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Le Louvre (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Vus et lus dans Télérama n° 3541 du 22/11/17, Le monde du 10/01/18, et Natural Geographic de décembre 2017
Vus et lus dans Télérama n° 3541 du 22/11/17, Le monde du 10/01/18, et Natural Geographic de décembre 2017
Vus et lus dans Télérama n° 3541 du 22/11/17, Le monde du 10/01/18, et Natural Geographic de décembre 2017
Vus et lus dans Télérama n° 3541 du 22/11/17, Le monde du 10/01/18, et Natural Geographic de décembre 2017
Vus et lus dans Télérama n° 3541 du 22/11/17, Le monde du 10/01/18, et Natural Geographic de décembre 2017

Vus et lus dans Télérama n° 3541 du 22/11/17, Le monde du 10/01/18, et Natural Geographic de décembre 2017

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 13 juillet 2016, intitulé : La petite histoire du plus grand musée du monde.

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OVH (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Vus et lus dans Les Echos du 17 et du 18/10/17, du 11/11/17, et l'Usine Nouvelle n° 3535 du 26/1/17
Vus et lus dans Les Echos du 17 et du 18/10/17, du 11/11/17, et l'Usine Nouvelle n° 3535 du 26/1/17
Vus et lus dans Les Echos du 17 et du 18/10/17, du 11/11/17, et l'Usine Nouvelle n° 3535 du 26/1/17
Vus et lus dans Les Echos du 17 et du 18/10/17, du 11/11/17, et l'Usine Nouvelle n° 3535 du 26/1/17
Vus et lus dans Les Echos du 17 et du 18/10/17, du 11/11/17, et l'Usine Nouvelle n° 3535 du 26/1/17
Vus et lus dans Les Echos du 17 et du 18/10/17, du 11/11/17, et l'Usine Nouvelle n° 3535 du 26/1/17

Vus et lus dans Les Echos du 17 et du 18/10/17, du 11/11/17, et l'Usine Nouvelle n° 3535 du 26/1/17

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 05 décembre 2013, intitulé : OVH, une réussite française

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Blade, Glowee, Sigfox (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Vu et lu dans Mag'in France n°6 de mars/avril 2017
Vu et lu dans Mag'in France n°6 de mars/avril 2017
Vu et lu dans Mag'in France n°6 de mars/avril 2017
Vu et lu dans Mag'in France n°6 de mars/avril 2017

Vu et lu dans Mag'in France n°6 de mars/avril 2017

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 10 janvier 2018, intitulé : Blade, de l'ombre à la lumière.

Vu et lu dans Geo Hors Série

Vu et lu dans Geo Hors Série

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 23 mars 2017, intitulé : Glowee, et la lumière (bioluminescente) fût.

Vu et lu dans Les Echos du 22 décembre 2017

Vu et lu dans Les Echos du 22 décembre 2017

Sigfox et SeniorAdom signent un contrat de 300 millions d’euros pendant la visite du président Macron en Chine 

Le 10/01/18 / Frenchweb.fr

Outre l’entretien de bonnes relations diplomatiques, un voyage d’État, c’est aussi l’occasion de moissonner de gros contrats. A l’occasion de la visite officielle du président Macron en Chine, accompagné d’une cinquantaine de chefs d’entreprise, l’expertise technologique française a été mise à l’honneur avec le partenariat entre SeniorAdom et Sigfox réunis en consortium d’une part, et la ville de Chengdu de l’autre. La signature de l’accord s’est faite en présence des présidents Emmanuel Macron et Xi Jinping.

Il s’agit de déployer une solution de téléassistance à destination des aînés dans les 20 plus grandes villes chinoises, pour 300 millions d’euros, après une année de test auprès de 1500 personnes à Chengdu en 2018. La Chine compte plus de 200 millions de seniors.

Cette solution est composée de capteurs de mouvements, d’ouverture de porte et d’un pendentif d’alerte ainsi que de géolocalisation. Elle est conçue pour détecter automatiquement des anomalies de comportement susceptibles d’être la conséquence d’une chute, d’un malaise ou d‘un début de fragilité mentale (Alzheimer).

Cette solution repose, d’une part, sur les algorithmes auto-apprenants développés avec succès par la société SeniorAdom et qui sont opérationnels depuis déjà 3 ans en France, et, d’autre part, sur la technologie développée par Sigfox permettant de transmettre des données à très bas coût tout en étant très économe en énergie.

Pour SeniorAdom, Thierry Roussel, co-fondateur : « Après une année de travail avec les autorités françaises et chinoises et notre partenaire Sigfox, nous sommes fiers de constater que le savoir-faire français peut mobiliser et séduire une si grande nation, qui approche le marché de la dépendance avec un pragmatisme exemplaire, en faisant de la prévention un axe fort.

Nous souhaitons également saluer le formidable soutien de notre ambassade à Pékin, de la Bpi, de Business France et de nos ministères particulièrement moteurs et impliqués tout au long des négociations. Pour SeniorAdom, c’est, après 5 années d’existence, une formidable reconnaissance de notre savoir-faire et un formidable tremplin pour notre déploiement international ».

Sigfox est le premier fournisseur mondial d’une solution de connectivité dédiée à l’Internet des objets (IoT). Le réseau Sigfox est disponible dans 43 pays et le sera dans 60 pays d’ici fin 2018. Avec des millions d’objets enregistrés et un écosystème de partenaires grandissant, Sigfox offre aux entreprises d’être à la pointe de l’innovation en matière d’IoT.

Fondée en 2010 par Ludovic Le Moan et Christophe Fourtet, l’entreprise est basée à Labège, près de Toulouse, au sein de l’IoT Valley française. Sigfox possède également des bureaux à Paris, Madrid, Munich, Boston, San Francisco, Dubaï et Singapour.

Créée en 2012, SeniorAdom a développé une solution de télébienveillance permettant de détecter automatiquement, sans rien avoir à porter, des situations anormales pouvant être la conséquence de chutes, malaises ou le signe d’un début de fragilité. SeniorAdom est accompagné dans son développement par des actionnaires comme la Caisse des Dépôts, ou encore AG2R La Mondiale.

 

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 24 mars 2015, intitulé : Sigfox, l'envol du papillon.

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Airbus, Arianespace (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Vus et lus dans Les Echos du 16/11/17 et du 16/01/18, et me Magazine du Monde du 16/12/17
Vus et lus dans Les Echos du 16/11/17 et du 16/01/18, et me Magazine du Monde du 16/12/17
Vus et lus dans Les Echos du 16/11/17 et du 16/01/18, et me Magazine du Monde du 16/12/17

Vus et lus dans Les Echos du 16/11/17 et du 16/01/18, et me Magazine du Monde du 16/12/17

L'A380 redécolle avec Emirates

Le Figaro / Le 18/01/18

Emirates annonce une nouvelle commande d'Airbus A380 qui porte sur 36 superjumbos, dont 20 fermes et 16 en option. Le contrat, qui redonne un avenir à l'appareil géant, est estimé à 16 milliards de dollars, au tarif catalogue.

L'A380 reprend de l'altitude. Emirates a annoncé une nouvelle commande, qui porte sur 36 superjumbos, dont 20 fermes et 16 en option, pour une valeur de 16 milliards de dollars, au tarif catalogue. Un soulagement pour Airbus qui, faute de nouvelles commandes, n'excluait plus d'arrêter le programme, dix ans à peine après la mise en service du premier A380 par Singapore Airlines. «Emirates est la clef pour l'avenir à long terme du programme. Très honnêtement, si nous n'arrivons pas à un accord, nous n'aurons d'autre choix que d'arrêter l'A380», avait alerté John Leahy, le directeur commercial d'Airbus, lundi 15 janvier, en marge de la présentation du bilan commercial du géant européen de l'aéronautique.

Avec cette nouvelle commande, Emirates redonne un horizon au superjumbo européen et marque sa confiance dans le programme. La compagnie de Dubaï renforce son rang de tout premier client de l'A380 avec un total de 178 appareils commandés sur 353 accumulés par l'appareil. Elle a obtenu des garanties de la part de l'avionneur sur la pérennité du programme. 

Une bouffée d'oxygène pour les salariés et les sous-traitants

Airbus espérait annoncer cette commande pendant le salon aéronautique de Dubaï en novembre dernier. Mais les négociations n'avaient pas abouti. L'avionneur et son client avaient poursuivi les discussions depuis. Le week-end dernier, un nouveau round de négociations avait tourné court. John Leahy, le légendaire supervendeur d'Airbus, avec 16.000 ventes à son actif, restait malgré tout optimiste. Il avait précisé, lundi dernier, que plusieurs négociations étaient sur le point d'aboutir «dans les prochains jours ou les prochaines semaines».

John Leahy peut partir à la retraite, à la fin du mois de janvier, avec le sentiment du devoir accompli. De son côté, Cheikh Ahmed Ben Saïd al-Maktoum, président d'Emirates, a tenu sa promesse. «Je ne crois pas que je laisserai John Leahy partir à la retraite avant d'avoir signé encore une grosse commande d'A380 au moins», avait-il lâché début novembre. Les deux hommes ont signé, ce jeudi matin à Dubaï, l'engagement d'achat, le contrat en bonne et due forme devant être paraphé rapidement.

Cette nouvelle commande apporte une bouffée d'oxygène aux quelque 5000 salariés d'Airbus qui travaillent sur le programme A380, aux sous-traitants ainsi que plus généralement à l'Europe qui a soutenu le projet, dès le lancement en 2000, sous forme d'avances remboursables.

Ce contrat sécurise un flux de production d'un A380 par mois jusqu'aux alentours de 2028. Airbus, qui a réduit la cadence de 2,5 avions par mois en 2016 à 0,7 en 2017 et qui devait encore la baisser en 2018, devra procéder à un léger ajustement à la hausse de la production. Il faudra attendre les premières commandes chinoises pour réenclencher une véritable remontée de cadence.

Ce nouveau contrat peut également créer le déclic chez d'autres compagnies aériennes et entraîner une nouvelle vague de commandes. Pour imposer l'A380 en Chine, Airbus est prêt à nouer un partenariat industriel comme l'avionneur l'a fait pour l'A320 et l'A330 à Tianjin.

«Nous y sommes ouverts», a souligné Fabrice Brégier, président d'Airbus aviation commerciale. Il plaide pour davantage «de marketing et de pédagogie» afin que «l'A380 soit vu non pas comme un risque mais comme un atout pour que les compagnies chinoises captent la hausse du trafic qui est aujourd'hui aux mains des compagnies internationales». «Le plus grand marché au monde mérite le plus grand avion au monde», a-t-il conclu.

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 03 juin 2013, intitulé : Airbus, de l'A300 à A350

Vu et lu dans Les Echos du 16 et du 19/12/17
Vu et lu dans Les Echos du 16 et du 19/12/17

Vu et lu dans Les Echos du 16 et du 19/12/17

1 milliard d’euros pour la production des 10 dernières Ariane 5

La Tribune / 11/01/2018

 

ArianeGroup et sa filiale Arianespace annoncent la commande de 10 lanceurs Ariane 5 ECA. Les 10 Ariane 5 de ce lot seront lancées à partir de 2020 depuis le Centre Spatial Guyanais, à la suite des 18 Ariane 5 commandées en 2013. Cette mise en production représente un total de plus d’1 milliard d’euros pour l’industrie spatiale européenne, soit plus de 600 sociétés dans 12 pays européens, dont 350 petites et moyennes entreprises.

Avec cette commande, le nombre de lanceurs Ariane 5 en cours de production ou restant à produire est porté à 23. L’industrie confirme ainsi son engagement à consolider la compétitivité de l‘offre de lancement européenne avant même l’arrivée d’Ariane 6, dont le 1er vol est prévu mi-2020 pour une pleine capacité en 2023.

Cette décision permet ainsi à ArianeGroup, maître d’oeuvre industriel du développement et de l’exploitation des lanceurs Ariane 5 et Ariane 6, ainsi qu’à ses partenaires industriels européens (plus de 600 sociétés dans 13 pays européens, dont 350 petites et moyennes entreprises), d’engager les activités de production de ces lanceurs additionnels.

ArianeGroup est maître d’oeuvre des familles de lanceurs européens Ariane 5 et Ariane 6, dont il assure la conception et l’ensemble de la chaîne de production, jusqu’à la commercialisation par sa filiale Arianespace, ainsi que des missiles de la force de dissuasion océanique française. Co-entreprise à 50/50 d’Airbus et de Safran, le groupe emploie près de 9000 personnes en France et en Allemagne. Son chiffre d’affaires proforma estimé est supérieur à 3 milliards d’euros.

Depuis 1980, Arianespace a mis en orbite plus de 550 satellites, grâce à ses 3 lanceurs (Ariane, Soyuz et Vega), depuis l’Amérique du sud en Guyane française et depuis l’Asie centrale à Baïkonour. Arianespace est une filiale d’ArianeGroup qui détient 74% de son capital, les 17 autres actionnaires représentant l’industrie européenne des lanceurs.

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 21 février 2014, intitulé : Arianespace, à la croisée des chemins.

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Et le vainqueur est...

Publié le par Jacques SAMELA.

Et le vainqueur est...

Le sujet sur la société Ubisoft (1), avec 257 vues durant l'année 2017, suivi de celui consacré à la paire Laguiole et Opinel (2) avec 211 vues, et celui consacré aux entreprises familiales (3) avec 89 vues. N'hésitez-pas à relire ces sujets, en attendant de nouveaux bien sur.

1/ http://competitiviteinfrance.overblog.com/2013/12/ubisoft-union-des-bretons-ind%C3%A9pendants-ubi-soft-software.html

2/ http://competitiviteinfrance.overblog.com/2017/05/laguiole-opinel-a-couteaux-tires.html

3/ http://competitiviteinfrance.overblog.com/2015/10/les-entreprises-familiales-perennite-et-competitivite.html

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Portraits français (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Vus et lus dans Capital d'octobre 2017, Les Echos du 13/11/17, et Le Monde du 14/11/17
Vus et lus dans Capital d'octobre 2017, Les Echos du 13/11/17, et Le Monde du 14/11/17
Vus et lus dans Capital d'octobre 2017, Les Echos du 13/11/17, et Le Monde du 14/11/17

Vus et lus dans Capital d'octobre 2017, Les Echos du 13/11/17, et Le Monde du 14/11/17

Vus et lus dans Les Echos du 10/10/17, du 17/11/17, et du  21/12/17
Vus et lus dans Les Echos du 10/10/17, du 17/11/17, et du  21/12/17
Vus et lus dans Les Echos du 10/10/17, du 17/11/17, et du  21/12/17
Vus et lus dans Les Echos du 10/10/17, du 17/11/17, et du  21/12/17

Vus et lus dans Les Echos du 10/10/17, du 17/11/17, et du 21/12/17

Vus et lus dans Télérama n° 3536 du 18/1/17, et Inspirations n°1 du 15/11/17
Vus et lus dans Télérama n° 3536 du 18/1/17, et Inspirations n°1 du 15/11/17

Vus et lus dans Télérama n° 3536 du 18/1/17, et Inspirations n°1 du 15/11/17

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire :


- Luc Besson : Attention, silence, action (29/09/15)

- Xavier Niel, l'oncle d'Amérique de la French Tech (25/09/17)

- Philippe Starck, le touche à tout du design français (31/03/15)


Et pour encore plus d'informations, sachez que le prochain portrait français sera consacré à l'architecte du nouveau Louvres d'Abou Dhabi, Jean Nouvel.

 

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CES Las Vegas 2018, l'avant et l'après

Publié le par Jacques SAMELA.

Vus et lus dans Made in France n°2, l'Usine Nouvelle n° 3536 du 12/11/17, Le Monde du 27/10/17, et Les défis cu CEA n° 223 de Nov/déc 2017
Vus et lus dans Made in France n°2, l'Usine Nouvelle n° 3536 du 12/11/17, Le Monde du 27/10/17, et Les défis cu CEA n° 223 de Nov/déc 2017
Vus et lus dans Made in France n°2, l'Usine Nouvelle n° 3536 du 12/11/17, Le Monde du 27/10/17, et Les défis cu CEA n° 223 de Nov/déc 2017
Vus et lus dans Made in France n°2, l'Usine Nouvelle n° 3536 du 12/11/17, Le Monde du 27/10/17, et Les défis cu CEA n° 223 de Nov/déc 2017
Vus et lus dans Made in France n°2, l'Usine Nouvelle n° 3536 du 12/11/17, Le Monde du 27/10/17, et Les défis cu CEA n° 223 de Nov/déc 2017

Vus et lus dans Made in France n°2, l'Usine Nouvelle n° 3536 du 12/11/17, Le Monde du 27/10/17, et Les défis cu CEA n° 223 de Nov/déc 2017

 

Le CES comme si vous y étiez !

 

Vous avez toujours rêvé d'aller au CES de Las Vegas, le plus grand salon mondial dédié à l'électronique grand public ?
Le 23/01, le CES vient à vous !

 

 

> Mardi 23 janvier 2018 de 18h à 20h <
Grenoble Ecole de Management

 

 

 

Programme

 








 

 

Pour la première fois, 33 étudiants de Grenoble Ecole de Management et EM Lyon accompagnent 13 start-ups sur le CES de Las Vegas, afin de tirer un maximum de bénéfices de leur participation au plus grand salon mondial dédié à l’innovation en électronique grand public.


Le 23/01, les étudiants de GEM présenteront leur best of des tendances du CES dans 7 thématiques :
 

> sport/santé
> smart city/smart home/smart energy
> transports
> IoT
> manufacturing/industrie du futur
> edtech
> "wow" best of the best


5 start-ups viendront également partager leur expérience du salon, le tout dans une ambiance fun et conviviale.

La soirée sera animée par Philippe Wieczorek, directeur de l'activité logiciel au sein de Minalogic, le pôle de compétitivité mondial des technologies du numérique en Auvergne-Rhône-Alpes.
 

 

 

 

 

Lieu

 

Grenoble Ecole de Management
12 Rue Pierre Semard
38000 Grenoble

 

 

Le 1er février prochain, de 18h00 à 20h30, le think tank Living Things, porté par les Pôles Cap Digital et Systematic, organise le désormais traditionnel Retour du CES (Consumer Electronics Show de Las Vegas) 2018 par Olivier Ezratty (Conseil en Stra­té­gies de l’Innovation) qui se rend tous les ans à ce salon pour y analyser les dernières évolutions du numérique.


Des start-ups ayant participé au CES 2018 seront également présentes.

 

 

 

 

Événement gratuit. Attention les places sont limitées. Le jour de l'événement nous vous recommandons d'arriver 30 minutes à l'avance.

Lieu :
Auditorium de Bpi France
6/8 bvd Haussmann
75009 Paris

Evénement co-organisé par les Pôles Cap Digital et Systematic
dans le cadre de notre think tank Living Things

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vus et lus dans Les Echos du 26/09/17, et Elle du 01/09/17
Vus et lus dans Les Echos du 26/09/17, et Elle du 01/09/17

Vus et lus dans Les Echos du 26/09/17, et Elle du 01/09/17

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La France, son économie

Publié le par Jacques SAMELA.

Vus et lus dans Les Echos du 20 décembre 2017, et Le Monde du 21 décembre 2017
Vus et lus dans Les Echos du 20 décembre 2017, et Le Monde du 21 décembre 2017
Vus et lus dans Les Echos du 20 décembre 2017, et Le Monde du 21 décembre 2017
Vus et lus dans Les Echos du 20 décembre 2017, et Le Monde du 21 décembre 2017

Vus et lus dans Les Echos du 20 décembre 2017, et Le Monde du 21 décembre 2017

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Allemagne, Etats-Unis, Grande-Bretagne, Iran, Italie

Publié le par Jacques SAMELA.

Vus et lus dans Ecomeca de septembre 2017, et Les Echos du 01 décembre 2017
Vus et lus dans Ecomeca de septembre 2017, et Les Echos du 01 décembre 2017
Vus et lus dans Ecomeca de septembre 2017, et Les Echos du 01 décembre 2017
Vus et lus dans Ecomeca de septembre 2017, et Les Echos du 01 décembre 2017
Vus et lus dans Ecomeca de septembre 2017, et Les Echos du 01 décembre 2017

Vus et lus dans Ecomeca de septembre 2017, et Les Echos du 01 décembre 2017

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 24/11/14, intitulé : Allemagne, autre modèle à suivre ?

Les pièges à éviter avant de s’implanter sur le marché américain

Jeanne Dussueil / 21/09/2017 / Frenchweb.fr

L’intérêt des Français pour la côte Ouest des Etats-Unis n’est pas prêt de faiblir. En 2016, la baie de San Francisco et Los Angeles, deux importants bastions avec respectivement 65 000 et plus de 20 000 expatriés, ont connu les plus fortes augmentations du nombre d’arrivants (+30% et +15%) d’après les chiffres du consulat. Parmi eux, des créateurs de start-up, arrivés pour la plupart avec un Visa «H1B».

Véritable miel pour ces abeilles entrepreneuriales, les 31,5 milliards de dollars d’investissements levés depuis 2009 dans la Valley, soit plus de 3 300 deals, selon CBInsigths. Mais la conquête de l’Ouest n’a rien à voir avec celle du Vieux Continent. «En arrivant, certains voient leurs certitudes être bouleversées», confie Romain Serman, le directeur Bpifrance (lire le dossier du 30/09/13) aux Etats-Unis.

Pour celui qui fût ancien consul général à San Francisco avant Bpifrance, la première erreur se trouve dans le pitch. «En France, on présente différemment sa start-up; en montrant d’abord le produit. Aux Etats-Unis, c’est d’abord le problème que l’on adresse: les clients américains achètent aussi de la confiance ».

Pour Fabien Potencier, CEO de SensioLabs, l’erreur initiale consiste à ne pas prévoir le coût de la vie aux Etats-Unis, lors de la phase préparatoire en France. «On est un peu naïf, en arrivant on pense qu’il suffit de prolonger ce qu’on fait en France», a constaté celui qui conseille les start-up.

Et précise: «Une boîte doit être prête à investir 1,5 à 2 millions de dollars (soit le coût de la vie plus les embauches en marketing et sales)». Sans compter les frais d’avocats pour la partie juridique. L’entrepreneur déconseille aussi d’embaucher ses développeurs à San Francisco. «Ils ne sont pas fidèles à l’entreprise», regrette-t-il.

La jungle de l’accompagnement

Tout semble ainsi se jouer les semaines précédentes l’arrivée des fondateurs aux Etats-Unis. Beaucoup d’acteurs, privés et publics en tête, en ont d’ailleurs fait leur fond de commerce. Car s’implanter en Amérique, c’est d’abord bien choisir sa formule d’accompagnement, entre l’offre Business France (lire le dossier du 18/01/17), les incubateurs privés type Y Combinator, 500Startups, The Refiners (dans lequel Bpifrance est actionnaire), ou les cabinets de consultants spécialisés dans l’implantation et la prospection.

«Pour 20 semaines à 19 000 euros, le programme de Business France, (financé à moitié par Bpifrance ndlr) a un rapport qualité-prix imbattable», estime Marc Pertron, CEO de Livemon, la start-up de gestion de l’IT dans le cloud. «Ils ne prennent pas d’equity, quand les autres programmes prennent au moins 5%», justifie cet entrepreneur qui vise l’Amérique deux ans après sa création.

Pire, pour lui, les stars identifiées de l’accélération telle que le Y Combinator «ne se concentrent que sur les 10% de start-up qui vont cartonner, au bout de deux semaines de programme seulement, et moins sur les autres… C’est le tri à l’américaine.»

A cela s’ajoute «une grosse concurrence des espaces de coworking», renchérit Stéphane Alisse, responsable Business France qui a élu domicile à Galvanize, un espace de coworking installé dans le quartier tendance de «SoMa» (South of Market) à San Francisco.

Après avoir accompagné 34 entreprises, l’agence publique veut attirer les futures licornes en présentant comme bilan ses «116 millions de dollars levés après le programmes» et «400 à 500 emplois créés en France suite à des ouvertures de filiales».

Un réseau en 15 minutes

Après l’arrivée, l’important est de durer. Et pour rester dans les mailles des fonds de la Valley, les contacts sont clés. «Ici tout marche par réseau, c’est une pratique qu’a par exemple parfaitement compris Cyril Paglino, le fondateur de l’application Tribe et qui s’est fait connaître de l’écosystème dans tout l’écosystème de Los Angeles», raconte Blake Armstrong, vice-président au sein de la banque d’investissement Silicon Valley Bank.

«Nous avons un rapport beaucoup moins hiérarchique au réseau qu’en France où ce qui se trouve plus haut… est inatteignable».

«Il n’y pas une seule porte fermée. On discute même avec nos concurrents pour avancer ensemble», s’étonne Arnaud Muller, CEO de Saagie, une start-up rouennaise éditrice d’une plateforme de BI et qui prospecte avec Business France.

A San Francisco, le bon contact ne se trouve pas uniquement dans une soirée-cocktail d’entrepreneurs organisée dans les quartiers chics. «Uber pool sert à faire son réseau et du business», raconte Blake Armstrong qui a vécu l’interdiction du service de partage entre particuliers «Uber Pop» en France, en 2015.

Dans ces instants moins formels, «on peut rencontrer n’importe qui, mais en 15 minutes seulement». «C’est le deuxième rendez-vous le plus dur à passer, tandis qu’en France c’est en permanence», raconte encore Julien Barbier, fondateur de la Holberton School, une école de code dans laquelle il interdit à ses compatriotes d’échanger en français.

«Nous ne sommes pas là pour brandir l’étendard France»

Identifier quelques conseillers français aux Etats-Unis peut aussi être utile. Ce sont, entre autres, les Loïc Moisand (Synthesio), Jonathan Benhamou (PeopleDoc), Jérôme Lecat (Scality), Jeff Clavier (SoftTech VC), Fabien Potencier (SensioLabs), Sophie-Charlotte Moatti (Mighty Capital), Bruno Lévêque (Prestashop)… Mais ils ne sont qu’une première étape dans l’apprentissage.

Sur les 70 mentors mis à disposition par Business France, 1/3 vient du réseau French Tech.

«Le label French Tech n’apporte pas forcément; nous ne sommes pas là pour brandir l’étendard France. Les Américains apprécient seulement qu’on ait la R&D en France», affirme Romain Serman de Bpifrance.

Voir plus grand, mais aussi voir plus gros. «Il faut pouvoir parler d’exit à de potentiels actionnaires car cela en dit long sur vos ambitions. Les VC américains cherchent ceux et celles qui se revendent 500 millions à 1 milliard de dollars», affirme Romain Serman qui aimerait voir plus de réussites françaises sur le sol américain; «des Algolia, AB Tasty, TinyClues, Akeneo…».

Au final, il s’agit de surmonter le paradoxe entre prendre le temps de l’adaptation, tout en continuant d’accélérer. «Il est surprenant de constater que tout ce que l’on fait en France est totalement invisible pour les Américains. On travaille tout de même déjà avec Carrefour», a constaté Olivier Magnan-Saurin, CEO de la start-up Fidz Up, une solution de marketing mobile pour les retailers qui en conclut: «Il faut une part d’humilité. On a beaucoup de choses à apprendre et à réapprendre pour devenir global».

 

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 09/08/17, intitulé : France & Etats-Unis, au-delà de l'histoire

 

Vus et lus dans Le Monde du 19 octobre 2017, et du 24 novembre 2017
Vus et lus dans Le Monde du 19 octobre 2017, et du 24 novembre 2017

Vus et lus dans Le Monde du 19 octobre 2017, et du 24 novembre 2017

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 18/09/15, intitulé : God save the queen, and the UK

Vu et lu dans Le Monde du 23 novembre 2017

Vu et lu dans Le Monde du 23 novembre 2017

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 25/05/16, intitulé : Iran, des opportunités à ne pas rater

 

Vu et lu dans Le Monde du 23/11/17

Vu et lu dans Le Monde du 23/11/17

L’Italie, une start-up nation ? Les raisons d’y croire

18/12/2017 / Frenchweb.fr

«L’Italie ne réussit pas à exprimer ses potentialités».

Un air de déjà vu si l’on tient compte des derniers rapports sur les perspectives économiques des pays européens.

Un refrain qui s’applique également sur le thème des start-up comme le reprend la très sérieuse étude du fond de venture capital Atomico (State of European Tech) dont le jugement est implacable sur l’Italie. En termes d’investissements dans les entreprises innovantes, l’Italie ne décolle pas. Elle recule même.

En 2017, l’Europe aura investi presque 20 milliard d’euros. L’Italie reste figée à 180-200 millions d’euros. Un écart abyssal dont les causes sont à puiser non seulement dans la faible présence d’opérateurs de capital-risque et de capitaux disponible mais également dans l’existence d’un écosystème de l’innovation à la recherche d’une propre identité.

L’Italie n’est pas pour autant condamnée à jouer un rôle mineur. Loin s’en faut. Outre le levier fiscal qui reste une des pièces maîtresses de la législation récemment mise en place pour favoriser les investissements dans les start-up, l’émergence de nouvelles initiatives publiques est à souligner.

Avec pour objectif de renforcer la force de frappe du capital-risque en Italie et de tenter de la porter à des standards internationaux.

Au niveau national, le fonds d’Invitalia Ventures, doté de 87 millions d’euros, est ainsi né il y a deux ans avec pour objectif d’investir dans les start-up en phase early-stage, avec le soutien précieux du Ministère du Développement économique, de la Banque Européenne pour les investissements et le groupe américain Cisco.

La Caisse des dépôts italienne joue également un rôle primordial dans la relance du venture capital avec la naissance du fonds ITAtech (150 millions d’euros) qui investit, en partenariat avec le Fonds Européen pour les Investissements, sur des projets de transfert technologiques, ou encore du Fonds Tech Growth (200 millions d’euros) qui investit sur des opérations late stage. Les Régions ne sont pas en reste avec des initiatives locales qui fleurissent.

Le Latium s’est récemment doté d’un fonds FARE Venture (80 million d’euros), géré par Lazio Innova, l’agence de développement économique de la Région. Un projet ambitieux avec en ligne de mire la volonté de concurrencer Milan comme tech hub de l’innovation. Au total ce sont de près de 500 millions d’euros mobilisables pour consentir à l’écosystème italien de faire le saut de qualité décisif.

Si le volet financier reste l’un des piliers fondamentaux pour soutenir la croissance de start-up de succès, le développement d’un écosystème structurée et connectée est tout aussi important.

L’Italie a entrepris des efforts considérables en la matière même si il reste des erreurs à corriger. L’émergence d’incubateurs et d’accélérateurs de grande qualité en Régions, souvent reliée au monde des grandes entreprises, est un élément de contamination sain et stimulant pour l’écosystème.

Comment ne pas citer le plus grand accélérateur italien, Luiss Enlabs, doté de 5000 mètres carrés au cœur de Rome, ou les structures hybrides accélérateur-fonds d’investissements comme PI Campus, H-Farm, la start-up studio toscane, Nana Bianca ainsi que Cariplo Factory, qui se veut le pôle d’open innovation connectant les start-up aux grandes entreprises.

Dans ce contexte, il est intéressant de penser au modèle français et en particulier au label French Tech Hub dont Milan fait partie depuis novembre 2016. Une initiative qui vise certes à renforcer des liens entre les écosystèmes français et italien de l’innovation mais qui peut également être un stimulant pour contribuer à transformer l’écosystème italien en un réservoir de talents et de projets prêt à rayonner sur la péninsule et l’Europe. Et devenir enfin une start-up nation.

Il reste à transformer l’essai. 2018 sera l’année décisive.

Philippe Tandeau de Marsac est le responsable du développement d’Invitalia Ventures SGR, le Mentor French Tech et membre du comité de pilotage French Tech Hub Milan.

 

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 09/11/16, intitulé : L'Italie, un partenaire incontournable.

 

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BlaBlaCar, Carmat, Dataiku, Netatmo, Qwant, Technicolor (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Vu et lu dans Les Echos du 06 novembre 2017
Vu et lu dans Les Echos du 06 novembre 2017

Vu et lu dans Les Echos du 06 novembre 2017

BlaBlaCar veut devenir un courtier en assurance automobile 20/11/2017 / Frenchweb.fr

 

BlaBlaCar continue de se diversifier. La plateforme française de covoiturage s’intéresserait en effet au segment de l’assurance pour proposer des forfaits adaptés au covoiturage, selon une information rapportée par Bloomberg.

Dans ce sens, BlaBlaCar a créé une unité de 10 collaborateurs basée au siège parisien de l’entreprise. Pour devenir un acteur sur le marché de l’assurance automobile, le service de covoiturage entend se servir des données collectées sur les milliers de trajets quotidiens (itinéraires, évaluation des chauffeurs, habitudes des utilisateurs…) depuis sa création en 2006.

Avec 50 millions d’utilisateurs dans 22 pays à travers le monde, BlaBlacar dispose en effet d’un socle solide pour devenir un nouveau canal de distribution d’assurance via sa plateforme. Le leader mondial du covoiturage s’attend à ce que de plus en plus de conducteurs et de passagers cherchent une protection supplémentaire pour leurs voyages, en plus du coût d’assurance d’un véhicule.

L’assurance et la location de véhicules longue durée comme relais de croissance

D’ores et déjà, BlaBlaCar assure chaque trajet en France, au Royaume-Uni et dans d’autres pays européens grâce à un partenariat noué avec l’assureur français AXA en mai 2015. Cette assurance additionnelle offerte garantit l’arrivée à destination sans frais supplémentaires en cas de panne ou d’accident sur le trajet. Ainsi, le remorquage et l’acheminement du conducteur et des passagers à destination sont pris en charge s’ils ne sont pas déjà couverts.

En se positionnant sur le segment de l’assurance automobile, BlaBlaCar pourrait ainsi se doter d’une nouvelle manière de tirer parti de sa base d’utilisateurs pour générer des revenus supplémentaires.

Ainsi, la plateforme française de covoiturage avait lancé en avril dernier une offre de location de véhicules longue durée en partenariat avec le constructeur Opel et le loueur longue durée ALD Automotive. Celle-ci est accessible aux «Ambassadeurs» français, les membres les plus actifs de BlaBlaCar dans l’Hexagone, à des prix négociés. «Les membres de BlaBlaCar achèteront plus de 1,3 million de voitures en 2017.

L’idée est d’utiliser la force de cette communauté pour obtenir des offres qui n’auraient pas été accessibles à nos membres individuellement», expliquait alors Nicolas Brusson, co-fondateur et CEO de BlaBlaCar.

 

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 22/01/15, intitulé : BlaBlaCar, en voiture tout le monde

Vus et lus dans Les Echos du 06 décembre 2017, et l'Usine Nouvelle n° 3536 du 12 novembre 2017
Vus et lus dans Les Echos du 06 décembre 2017, et l'Usine Nouvelle n° 3536 du 12 novembre 2017

Vus et lus dans Les Echos du 06 décembre 2017, et l'Usine Nouvelle n° 3536 du 12 novembre 2017

Carmat et son cœur artificiel s'associent avec un spécialiste de l'impression 3D latribune.fr / 13/11/2017

La medtech a réalisé fin octobre la première implantation de son cœur artificiel à l'international, au Kazakhstan ( La collaboration entre Carmat et AddUp contribuera à augmenter les capacités de production de la medtech en vue de la phase de fabrication à grande échelle de son cœur artificiel.

Vers la fabrication à grande échelle.

L'entreprise française Carmat a signé un partenariat avec la société AddUp, co-entreprise des groupes industriels Michelin et Fives spécialisée dans l'impression 3D, afin d'accélérer le développement de son coeur artificiel intégral, selon un communiqué diffusé lundi.

"Cette collaboration vise à renforcer le développement industriel du coeur Carmat en contribuant à augmenter les capacités de production de la société en vue de la phase de fabrication à grande échelle", ont souligné les deux groupes dans un communiqué commun.

Une version améliorée avec moins de composants

Carmat espère tirer profit des avantages de l'impression 3D pour mettre à disposition des chirurgiens et des patients une version améliorée de son cœur artificiel, avec notamment une réduction du nombre de composants, détaille le document.

Fondée en avril 2016, la joint-venture AddUp développe et commercialise à l'échelle mondiale des machines et des ateliers de production industriels utilisant l'impression 3D métallique. Cette technologie permet de fabriquer des objets par addition de couches successives de poudre d'un alliage de métal.

Fin octobre, Carmat a annoncé avoir été autorisé à implanter son cœur artificiel à l'Institut de la Médecine Clinique et Expérimentale (IKEM) de Prague en République tchèque, dans le cadre de ses essais cliniques chez l'homme ("étude Pivot"). La medtech avait réalisé une semaine auparavant la première implantation de son cœur artificiel à l'international, au Kazakhstan

 

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 23/01/14, intitulé : Carmat, un rêve se réalise.

Dataiku part à l’assaut de l’Asie avec son logiciel d’analyse prédictive  13/11/2017 / Frenchweb.fr  
 

Dataiku, la start-up française qui édite un logiciel pour créer de nouvelle application prédictive, vient de nommer un vice-président, Albert Antoine, pour l’Asie-Pacifique. «Nous nous apercevons que les besoins et la maturité des clients en Asie sont assez avancés, au moins comparable à ce que nous avons en Europe, si ce n’est plus», détaille Thomas Cabrol, co-fondateur de Dataiku.

L’entreprise travaille déjà avec plusieurs entreprises locales comme Samsung ou Hyundai. La société se donne un an pour «découvrir» et «connaître» le marché asiatique. Au cours de cette année, elle envisage la création d’une équipe de 5 personnes pour la région.

Dataiku a collaboré avec L’Oréal ou encore BlaBlaCar

Ce développement en Asie a notamment pu se faire grâce à la dernière levée de fonds de Dataiku. En septembre dernier, la start-up a bénéficié d’un investissement de 25 millions de dollars. Fondée en 2013 par Marc Batty, Thomas Cabrol, Florian Douetteau et Clément Stenac, Dataiku a développé Data Science Studio, une plateforme dont l’objectif est de rendre plus productif et efficace le développement d’une application prédictive.

Cette dernière collecte des données internes et/ou externes afin de construire un «data product» qui utilise le Machine Learning et l’Intelligence Artificielle.

Dataiku se différencie de ses principaux concurrents, IBM ou encore SAP, par une approche collaborative: chaque corps de métier peut venir travailler sur la plateforme et pas seulement les Data Scientist ou les Data Engineer. En France, la société a notamment collaboré avec L’Oréal ou BlaBlaCar.

 

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 23/11/15, intitulé : Big Data, les français en force.

 

Vu et lu dans Les Echos du 16 octobre 2017

Vu et lu dans Les Echos du 16 octobre 2017

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 18/01/16, intitulé : Netatmo, dans l'univers de la maison intelligente.

Qwant et Inria dévoilent leur laboratoire commun

le 10/11/2017  / Industrie & Technologies

 

Engagé dans la gestion des données et la protection de l'internaute, le moteur de recherche Qwant se rapproche de l'institut de recherche public Inria pour travailler sur de nouvelles technologies. Ce partenariat prendra prochainement la forme d'un laboratoire commun.

C’est à l’occasion de l’anniversaire de ses 50 ans, le 8 novembre dernier, que l'institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria) a annoncé la signature d’une convention de partenariat avec la société Qwant, développeur français d’un moteur de recherche « respectueux de la vie privé ». Cet accord de recherche stratégique sur le thème de la maîtrise des données et de la sécurité, prévu sur une durée de 4 ans, se concrétisera, à court terme, par la mise en place d’un laboratoire commun.

Les recherches s’orienteront autour de cinq axes majeurs : les outils de recherche, la sécurité, la géolocalisation, les interactions augmentées et enfin l’éducation, notamment au travers de l’utilisation de Qwant Junior. Ce laboratoire sera dirigé par Fabien Gandon, de l’Inria, tandis que Sylvain Peyronnet, directeur scientifique de Qwant, assurera la fonction de directeur adjoint. « Toutes les équipes-projets de l’Inria pertinentes sur ces cinq thématiques sont concernées », souligne l’institut dans un communiqué. « Une vingtaine d’équipes de recherche des 8 centres Inria sont dès à présent identifiées. »

 De nouvelles fonctionnalités

Pour Qwant, ce partenariat lui permettra de mettre au point de nouveaux algorithmes afin de collecter et d’indexer les données, tout en offrant sécurité et anonymat à l’utilisateur. L’accord de recherche porte également sur des fonctionnalités nouvelles comme la détection d’émotions, l’analyse de vidéos  ou encore le développement de Qwant Junior, destiné à l’éducation. Du côté de l’Inria, les travaux permettront de développer une collaboration technique avec un acteur européen d’internet, et lui donnera l’accès à un gros volume de données issues d’un moteur de recherche fonctionnel.

 

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 12/06/16, intitulé : Qwant, moteur de découverte à la française.

 

Vu et lu dans Les Echos du 24 octobre 2017

Vu et lu dans Les Echos du 24 octobre 2017

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 30/07/16, intitulé : Technicolor, un fringant centenaire.

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