôle d’intermédiaire entre les enseignes de grande distribution, à la recherche d’économies sur leurs coûts de traitement des déchets, et les associations pour sauver les invendus de la poubelle. La société travaille avec plus de 950 associations (Croix-Rouge, Restos du Coeur, Secours Populaire…) et 1 000 clients en France pour lutter contre le gaspillage.
Elle se développe également en Espagne et au Portugal. Depuis sa création, il y a quatre ans, la jeune pousse assure avoir sauvé 15 000 tonnes de produits alimentaires ayant permis la distribution de 30 millions de repas. La société s’occupe aussi du traitement des déchets non-alimentaires (produits agricoles ou industriels) pour les valoriser au maximum.
Pour lutter contre le gaspillage alimentaire, plusieurs initiatives ont vu le jour au cours de ces dernières années. C’est notamment le cas de l’application Too Good To Go, qui permet d’acheter les invendus des commerçants (boulangers, traiteurs, supermarchés, hôtels…). La société fondée et dirigée par Lucie Basch affirme sauver 7 tonnes de nourriture par jour.
Les objectifs
Ce tour de table doit permettre à Phénix d’accélérer son développement à l’international. Dans le même temps, la société compte investir dans le développement de nouveaux services digitaux et d’étendre son activité vers la gestion d’autres flux de déchets. «Cette levée de fonds nous donne les moyens d’étendre notre présence en France et à l’étranger, tout en étoffant notre offre au-delà de l’alimentaire», indique Jean Moreau, co-fondateur et président de Phénix.
Phénix : les données clés
Fondateurs : Baptiste Corval et Jean Moreau
Création : 2014
Siège social : Paris
Activité : lutte contre le gaspillage
Financement : 15 millions d’euros en novembre 2018
Et il y a de cela presque deux ans, Baptiste Corval, l'un des dirigeant de cette société, me fit l'honneur de présenter sa société. En voici le lien et bonne lecture :
http://competitiviteinfrance.overblog.com/2017/01/phenix-et-la-seconde-vie-des-produits.html
PHENIX et la seconde vie des produits
PHENIX est un nom qui pour nous (fondateurs) à un double sens, car à la fois il illustre parfaitement notre activité, les produits renaissant de leurs cendres, mais aussi représente une renaissance pour nous, suite à notre précédente aventure qui s'est terminée de manière compliquée.
PHENIX est donc pour nous une quête de sens, avec une envie de créer un vrai business, ayant pour finalité de servir l’intérêt général. C'était tout l'enjeu d'ailleurs, construire un modèle économique profitable tout en ayant de l'impact sur le plan social et environnemental.
Aujourd'hui, et ce depuis mars 2014, c’est une présence nationale dans 13 grandes villes, avec plus de 50 personnes luttant au quotidien pour réduire le gaspillage et donner une deuxième vie aux produits de nos clients. Nous sommes là pour faire de la poubelle l'exception, avec aujourd'hui plus de 4.000 tonnes de déchets évités et plus de 6 millions de repas distribués via nos associations partenaires.
En gros nous sommes aujourd'hui un hub d'interconnexion entre nos clients et les différentes filières de valorisation, notamment concernant le don aux associations, qui fait partie de l' ADN de PHENIX, mais pas uniquement.
En effet, nous travaillons à vider les poubelles de nos clients, et, si le don est une priorité pour nous, nous intervenons aussi sur des produits que l’on ne peut plus donner, alimentaire ou non.
Je pense donc que la force de PHENIX c'est de proposer constamment à ses clients de nouveaux services, d'innover dans un monde où les flux étaient plutôt figés : Je sors mes produits du rayon, je les mets à la poubelle.
Avec PHENIX, nos clients travaillent avec une multitude d'acteurs et nous transformons leurs déchets en matière première pour des entreprises, associations, ou encore collectifs d'artistes comme Zoo, etc...
Un exemple assez atypique, avec il y a 1 an plus de 1000 cassettes VHS impossible à donner à des associations qui n'en auraient pas eu l'utilité. Nous avons donc trouvé des stylistes qui fabriquaient des vêtements à partir de bande vidéo.
On voit bien dans cet exemple que pour eux les cassettes étaient une vraie matière première, qu'ils ont pu récupérer à moindre frais, évitant à notre client de payer des coûts de destruction, et lui permettant de donner une belle seconde vie à ses produits.
Mais un des succès de PHENIX, c'est d'avoir su percer dans le monde de la distribution sans en être issu, avec en plus un modèle de fonctionnement assez atypique pour le milieu.
Aujourd'hui, nous sommes une entreprise solide et reconnue, qui connait une forte croissance.
Mais le plus gros succès pour moi, en tant qu'entrepreneur, c'est d'avoir su fédérer et regrouper une équipe hétérogène autour d'une même cause et avec une dynamique incroyable.
On met souvent en avant les co-fondateurs de telle ou telle start-up, et on valorise souvent les boites par leur CA ou leurs perspectives, mais la vraie valeur d'une start-up, ce sont les femmes et les hommes qu'il y a derrière, « SansEuxOnestRien ».
Et dans l'avenir comment je vois PHENIX ?
Pour moi on est amené à remplacer des acteurs comme Véolia/SUEZ sur la partie déchet, et à les embarquer avec nous dans la dynamique de l'économie circulaire. C'est ambitieux, mais réaliste, après tout c'est fini l'époque où les gros mangent les petits, on est à l'époque où les rapides mangent les lents.
Baptiste Corval - Co-Fondateur
Phenix (suite)
Phénix met la main sur Graapz pour sensibiliser les consommateurs au gaspillage alimentaire
11/03/2019 / frenchweb.fr
Phénix poursuit sa montée en puissance pour lutter contre le gaspillage alimentaire dans toute l’Europe. Après avoir levé 15 millions d’euros en novembre dernier, la société française, qui récupère et valorise les déchets alimentaires de la grande distribution, vient de s’offrir la start-up Graapz, spécialisée dans la revente de paniers de fruits et légumes invendus. Les modalités financières de l’opération n’ont pas été dévoilées.
Fondée en juillet 2017 par Florence Durillon et Alexandre Durand, Graapz a vu le jour en partant d’un constat terrible : les fruits et légumes représentent 50% du gaspillage alimentaire.
Dans ce contexte, la jeune pousse parisienne a développé un service anti-gaspi pour sauver de la poubelle les invendus des marchands de fruits et légumes. Grâce à une application mobile, ces derniers peuvent ainsi vendre ces produits en surplus à prix réduits auprès des consommateurs.
Depuis sa création, la solution de Graapz a convaincu une centaine de commerces en France et en Belgique, ainsi que des enseignes de la grande distribution comme Carrefour et Franprix. La société assure qu’elle a permis de sauver plus de 30 tonnes de fruits et légumes l’an passé avec la revente de 10 000 paniers.
Une application mobile pour proposer les invendus des commerces de proximité
L’acquisition de Graapz, société préalablement incubée au sein du Phénix Lab, la structure d’accélération de Phénix, doit permettre à l’entreprise lancée en 2014 par Baptiste Corval et Jean Moreau d’enrichir son offre à destination des consommateurs.
Celle-ci s’est matérialisée par la création d’une application mobile qui permet d’acheter à bas prix les invendus des commerces de proximité. Cette approche rappelle celle de l’application Too Good To Go, qui permet également d’acheter les invendus des commerçants (boulangers, traiteurs, supermarchés, hôtels…).
Avant de lancer son application mobile en janvier, Phénix s’adressait uniquement aux entreprises, collectivités et associations en les aidant dans leur transition vers l’économie circulaire avec des solutions de réduction du gaspillage et de valorisation des déchets.
Pour rappel, ce sont 10 millions de tonnes d’aliments consommables qui finissent chaque année à la poubelle en France, ce qui représente 16 milliards d’euros gaspillés, selon l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie). Depuis sa création en 2014, la société, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 9 millions d’euros l’an passé, indique avoir sauvé et redistribué plus de 30 millions de repas auprès de son réseau de partenaires.
Et il y a de cela deux ans (11/01/17), Baptiste Corval, l'un des dirigeant de cette société, me fit l'honneur de me la présenter. En voici le lien et bonne lecture :