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Sus aux moustiques

Publié le par Jacques SAMELA.

Sus aux moustiques
Sus aux moustiques

Journée thématique « Moustiques vecteurs : comment répondre aux enjeux actuels ? » (Paris)

https://toute-la.veille-acteurs-sante.fr/219666/journee-thematique-moustiques-vecteurs-comment-repondre-aux-enjeux-actuels-paris/

L’ Anses organise une journée thématique sur les moustiques vecteurs en collaboration scientifique avec le Muséum national d’Histoire naturelle, jeudi 25 avril 2024 à 9h.

Avec des épidémies de dengue, de chikungunya ou de Zika dans les territoires ultramarins et un nombre croissant de cas dans l’Hexagone, les moustiques vecteurs d’agents pathogènes s’imposent comme un enjeu majeur de santé publique pour l’ensemble des territoires français.

Se pose alors la question : comment répondre aux enjeux actuels ?

L’événement se tiendra en présentiel, à l’espace Van Gogh, 62 quai de la Rapée, 75012 Paris, ou en distanciel.

 

Plus d’infos :

https://www.anses.fr/fr/content/moustiques-vecteurs-enjeux-actuels

 

Vu et lu dans Les Echos du 03/07/23

Vu et lu dans Les Echos du 03/07/23

 

Du rang d’inconnu au top 10 des produits anti-moustiques en 4 ans : ASTELIA se pique au jeu de la croissance avec Bpifrance

https://www.lemoci.com/guides-expertises/du-rang-dinconnu-au-top-10-des-produits-anti-moustiques-en-4-ans-astelia-se-pique-au-jeu-de-la-croissance-avec-bpifrance/

 

Fondé en 2019 par cinq professionnels de la parfumerie et de la dermo-cosmétique, ASTELIA est un laboratoire industriel qui s’est fixé pour mission de réconcilier le monde médical avec celui de la parfumerie, en proposant des solutions hydroalcooliques et des produits de protection anti-moustiques aussi efficaces que plaisants sur le plan sensoriel. Au cœur de leur succès, le soutien essentiel de Bpifrance, qui les a accompagnés à chaque étape de leur croissance.

Deux années de recherche et développement pour répondre à des enjeux de santé publique

Produit phare d’ASTELIA, l’anti-moustique Bodyguard est une solution brevetée ayant nécessité deux années de R&D en collaboration avec des laboratoires indépendants spécialisés, des médecins épidémiologistes, des entomologistes mais également des parfumeurs. « Loin d’être anodine, la question de la lutte contre les moustiques revêt des enjeux essentiels de santé publique », souligne Stéphanie Venier Dargent, co-fondatrice du laboratoire. Avec le réchauffement climatique, la prolifération du moustique tigre, responsable de maladies vectorielles telles que la dengue et le chikungunya, est en augmentation.

En 2020, les maladies transmises par les moustiques ont causé 600 000 décès, faisant de ces derniers la première cause de mortalité humaine. « Pendant la pandémie de COVID-19, une épidémie de dengue a frappé l’île de La Réunion » poursuit la co-fondatrice. « 70% du centre de réanimation de l’hôpital était alors occupé par des patients souffrant de la dingue, et non du Covid ». Une situation qui a conforté le laboratoire dans son ambition de s’attaquer à ce problème sanitaire.

Une phase de décollage à l’international soutenue par Bpifrance pendant la crise du Covid

ASTELIA a été créé pendant la pandémie de COVID-19, une époque marquée par une demande massive de solution hydroalcoolique. C’est sur ce créneau que le laboratoire a entamé son développement international, avec une solution parfumée et respectueuse de la peau grâce à sa composition à base d’alcool végétal. Plusieurs centaines de milliers de tonnes de solution hydroalcoolique ont été produites à cette période, l’Asie étant le premier marché ciblé par ASTELIA sur la scène internationale. « Bpifrance a été un véritable accélérateur dans cette phase de développement à l’international grâce à ses dispositifs de financement à l’export, notamment l’assurance prospection et le prêt croissance internationale, qui finance les investissements immatériels et le besoin en fonds de roulement pour mener à bien le développement export ».

L’aide à l’innovation : un soutien crucial en phase d’étude de faisabilité

Le chiffre d’affaires engrangé sur les ventes de solution hydroalcoolique a servi de tremplin au développement de l’anti-moustiques, ce dernier impliquant des phases de tests particulièrement coûteuses dont les tests d’innocuité, ainsi que l’obtention de l’inévitable AMM (Autorisation de mise sur le marché). « Sans le dispositif de soutien à l’innovation de Bpifrance, notre produit n’aurait certainement pas vu le jour » affirme Stéphanie Venier Dargent.

Assurance prospection et Accélérateur Afrique pour affiner la stratégie à l’export

Au-delà des mécanismes de financement de Bpifrance, incarnés par l’assurance prospection et le prêt croissance international, ASTELIA a également bénéficié d’un accompagnement plus stratégique via le programme Accélérateur Afrique. Ce programme d’accompagnement s’adresse aux dirigeants de PME et ETI françaises qui souhaitent s’implanter en Afrique pour leur permettre de définir une stratégie de développement et un modèle de croissance sur le continent africain, mais également de renforcer leur réseau et de développer des opportunités commerciales grâce à une prospection ciblée et des rendez-vous business.

« Notre expérience du secteur nous avait permis dès le départ de définir un modèle stratégique très clair sur le territoire français » explique la co-fondatrice. « En revanche, la feuille de route sur la partie export était plus difficile à concevoir ». D’instinct, les problèmes sanitaires causés par le moustique en Afrique avaient conduit ASTELIA à viser ce continent. Mais après une étude menée en collaboration avec un consultant Bpifrance, le laboratoire s’est aperçu qu’un ajustement stratégique serait nécessaire, « sans pour autant abandonner le continent africain, territoire qui nous tient à cœur et où notre présence peut véritablement s’avérer utile » précise Stéphanie Venier Dargent.
Plus facilement pénétrables et disposant d’un plus fort potentiel, les Etats-Unis et l’Amérique latine ont été remis au centre du viseur, « des marchés que nous n’avions pas forcément envisagés, et sur lesquels nous porterons nos efforts après avoir confirmé notre présence en France et en Europe. »   

En attendant, ASTELIA poursuit son développement porté par Bpifrance. Avec 3 millions d’euros attendus en 2024, le laboratoire espère tripler son chiffre d’affaires, comme l’année précédente, et se hisser rapidement du top 10 au top 3 des fabricants d’anti-moustiques. Une croissance express et une belle réussite pour ce laboratoire parti de zéro en pleine crise du Covid.

 

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2021/06/qista-l-anti-moustiques-a-la-francaise.html

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La naissance des grands magasins (à voir)

Publié le par Jacques SAMELA.

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Laval Virtual 2024 (rappel & présentation)

Publié le par Jacques SAMELA.

Laval Virtual 2024 (rappel & présentation)
Laval Virtual 2024 (rappel & présentation)

Laval Virtual, certainement pas une illusion

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2019/03/laval-virtual-certainement-pas-une-illusion.html

Publié le 18 mars 2019

 

Las Vegas à son CES (lire « La petite histoire du CES » du 07 janvier dernier), Paris son Viva Technology (16 & 18 mai 2019), et Laval, en Mayenne, son Laval Virtual (www.laval-virtual.com), salon international de la réalité virtuelle et des techniques immersives, dont la 21ème édition aura lieu du 20 au 24 mars prochain.

Créé en 1999 sous l'impulsion du maire de la ville de l'époque et ancien ministre de la recherche sous le gouvernement Raffarin, alors 1er ministre du président Jacques Chirac, François d'Aubert, le concept émane lui de Bernard Taravel, co-créateur du Futuroscope, Guy Le Bras, directeur du GART (www.gart.org), et de Simon Richir, directeur de l'Institut des Arts et Métiers Paris Tech – Laval (www.laval.ensam.eu), avec comme idée de donner une autre image à cette région plutôt agricole, en réunissant pour la première fois en France des acteurs de la réalité virtuelle, qu’ils soient de l'enseignement, du monde de la recherche, de l'entreprise, et bien évidemment du grand public.

Et dès le début, le succès fut au rendez-vous, avec près de 8 000 participants, et une présence remarqué d'universités japonaises.

Aujourd'hui, la réalité virtuelle n'est plus la seule discipline proposée, car rejointe depuis par la réalité augmentéela 3D interactivela robotiquel'intelligence artificiellel'internet des objets, et toutes les technologies innovantes et convergentes, devenant en cela le plus grand événement professionnel dédié aux mondes virtuels en devenir. 

Et ce ne sont pas les 300 et plus exposants, répartis sur 9 000 m2 qui diront le contraire, attendant cette année pas loin de 10 000 visiteurs, professionnels, et rejoint par un public d'aficionados toujours plus nombreux chaque année, permettant à cet événement devenu désormais incontournable, d'atteindre les 20 000 visiteurs de l'édition précédente, voire de la dépasser. 

Et pour cela, les organisateurs ont cette année organisé un tour d'Europe en camping-car pour faire connaître l'événement, visitant onze pays en trois mois, y rencontrant notamment près de cent entreprises, avec comme but de promouvoir ces nouveaux usages, incontournable aujourd'hui hui pour rejoindre le mouvement de ce que l'on appelle l'usine du futur ou 4.0.

Mais c'est aussi durant l'évènement que se joue sa réputation, avec cette année près de 200 conférenciers intervenant sur trois thématiques phares que seront tout d'abord celle consacrée aux activités sectorielles comme les domaines de la construction, de la santé, de la défense, du retail ou encore de l'industrie 4.0, appelées VRticals, ensuite celle consacrée aux problématiques dites transverses comme la formation, la production de contenus VR/AR, ou encore le storytelling, appelées TranVRsals, et pour finir, celle permettant des passerelles entre la recherche et l'industrie et appelée ConVERgence. 

Une nouvelle formule sera également mise en place pour les Laval Virtual Awards, avec six grandes catégories que seront la VR/AR for productivityla VR/ AR for Learning and Trainingla VR/AR for Safety and improvement of Work Environmentla VR/AR for Marketing & Salesla VR/AR for Data Visualisation & Decision-Making, et pour finir, la VR/AR for a cause, permettant de résoudre des problématiques industrielles et humaines, et dont les vainqueurs seront choisis par un jury d'experts internationaux.

Ensuite, et pour la deuxième année consécutive, reviendra le Festival ‘Art et de Réalité Virtuelle appelé Recto VRso, et dont la thématique traitera de l'illusion réelle et de l'illusion virtuelle, mais aussi pour la première fois, la mise en place d’une Job Fair, permettant aux entreprises présentes de rencontrer et de recruter leurs futurs collaborateurs.

Et justement, comme l'idée d'origine était de permettre de nouvelles débouchées à la région, on peut dire que cette initiative est une parfaite réussite, car si d'autres salons similaires existent, ils n'égalent en rien celui-ci, mais surtout, grâce à la mise en place de formations dédiées au sein des établissements scolaires de la région, une nouvelle génération d'étudiants a pu répondre aux nouveaux besoins des entreprises du crus et d'ailleurs, voire de créer un nouveau microcosme d'entreprises entièrement dédiées à ces nouveaux usages, avec dès 2017, la création d'un espace de rencontres high-tech de 3 200 m2 appelé le Laval Virtual Center (www.Lavalvirtualcenter.com), déjà considéré comme le premier hub international sur la RV/RA, s’appuyant sur le principe de l’ideation*, et dont l'objectif est d'accompagner au plus près l'avènement de ce monde nouveau, en proposant notamment des services dans le domaine de la veille technologique, permettant une information sur les tendances du moment, des formations continues adressées entrepreneurs, afin de les aider à comprendre le fonctionnement de ces nouveaux outils, pour par la suite les utiliser à bon escient pour leur entreprise, permettant en cela de conforter le positionnement actuel du marché français, soit le troisième au plan mondial, avec comme possibilité d'en atteindre la première place dans les prochaines années, j'en prends le pari.

*L'idéation est le processus créatif de production et communication de nouvelles idées (Wikipédia).

Jacques Samela

Sources :

 www.laval-virtual.com

www.mtom-mag.com

www.vrroom.buzz

. Wikipedia

 

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2019/03/laval-virtual-certainement-pas-une-illusion.html

 

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Du 10 au 12 avril 2024

https://laval-virtual.com/

 

Laval Virtual, 1er événement dédié aux technologies immersives (réalité virtuelle, réalité augmentée, spatial computing…) rassemble depuis 1999 toute la communauté XR en Europe.


Professionnels, startupeurs, universitaires, artistes, étudiants et précurseurs de l’industrie des technologies immersives se retrouvent en un même lieu, faisant du salon un écosystème pluridisciplinaire offrant des opportunités de réseautage exceptionnelles.


Au programme : espace d’exposition, conférences B2B, compétitions, tech-talks, soirées de networking (LV Party et LV Awards)…

 

DÉCOUVRIR LA 25E ÉDITION

https://www.youtube.com/watch?v=QtIsbX5W2eQ

 

 

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TechForFuture & French Tech

Publié le par Jacques SAMELA.

TechForFuture & French Tech
TechForFuture & French Tech
Tech for Future, le 28 mars 2024 au Grand Rex “Tech Européenne, le temps du réveil ?”

Tech for Future, le 28 mars 2024 au Grand Rex “Tech Européenne, le temps du réveil ?”

Vu et lu dans Les Echos du 05/01/24
Vu et lu dans Les Echos du 05/01/24
Vu et lu dans Les Echos du 05/01/24

Vu et lu dans Les Echos du 05/01/24

Startups : ces secteurs de la French Tech qui ont créé le plus d’emplois en 2023

https://www.latribune.fr/technos-medias/innovation-et-start-up/startups-ces-secteurs-de-la-french-tech-qui-ont-cree-le-plus-d-emplois-en-2023-989871.html?xtor=EPR-2-[l-actu-du-jour]-20240208&M_BT=6363555962

Le 08 Févr 2024

 

Malgré la crise mondiale qu'a subie le monde de la tech, marquée par des licenciements massifs, les startups de la French Tech se sont montrées résilientes et ont continué de recruter en 2023. Ainsi, plus de 36.000 emplois ont été créés l'année dernière, d'après le dernier baromètre de Numeum, avec des dynamiques qui diffèrent selon les secteurs... Tour d'horizon de ceux qui ont performé l'année passée.

2023 ne fut pas de tout repos pour la French Tech au regard de la crise qu'elle vient de traverser. Inflation, énergies, tensions géopolitiques... Les plans sociaux et les défaillances d'entreprises se sont accentués. Les startups ont également levé moins de fonds, soit une baisse de 38% en valeur selon le baromètre EY, avec des investisseurs devenus de plus en plus frileux. La tech mondiale a de son côté connu des licenciements massifs : en 2023, 262.735 employés ont été licenciés, d'après le site Layoffs.fyi. Une tendance qui semble continuer en 2024 puisque 32.576 personnes ont déjà été congédiées depuis janvier.

Pourtant, en France, l'emploi des startups résiste. L'année passée, plus de 36.000 emplois ont, en effet, été créés par l'ensemble des 16.800 startups de l'Hexagone, d'après le dernier baromètre de Numeum, l'organisation professionnelle de l'écosystème numérique publié mardi dernier. Soit une progression de 9,4%. Un résultat légèrement inférieur à celui de 2022, où l'emploi avait progressé de 15%.

Dans le détail, le premier semestre a plutôt été dynamique avec 20.700 créations d'emplois, contrairement au second semestre qui a connu un « net ralentissement », pointe le baromètre, avec seulement 4.200 emplois créés. Un soulagement tout de même après un mois d'avril inquiétant, qui a enregistré la suppression de plus de 3.600 emplois. Néanmoins, pour cette nouvelle année, 1.250 ont déjà été créés en janvier.

Plusieurs explications viennent expliquer la résilience de l'écosystème français. Pour commencer, les emplois français ont été mieux conservés comparés au secteur de la tech outre-Atlantique, car protégés par « le modèle social français », note Guillaume Buffet, administrateur chez Numeum. De plus, si les recrutements sont moins intenses que par le passé, cela relève davantage d'un nouveau modèle des startups davantage axé sur la rentabilité.

« Les startups françaises sont arrivées à un niveau de maturité où elles sont en capacité de vivre sans avoir besoin, pour toutes, de réaliser des levées de fonds. Elles financent alors leur développement à partir de leur propre croissance », précise ainsi Guillaume Buffet.

Ainsi, avec un chiffre d'affaires régulier, les startups recrutent donc davantage en fonction de leurs véritables besoins et non outre-mesure. « On arrive dans un nouveau modèle où on demande aux startups de grandir moins vite, mais d'être par contre rentable », ajoute-t-il.

Des créations d'emplois selon les secteurs

Ces créations d'emplois ont alors été différentes en fonction des secteurs au sein de la French Tech. Parmi les trois secteurs qui ont le plus créé d'emplois en 2023, on retrouve tout en haut du podium la GreenTech. Sur l'ensemble de l'année, le secteur a créé 4.900 emplois, en augmentation de plus 18% par rapport à 2022. Les investisseurs se sont rués sur les startups de l'énergie et de l'environnement, profitant, qui plus est, d'un nouveau cadre réglementaire et législatif en France. Elles ont ainsi levé près de 2,7 milliards d'euros, d'après le baromètre EY.

Arrive en seconde position la Fintech, qui regroupe banques en ligne, néo-banques et autres startups qui repensent les services financiers, avec un peu plus de 2.900 emplois créés. Pourtant, le secteur avait enregistré un recul de ses levées de fonds en 2023.

La TransportTech arrive en troisième position. « Symbole de la livraison à l'ère du e-commerce », note Numeum dans son baromètre, le secteur a ainsi créé 2.703 emplois. « Ce classement est pour bonne partie le reflet de l'évolution de la société ces dernières années », explique, en effet, Guillaume Buffet. À eux trois, ces secteurs sont ainsi à l'origine de 43% du total des créations d'emplois dans la French Tech au niveau national.

Paris au cœur de l'écosystème startup

Sur le plan géographique, les chiffres sont stables d'une année à l'autre. Sans surprise, c'est la région parisienne qui concentre le plus de startups : 7.900 environ. Avec plus de 255.000 emplois, les startups en Île-de-France ont donc créé environ six emplois sur dix.

Mais les régions ne sont pas non plus en reste. « On observe une répartition plus homogène aujourd'hui qu'il y a 4 ans, avec une tendance à la diversification dans les régions, » révèle Guillaume Buffet, administrateur chez Numeum. En Auvergne-Rhône Alpes, 2.000 emplois ont été créés en 2023. Viennent ensuite les régions Occitanie, PACA et Nouvelle-Aquitaine. Cette dernière s'en est d'ailleurs plutôt bien sortie l'année dernière, grâce notamment aux greentechs, malgré un repli marqué du marché au niveau national. Plus de 1.540 emplois ont été créés dans la région.

 

Vu et lu dans Les Echos du 06/02/24

Vu et lu dans Les Echos du 06/02/24

Observatoire des startups françaises de la mobilité : Année record des levées de fonds

https://www.maddyness.com/2024/02/28/observatoire-des-startups-francaises-de-la-mobilite-annee-record-des-levees-de-fonds/?mtm_campaign=maddynews&mtm_source=newsletter

 

La France se place désormais en deuxième écosystème d'innovation dans les transports en Europe, avec une année record de levées de fonds comme le révèle l’Observatoire des startups françaises de la mobilité.

Alors que les investissements dans les startups françaises ont connu un fort ralentissement entre 2022 et 2023, avec une baisse de 43 %, un secteur tire son épingle du jeu en France : les transports. Le montant des levées de fonds a augmenté de 12 % entre 2022 et 2023, pour atteindre un record de 1,9 milliard d’euros. Un dynamisme constaté tant sur l'early que le late stage.

Ces résultats sont issus de l’Observatoire des startups françaises de la mobilité, publié aujourd’hui par le Moove Lab, fondé par Mobilians et Via ID, et Roland Berger. Il met en avant les tendances d’innovation dans le secteur en s’appuyant sur les levées de fonds réalisées par les startups de l'écosystème depuis 2014. Deux volets sont analysés : celui des transports au sens large du terme, à savoir toutes les solutions pour la circulation des personnes et des marchandises, sur terre, mer ou dans les airs ; et celui de la mobilité quotidienne des personnes et des services de l’automobile, qui correspond aux métiers accompagnés par Mobilians et le Moove Lab.

Les startups françaises répondent aux enjeux du transport 

Premier enseignement : les levées de fonds réalisés par des startups actives dans l'électrification des transports représentent 73 % des montants levés en 2023, contre seulement 13 % en 2019. « Nous pouvons constater que les startups françaises répondent aux enjeux clés de décarbonation du secteur, mais il faut vraiment poursuivre la dynamique aux niveaux réglementaire et financier » précise Clément Guillemot, Directeur des programmes startup et de l’écosystème de Via ID.

L’autre point de vigilance concerne les investissements en growth stage, entre 15 et 40 millions d’euros, avec une légère baisse entre 2022 et 2023, car « si nous ne sommes pas capables de faire passer des startups à l’échelle, nous ne pourrons pas créer les champions de demain » souligne-t-il. Le early stage, des levées de fonds inférieures à 15 millions d’euros, a en effet, lui, connu une croissance de 33 % entre 2022 et 2023, quand le late stage, avec des sommes supérieures à 40 millions d’euros, a été marqué par une année record de six levées de fonds pour un montant de 1,3 milliards d’euros.

La France, deuxième écosystème d'innovation dans les transports en Europe

Autant de signaux positifs qui positionnent aujourd’hui la France comme le deuxième écosystème d'innovation dans les transports en Europe, après le Royaume-Uni. Les deux pays, ainsi que la Norvège, sont les seuls à avoir constaté une hausse des levées de fonds dans ce secteur, qui ont été en moyenne en recul de 24 % en 2023 dans le reste du vieux continent. Selon Clément Guillemot, « la France bénéficie de la qualité de son système entrepreneurial, soutenu par l’État, les collectivités, les entreprises, les écoles, bref un tissu qui favorise l’innovation ».

Deux régions sortent clairement du lot dans l’écosystème des startups des transports : l’Île-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes qui monopolisent 87 % des montants levés, 85 % depuis dix ans. Mais Clément Guillemot se réjouit du fait que « les régions Provence-Alpes-Côte d'Azur, Occitanie, Nouvelle-Aquitaine, Pays de la Loire et Hauts-de-France ont levé chacune plus de 100 millions d’euros au cours des dix dernières années et témoignent des écosystèmes dynamiques en région ».

Le périmètre de la mobilité et des services de l'automobile

Sur le périmètre des startups de la mobilité et des services de l'automobile en France, les levées de fonds ont atteint près de 750 millions d’euros en 2023. « La baisse des montants levés entre 2022 et 2023 est un résultat en trompe-l’oeil, dû à un effet de seuil sur le segment du late stage sur la période d'analyse. Par ailleurs l’early stage a augmenté de quasiment 50 % et le growth stage de 22 %, un segment de financement qui a fortement marqué le pas dans le reste de l’écosystème startups » analyse Clément Guillemot.

Il est à noter aussi une hausse de 1.600 % depuis 2021 des levées de fonds au niveau du commerce automobile et de la distribution d'énergie, tirées par l'activité d'infrastructure de recharge. Les segments de l’économie circulaire mais aussi du cycle et des micromobilités sont passés en quelques années d’un montant quasi négligeable à plus de 100 millions d’euros d’investissements en 2023, du fait des usages en fort développement.

 

TechForFuture & French Tech

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InCyber Europe & autres

Publié le par Jacques SAMELA.

InCyber Europe & autres
InCyber Europe & autres

Forum InCyber Europe

https://www.minalogic.com/evenements/forum-incyber-europe/

Du 26/03/2024 au 28/03/2024

 

Le Forum InCyber est le principal événement européen sur les questions de la sécurité et de confiance numérique.

Sa singularité est de rassembler tout l’écosystème de la cybersécurité et du « numérique de confiance » : clients finaux, offreurs de services, éditeurs de solutions, consultants, forces de l’ordre et agences étatiques, écoles et universités…

Sa mission est de répondre à une double urgence :

📌 Faire face aux défis opérationnels de la cybersécurité

📌 Contribuer à la construction d’un futur numérique conforme aux valeurs et aux intérêts européens

LeForum InCyber, c’est à la fois :

📌 Un salon pour trouver des réponses opérationnelles à vos besoins

📌 Un forum dédié au partage d’expériences et à la réflexion collective

📌 Un sommet pour contribuer à la construction d’un espace numérique plus sûr

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Vus et lus dans Les Echos du 11/10/23
Vus et lus dans Les Echos du 11/10/23

Vus et lus dans Les Echos du 11/10/23

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I-Soon : une société chinoise accusée de piratage massif 

https://www.ecoreseau.fr/actualites/i-soon-une-societe-chinoise-accusee-de-piratage-massif-i-soon-2024-02-22-102521?utm_campaign=Matinale+Vendredi+-+20240223&utm_medium=email&utm_source=brevo

Le 22 février 2024

Une onde de choc secoue la communauté internationale alors qu’une entreprise informatique chinoise, I-Soon, est au centre d’accusations de piratage à grande échelle.

Les allégations sont graves : infiltration de l’Otan, de gouvernements étrangers, de comptes de réseaux sociaux et d’ordinateurs personnels. Les révélations, issues d’une fuite de données majeure, soulèvent alors des questions sur la sécurité numérique à l’ère moderne.

Selon des analystes de SentinelLabs et Malwarebytes, des sociétés américaines de cybersécurité, I-Soon aurait réussi à pénétrer les systèmes de gouvernements et d’organisations à Hong Kong. Ces intrusions auraient également touché des ministères en Inde, en Thaïlande, au Vietnam et en Corée du Sud, jetant ainsi une ombre sur la stabilité et la sécurité des institutions gouvernementales à travers le monde.

Les données divulguées, rendues publiques le 16 février sur le site de partage GitHub, offrent un aperçu rare et troublant des activités d’espionnage présumées de la Chine. Des fichiers de conversation, des présentations et des listes de cibles font partie du contenu analysé par les experts, mettant en lumière la sophistication des opérations clandestines de I-Soon.

Un piratage commercial et politique

Un peu de contexte pour démarrer, I-Soon se présente comme une entreprise spécialisée dans la sécurité informatique et a notamment candidaté à de nombreux appels d’offres du gouvernement chinois. Si son site Internet n’est plus accessible, des archives en ligne qui datent de mardi dernier, indiquent quant à elles, que l’entreprise est basée à Shanghai avec des bureaux à Pékin et au sein de plusieurs autres provinces chinoises, notamment au Sichuan (sud-ouest).

Bien qu’ayant l’air d’une société parfaitement anodine, les révélations sont inouïes. En effet, c’est à travers plus de 570 fichiers et images, que l’on apprend comment le prestataire informatique chinois a infiltré des pouvoirs étrangers, des comptes de réseaux sociaux et des ordinateurs personnels. Outre les intrusions gouvernementales, les documents divulgués révèlent eux aussi des détails troublants sur les pratiques commerciales de I-Soon. Et pour cause, des primes lucratives étaient offertes aux pirates informatiques pour des intrusions réussies à des fins politiques ou commerciales.

De plus, une analyse minutieuse des documents insiste sur des tentatives de piratage de comptes sociaux, des ordinateurs personnels et même des systèmes d’exploitation de téléphones, y compris l’iPhone d’Apple. Ce qui soulève des préoccupations majeures quant à la sécurité des données personnelles des utilisateurs et à la protection de la vie privée dans un monde pourtant de plus en plus connecté. Enfin, I-Soon aurait également tenté de répondre à des appels d’offres pour des opérations de piratage dans la région du Xinjiang, en Chine. Une région qui est depuis longtemps le théâtre de tensions ethniques et politiques, dont la répression contre les Ouïghours, une minorité ethnique musulmane.

Le silence reste de mise

De son côté, le ministère chinois des Affaires étrangères a rapidement nié toute implication dans cette affaire lors d’une conférence de presse. Mao Ning, porte-parole du ministère, a quant à lui déclaré que la Chine « s’oppose résolument à toute forme de cyberattaques ». Cependant, les preuves s’accumulent et se font surtout nombreuses contre I-Soon, remettant fortement en doute les dénégations officielles.

Face à ces accusations, I-Soon n’a pas encore répondu publiquement. Cependant, la société fait face à une pression croissante pour répondre aux allégations de piratage massif et d’espionnage international qui la visent. Les autorités gouvernementales et les experts en cybersécurité appellent d’ores et déjà à une enquête approfondie pour déterminer l’étendue réelle des activités de I-Soon. La priorité actuelle reste tout de même de prendre des mesures appropriées pour protéger la sécurité nationale et la vie privée des individus. En somme, cette affaire souligne l’urgence de renforcer la sécurité numérique à l’échelle mondiale.

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Vu et lu dans Les Echos du 11/10/23

Vu et lu dans Les Echos du 11/10/23

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Marseille future capitale de la cyber sécurité : Unitel Group rassemble un consortium d’industriels

https://lindustrie40.fr/marseille-future-capitale-de-la-cyber-securite-unitel-group-rassemble-un-consortium-industriels/?utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_campaign=l-industrie-4-0-les-dernieres-nouveautes-sont-la_39

Le 04/09/2023 

Unitel Group a réuni un consortium d’acteurs industriels pour inaugurer le projet Campus Cyber à Marseille, un investissement majeur dans le domaine de l’innovation et de la réindustrialisation. Cette initiative ambitieuse a pour objectif de créer un campus de pointe entièrement dédié à la cybersécurité et aux technologies connexes, en réponse aux attaques de plus en plus fréquentes touchant l’ensemble des acteurs économiques français dans notre monde de plus en plus connecté.

La ville de Marseille, déjà renommée pour ses datacenters et sa septième place mondiale en tant que hub de télécommunications, accueille désormais son propre Campus Cyber. Stratégiquement situé au cœur d’Euroméditerranée, ce site deviendra un centre de recherche, d’innovation et de formation destiné aux professionnels de la cybersécurité ainsi qu’aux futurs talents du secteur. Il abritera des laboratoires de recherche, des centres de formation, des entreprises technologiques et des partenaires industriels, créant ainsi un écosystème dynamique propice à la collaboration et au développement de projets novateurs.

Le projet Campus Cyber se positionne comme une réponse aux défis posés par la transformation numérique. Il s’agit de protéger les infrastructures critiques, les données sensibles et les systèmes de communication contre des cyberattaques dont la gravité augmente de façon constante. Le niveau de menace reste « très élevé », ce qui renforce la nécessité de renforcer la sécurité numérique. De plus, ce projet contribuera à la réindustrialisation de la France en stimulant la croissance de l’industrie de la cybersécurité et en favorisant l’innovation dans d’autres secteurs clés.

Les attaques par déni de service ou par ransomwares peuvent paralyser des entreprises ou des collectivités pendant des semaines, avec des conséquences imprévisibles. Le Campus Cyber s’engage à jouer un rôle crucial dans la sensibilisation et la prévention des menaces, avec pour objectif d’apporter une contribution majeure à la croissance économique et à la souveraineté nationale. Le Président d’Unitel Group, Kevin Polizzi, souligne l’importance de la cybersécurité en tant que domaine stratégique pour le futur, capable de renforcer l’attractivité et la compétitivité du territoire.

Le projet Campus Cyber bénéficiera d’un financement initial de 3,6 millions d’euros provenant d’entreprises partenaires, ainsi que du soutien de partenaires technologiques de renom. Les équipes seront hébergées dans la tour Mirabeau, dont la finalisation des travaux est prévue à la fin de l’année. Cette localisation est idéale car le quartier est un pôle d’infrastructures numériques et de start-ups en plein essor. Le Campus Cyber offrira ses espaces collaboratifs 24h/24 aux entreprises de toutes tailles et aux collectivités locales.

La réalisation du Campus Cyber débutera dans les semaines à venir, avec une ouverture opérationnelle prévue pour janvier 2024. Ce projet audacieux témoigne de la volonté des entreprises de jouer un rôle de premier plan dans le développement et l’innovation, et de se positionner comme des acteurs clés de la cybersécurité à l’échelle mondiale.

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Vus et lus dans Les Echos du 16/01/23
Vus et lus dans Les Echos du 16/01/23

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Les chiffres du Campus Cyber à Paris La Défense

Frenchweb du 26/01/24

Bateau amiral de l’écosystème cybersécurité Cyber en France, le CAMPUS CYBER a 2 ans et demi d’existence et compte 140 entreprises du secteur (grands comptes, start ups, organismes de recherches…) et des services de l’État répartis sur 13 étages et 26 000 m2 dans un bâtiment ultrasécurisé. Le lieu totem de la cyber met en place des actions visant à fédérer la communauté de la cybersécurité et à développer des synergies entre ces différents acteurs.

Plus de 1000 personnes y travaillent au quotidien avec un taux d’occupation de quasiment 100 %. Tarif de la location au m2 : plus de 750 EUR. Signe de succès : les sociétés qui veulent s’y installer doivent aujourd’hui s’inscrire sur liste d’attente. Le campus est l’équivalent cyber du Beer-Sheva en Israël ou du Global Cyber Center à New York City.

La société Campus Cyber qui organise le lieu est détenue par 61 % par le privé, à 39 % par l’État et est présidé par Michel Van Den Berghe. En 2023,
le campus est déjà bénéficiaire avec 22 millions d’EUR de chiffre d’affaires et un résultat net de 627 000 EUR contre 19,5 millions d’EUR de CA et un résultat net de 516 000 EUR en 2022.

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Vus et lus dans Les Echos du 09/06/23
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Startups cyber en France : hausse de 35 % des montants levés en 2023

LA MINUTE CYBER AVEC CLARANET (www.claranet.com

Malgré un contexte global de ralentissement dans le financement du secteur de la cybersécurité, la France démontre une résilience et un dynamisme exceptionnels, enregistrant une augmentation notable de 35 % des montants levés en 2023, par rapport à l’année précédente. C’est le principal enseignement du 5e baromètre de l’investissement européen en cybersécurité, publié par le fonds TIKEHAU CAPITAL avec le forum InCyber (ex-Forum international de la cybersécurité).

Cette performance place
la France presque au même niveau que le Royaume-Uni, avec 455 millions d’EUR collectés contre 465 millions pour ce dernier, faisant de l’Hexagone l’un des leaders européens dans le domaine. Alors que l’Europe dans son ensemble a connu une baisse de 42 % des montants levés, la France, grâce à des initiatives comme le « Cyber Booster » et un écosystème de financement solide, continue de montrer son potentiel en cybersécurité.

Avec 40 opérations recensées en 2023,
la France se distingue non seulement par le volume, mais aussi par la qualité des investissements, renforçant sa position sur la scène internationale face à la domination des États-Unis. La plus grosse levée cyber en France en 2023 revient à Ledger (portefeuille sécurisé de crypto-actifs) avec 100 millions d’EUR devant Chapsvision (éditeur français de logiciels d’analyses de données) avec 90 millions d’EUR.


L’UE lance son « bouclier cyber »

Dans un contexte de cybermenaces croissantes, notamment depuis le début du conflit en Ukraine, l’Union européenne a annoncé la mise en place de son premier grand BOUCLIER CYBER. Ce système d’alerte européen, soutenu par un réseau de « cyber hubs » équipés de supercalculateurs et d’IA, vise à améliorer la détection rapide des cyberattaques. Avec un investissement de plus de 1 milliard d’EUR, principalement financé par l’UE, cette initiative entend réduire considérablement le délai de détection des malwares.

Par ailleurs, l’UE prévoit la création d’une « réserve cyber » de volontaires pour renforcer sa défense en cas d’attaques majeures, illustrant un pas significatif vers une stratégie de défense européenne plus autonome et moins dépendante des États-Unis.

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Vu et lu dans Les Echos du 25/01/23

Vu et lu dans Les Echos du 25/01/23

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RAPPEL

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2022/02/tehtris-la-parade-assuree.html

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J'y étais donc....au JEC 2024

Publié le par Jacques SAMELA.

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Photos J.S
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Matériaux composites (JEC 2024, rappel & suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Matériaux composites (JEC 2024, rappel & suite)
Matériaux composites (JEC 2024, rappel & suite)

JEC World est Le salon N°1 au monde dédié aux matériaux composites et à leurs applications. Organisé à Paris, JEC World est le salon leader de l’industrie, accueillant les principaux acteurs du marché, réunis pour développer leur business et leur réseau, mais aussi pour partager leurs innovations.

JEC World, c'est “the place to be” pour les matériaux composites, avec des centaines de lancements de produits, des prix de l’innovation, une compétition de startups, des conférences, des démonstrations de machines... sans oublier les Innovation Planets qui présentent des produits finis innovants et de multiples opportunités pour développer son réseau.

Du 05 au 07 mars 2024 / Paris Nord Villepinte

https://www.jec-world.events/fr/about-jec-world

Les matériaux composites.

http://competitiviteinfrance.overblog.com/le-dossier-du-mois-les-mat%C3%A9riaux-composites

Publié le 6 mars 2013 

 

Du 12 au 14 mars 2013, se déroulera à Paris la vitrine du savoir-faire de la filière composite, le Jec Composite Show (www.jeccomposites.com). C'est le seul salon au monde qui rassemble l'ensemble des industries du secteur, offrant aux utilisateurs un panorama complet des procédés, nouveaux matériaux et solutions composites.

Mais, qu'est-ce qu'un matériau composite ?

C'est un assemblage d'au moins deux matériaux ayant une forte capacité d'adhésion composé d'un renfort (fibre d'origine minérale, organique ou végétale qui assure la résistance aux efforts et participe à la rigidité), et d'une matrice (résine qui assure la forme de la pièce, la tenue des fibres et la transmission des efforts). Il peut être à matrice organique, métallique et céramique.

Le premier matériau composite naturel utilisé par l'homme fut le bois. Ensuite, d'autres sont venus compléter la famille comme le torchis pour la construction, la fibre de verre pour la fabrication des piscines, la fibre de carbone pour l'aviation, le béton et le béton armé pour le génie civil, la fibre d'aramide ou kevlar pour les protections balistiques, gilets pare-balles ou encore le Glare, composé lui d'aluminium et de fibre de verre utilisé dans l'aéronautique.

Et aujourd'hui, les composites trouvent leurs principales applications dans le transport aérien (civil et militaire), maritime et ferroviaire, le bâtiment, l'automobile, ainsi que les sports et les loisirs.

Et avec 60 Mds d'Euros de chiffre d'affaires, une croissance annuelle de 6 %, on peut même dire que l'industrie mondiale des composites est plus que florissante.

Quant à la France, avec 15 % de la productivité européenne2 milliards d'Euros de chiffre d'affaires, plus de 20 000 employés répartis dans plus de 500 entreprises, dont 80 % sont des PME, une recherche active et une formation de haut niveau, elle est un des marchés leader en Europe, avec notamment une grande variété d'utilisateurs, leaders de l'industrie nationale (Dassault, Airbus, Total, Bouygues, Renault ou encore bénéteau), et de technologies de fabrication. Il devrait en outre bénéficier de la croissance mondiale en expansion, prévu au moins jusqu'en 2015, notamment sur des secteurs comme l'éolienl'offshore pétrolier ou encore le médical et le biomédical.

Jacques Samela

Agenda :

. Entretiens de l'Amac (association pour les matériaux composites) à Cachan le 19/03/13 : Les composites ont-ils un avenir ?

. 4ème convention d'affaires des matériaux composites à Nantes les 6 et 7 novembre 2013. (www.abe-industry.com).

 

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« Les matériaux composites sont les facilitateurs de la décarbonation »

https://www.lesechos.fr/thema/articles/les-materiaux-composites-sont-les-facilitateurs-de-la-decarbonation-2078569#:~:text=Interview-,%C2%AB%20Les%20mat%C3%A9riaux%20composites%20sont%20les%20facilitateurs%20de%20la%20d%C3%A9carbonation%20%C2%BB,7%20mars%202024%2C%20%C3%A0%20Villepinte.

Publié le 26 févr. 2024

 

Rendez-vous incontournable des acteurs des matériaux composites, le JEC World se tient cette année du 5 au 7 mars 2024, à Villepinte. L'occasion pour Eric Pierrejean, le président de JEC Composites de décrypter les principaux enjeux du secteur, notamment ceux liés à la transition écologique.

Pour le président de JEC Group, Eric Pierrejean, les matériaux composites ont toujours été à l'avant-garde industrielle, permettant « d'adresser de nouveaux marchés, d'ouvrir de nouvelles voies. » (DR)

Quelles sont les grandes tendances du marché des matériaux composites ?

Après une période de ralentissement, on est aujourd'hui revenus aux chiffres de production d'avant-Covid. Fin 2023, tous secteurs confondus, le marché mondial des matériaux composites consommés pour produire des pièces était de 13 millions de tonnes. Il représentait, en valeur, environ 41 milliards de dollars, avec une adoption accélérée des composites dans de nombreux secteurs d'activité.

Quelles sont les grandes filières industrielles ayant recours à ces matériaux ?

Transport, mobilité , aérien, aéronautique, éolien, médecine, sport … On distingue aujourd'hui une quinzaine de grands secteurs industriels qui font appel aux matériaux composites - fibres de verre, ces derniers représentant à eux seuls 90 % du marché, fibres de carbone, Aramides plus connu sous son nom commercial de Kevlar, fibres naturelles, etc. -, et exploitent leurs propriétés, en particulier leur légèreté, leurs performances mécaniques ou encore leur résistance élevée.

Comment se situent la France et l'Europe sur ce marché ?

En volume, les deux très grands marchés sont l'Asie et l'Amérique du Nord. Cependant, la France et l'Europe n'ont pas à rougir car elles restent des terres d'innovation, en termes de conception, de nouveaux matériaux, de procédés, en particulier grâce aux grands secteurs d'application que sont l'aérien, l'automobile, ou encore l'éolien terrestre ou offshore.

Depuis l'origine, dans les années 1960-1970, il y a d'ailleurs une réelle tradition de développement des composites dans notre pays, avec certains fleurons comme Chomarat, Porcher Industries, Demgy , Arkema ou encore Depestele pour les fibres de lin, mais aussi des entreprises internationales basées sur notre sol comme Hexcel, ou encore LM Wind Power à Cherbourg pour l'éolien. La France est en pointe en termes de compétences industrielles, de R&D et d'utilisation des composites.

Matériaux, processus de fabrication, cycle de vie, recyclabilité… comment les composites permettent-ils de décarboner certaines filières ?

C'est un secteur dans lequel les procédés de fabrication sont très variés, et s'adaptent aux besoins ou exigences de chaque domaine, de chaque application industrielle. Avec de toutes petites séries aux processus très manuels, voire aux pièces uniques ; et des systèmes très automatisés, digitalisés qui permettent de fabriquer en grandes séries, y compris en utilisant la fabrication additive, l'impression 3D ou encore le placement de fibres, pour exploiter au mieux la position des fibres dans les matrices, et ainsi optimiser les performances mécaniques des matériaux composites.

Avec, comme dans beaucoup de processus industriels, une démarche de réduction de l'empreinte environnementale sur l'ensemble du scope des consommations, en visant la conception la plus optimisée possible : énergie, matière première, chutes, déchets… Avec, également, le développement, plus récent, du recyclage des fibres et des matrices afin d'entrer dans une véritable démarche d'industrie circulaire.

Idem sur les matières premières avec des résines recyclables, ou des fibres naturelles, biosourcées pour remplacer les matières premières issues du pétrole. Aujourd'hui, tous les secteurs d'applications s'appuient sur les composites ou sollicitent les composites, pour accroître leurs performances, en réduisant leurs coûts et leur impact d'émissions de CO2.

Et le futur, comment l'envisagez-vous ?

C'est un secteur très innovant dans lequel le bain d'innovation est permanent. Depuis qu'ils existent, en effet, les matériaux composites sont les facilitateurs de la décarbonation . Ils permettent d'adresser de nouveaux marchés, d'ouvrir de nouvelles voies. Il y a quelques décennies encore, on n'imaginait pas, par exemple, transporter de l'hydrogène compressé dans des voitures. Or par leurs propriétés, les composites ont permis d'ouvrir ce marché, tout comme ils permettent aujourd'hui de produire des éoliennes de grande puissance.

Grâce aux composites vous pouvez ainsi imaginer continuer à alléger, mais aussi à allonger la durée de vie de vos produits, objets, véhicules, infrastructures, etc. Des objets qui vont également moins se corroder, moins se fatiguer, et ainsi durer plus longtemps, en toute sécurité, avec un bilan carbone d'autant plus positif.

Selon moi, l'innovation ne va donc pas s'arrêter, et je ne vois d'ailleurs pas de limites à l'utilisation des matériaux composites. On va continuer à inventer, à développer de nouvelles matières, de nouveaux matériaux, pour plus de performance et toujours moins d'empreinte carbone.

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Le Mondial du Rhum (avant le sujet de demain)

Publié le par Jacques SAMELA.

Le Mondial du Rhum (avant le sujet de demain)
Le Mondial du Rhum (avant le sujet de demain)

Du 13 au 15 février 2024, rejoignez nous au Palais Brongniart pour une expérience inédite, novatrice et mondiale dédiée à tout l'Écosystème Rhum.

Paris, à ces dates devient la Capitale Mondiale du Rhum. Explorez l'innovation, l'économie circulaire, l'intelligence artificielle, la biologie, l'industrie, la finance, la formation dans l’Écosystème Rhum lors de conférences et de sessions interactives, une première dans l'histoire du Rhum.

Cet événement révolutionnaire transcende les frontières traditionnelles des salons et séminaires pour offrir une plateforme unique où tous les acteurs du monde du Rhum, venus du monde entier, pourront se rencontrer, échanger et façonner ensemble l'avenir de l’Écosystème Rhum.

Ne manquez pas cette opportunité inédite de célébrer la passion commune pour le Rhum, de découvrir les dernières tendances et de créer des partenariats internationaux durables.

Rejoignez nous pour trois jours d'exploration, d'innovation et de célébration, lors de ce premier Mondial du Rhum, qui marquera l'histoire de l'Écosystème Rhum.

La Culture Rhum embarque avec elle toutes les autres cultures, gastronomique, artistique, littéraire, cinématographique, musicale, touristique.

Inscrivez vous dès maintenant et soyez partie prenante de cette première mondiale exceptionnelle !

Merci et à bientôt !

 Télécharger le dossier de présentation

https://www.therumsummit.com/doc/D-1242MM2300645742-DOSSIER%20DE%20PRESENTATION%202024%202.pdf?open=y

 

L'abus d'alcool est dangereux pour la santé.

A consommer avec modération.

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Hyvolution 2024 & Hydrogène (suites)

Publié le par Jacques SAMELA.

Hyvolution 2024 & Hydrogène (suites)
Hyvolution 2024 & Hydrogène (suites)

HYVOLUTION PARIS LE RENDEZ-VOUS LEADER MONDIAL DE L'HYDROGÈNE

https://paris.hyvolution.com/fr

 

+ DE 570 EXPOSANTS | 80H DE PROGRAMME | 350 INTERVENANTS

L'événement pionnier est aujourd'hui le leader du monde de l'hydrogène, un carrefour business, international et politique. Convaincu que le développement de l'Hydrogène repose sur celui de ses usages, Hyvolution fait de la transversalité des solutions le point cardinal de son offre.

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2021/11/hydrogene-hyvolution-2021-suite.html

 

Vu et lu dans Les Echos du 05/12/23
Vu et lu dans Les Echos du 05/12/23

Vu et lu dans Les Echos du 05/12/23

 

175 M€ pour la filière hydrogène

https://www.mobilitesmagazine.com/post/175-m-pour-la-filiere-hydrogene?utm_campaign=9e58d090-ce9e-4e6f-a0a6-3740c966f313&utm_source=so&utm_medium=mail&cid=9cfe1f90-d473-463a-b8a5-faaa7257951b

Le 23/05/2023

 

Agnès Pannier-Runacher, Roland Lescure et Clément Beaune, respectivement ministres de la Transition énergétique, de l’Industrie, et des Transports, ont lancé le 17 mai 2023, la relance de l’appel à projets « Ecosystèmes territoriaux hydrogène » dans le cadre du plan France 2030.

Rappelons que la stratégie nationale pour le développement de l’hydrogène décarboné lancée en 2020 consacrait déjà 9 milliards d’euros au déploiement de cette technologie.

Cette fois, les ministres ont annoncé une nouvelle enveloppe de 175 M€ qui servira à développer des écosystèmes combinant, à l’échelle d’un territoire donné, les différents maillons de la chaîne : production d’hydrogène, distribution d’hydrogène et usages de l’hydrogène, qu’ils soient industriels ou de mobilité.

Parmi les trois catégories, deux concerneront directement le secteur des mobilités, qu’ils s’agissent d’écosystèmes déjà existants ou en passe d’être développés.

 

Vu et lu dans Onze - Automne 2023
Vu et lu dans Onze - Automne 2023

Vu et lu dans Onze - Automne 2023

Vu et lu dans Les Echos du 28/06/23

Vu et lu dans Les Echos du 28/06/23

 

Lhyfe et Capital Energy s'associent

 

13/06/2023 – Mobilités Magazine

 

 Lhyfe, spécialiste de la production d'hydrogène vert et renouvelable, et Capital Energy, producteur et distributeur espagnol d’énergie, ont signé le 12 juin 2023 un accord de collaboration pour le développement conjoint de projets d'hydrogène offshore renouvelable au large de l’Espagne et du Portugal.

Selon les termes de l'accord, les deux entreprises développeront des unités de production d'hydrogène sur une sélection de sites où Capital Energy développe actuellement des parcs éoliens offshore.

L’énergéticien espagnol dispose d'un pipeline de développement de plus de 7,5 gigawatts (GW) dans ces deux pays.

Cet accord de collaboration entre Capital Energy et Lhyfe pourrait être étendu à d'autres zones géographiques à l'avenir.

 

Vu et lu dans Les Echos du 29/03/23

Vu et lu dans Les Echos du 29/03/23

 

Le projet HOPE reçoit une subvention de 20 M€ pour la production d'hydrogène offshore 

JEC du 28/07/23

D'une envergure inédite (10 MW – jusqu'à 4 tonnes d'hydrogène vert produit par jour), ce projet a été retenu par la Commission Européenne dans le cadre du partenariat européen pour l'hydrogène propre « Clean Hydrogen Partnership » et bénéficie à ce titre d'une subvention de 20 millions d'euros.

Le consortium du projet HOPE (Hydrogen Offshore Production for Europe), coordonné par Lhyfe, a signé un accord de subvention de 20 millions d'euros avec la Commission européenne. Cette signature fait suite à l'évaluation positive de la proposition soumise par les partenaires dans le cadre de l'appel à propositions du Clean Hydrogen Partnership, co-fondé et co-financé par l'Union européenne.

Le consortium vise à ouvrir la voie au déploiement d'une production offshore et à grande échelle d'hydrogène renouvelable. Le projet HOPE consiste en effet à développer, construire et exploiter d'ici 2026 la première unité de production de 10 MW en mer du Nord, au large de la Belgique. Son objectif est de démontrer la viabilité technique et financière de ce projet offshore, et du transport par pipeline pour desservir des clients onshore.

Avec HOPE, la production d'hydrogène en mer passe à l'échelle industrielle
Lhyfe avait franchi une première étape en 2022 avec l'inauguration d'une 1ère mondiale : Sealhyfe, le 1 er pilote de production d'hydrogène en mer au monde , intégrant déjà la technologie Plug, et alimenté par une éolienne flottante d'une puissance de 1 MW.

Avec HOPE, les partenaires du consortium changent d'échelle et visent la commercialisation : ce projet d'une envergure inédite (10 MW) pourra en effet produire jusqu'à 4 tonnes / jour d'hydrogène vert en mer qui sera exporté à terre par un pipeline composite, compressé et distribué à des clients pour des usages dans les secteurs de l'industrie et des transports. HOPE est le premier projet offshore de cette dimension au monde à débuter sa mise en œuvre efficace, pour une mise en service de l'unité de production et des infrastructures d'export et de distribution dès 2026.

HOPE bénéficiea d'une situation idéale, à 1 km des côtes, dans la zone d'essais en mer située devant le port d'Ostende (Belgique), qui vise à être le maillon central de la filière hydrogène en Belgique et a contribué au développement du projet depuis sa genèse.

Le site de production sera alimenté par une électricité fournie dans le cadre de contrats PPA (Power Purchase Agreement) qui garantit sa provenance renouvelable. L'eau utilisée pour l'électrolyse sera pompée dans la mer du Nord, désalinisée et purifiée.

Le site de production sera composé de trois unités : production et compression (à moyenne pression) en mer, exportation par un pipeline composite, puis compression (à haute pression), stockage et distribution à terre.

Les premiers kilos d'hydrogène de HOPE pourraient être des produits dès 2026. Ils alimenteront les besoins en mobilité et les petites industries en Belgique, au nord de la France et au sud des Pays-Bas, dans un rayon de 300 km.

Un projet « phare » pour la Commission Européenne et le Clean Hydrogen Partnership
Ce projet a été retenu pour financement dans le cadre des appels à propositions « Clean Hydrogen Partnership » co-financé par l'Union Européenne. HOPE est ainsi reconnue comme une initiative phare participant de façon déterminante à la transition énergétique. Via une première démonstration à grande échelle, le projet 
permettra en effet d'améliorer les solutions technologiques pour la production d'hydrogène renouvelable offshore et son exportation à terre, de contribuer à réduire les risques d'investissement pour des projets à beaucoup plus grande échelle. dans les années à venir, ouvrant ainsi la voie pour une production massive d’hydrogène renouvelable en Europe.

La subvention accordée par la Commission Européenne couvre une période de 5 ans : 3 ans de développement du démonstrateur puis 2 ans de démonstration de la fiabilité technique et de la viabilité commerciale du modèle. L'exploitation commerciale des infrastructures de production, d'exportation et de distribution d'hydrogène développe ainsi une vocation à se poursuivre au-delà de la durée du projet.

La subvention de 20 millions d'euros permettra de financer les phases d'étude, la fourniture des équipements, la réalisation des travaux ainsi que des travaux de recherche, de développement et d'innovation portant principalement sur l'optimisation des solutions technologiques et de l'opération. de ce type d'infrastructure. L'un des axes de travail porte également sur l'analyse techno-économique de solutions de production d'hydrogène renouvelable offshore à beaucoup plus grande échelle.

Grâce à un plan de diffusion et d'exploitation des résultats ambitieux, le consortium entend accélérer le déploiement de solutions hydrogène offshore à grande échelle pour contribuer à atteindre l'objectif fixé par la Commission européenne de 10 Mt d'hydrogène propre produit dans l' Union européenne d'ici 2030 pour décarboner l'économie européenne.

Des partenaires de premier rang pour une succession d'innovations technologiques 
HOPE combineront les expertises et le savoir-faire de chacun des 9 partenaires impliqués incluant l'ensemble de la chaîne de valeur de l'hydrogène renouvelable.

 

Vu et lu dans Les Echos du 29/11/23 et du 28/06/23
Vu et lu dans Les Echos du 29/11/23 et du 28/06/23
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Les Fonderies du Poitou se reconvertissent en hub énergétique vert

https://www.mesures.com/efficacite-energetique/les-fonderies-du-poitou-se-reconvertissent-en-hub-energetique-vert/

Le 06/09/2023   

 

Fermé l’an passé, ce site est réindustrialisé par un consortium formé de Lhyfe et de TSE, accompagné par la région Nouvelle Aquitaine.

Lhyfe, fournisseur européen d’hydrogène vert, et TSE, producteur français d’énergie solaire, se sont associés pour la reprise du site des Fonderies du Poitou, un an après sa fermeture. Ce projet de réindustrialisation est tourné vers les énergies vertes et l’économie circulaire, avec le soutien de la région Nouvelle Aquitaine, de l’agglomération du Grand Châtellerault et de la préfecture de la Vienne.

L’opération comprend le rachat du site des Fonderies d’Ingrandes (43 ha et 40 000 m² de bâtiments) par un consortium constitué de Lhyfe et de TSE. Tandis que le centre d’enfouissement technique d’Oyré (35 ha) est entièrement repris par TSE pour la production d’énergie solaire (45 GWh).

Concernant les Fonderies d’Ingrandes, « le projet conjoint consiste d’abord à démanteler les infrastructures existantes et à dépolluer le site pour le rendre conforme au processus d’industrialisation grâce au Fonds vert, et ensuite à bâtir les fondations d’un véritable parc industriel écologique où les entreprises travailleront en synergie », explique Ghislain Robert, directeur commercial France de Lhyfe. Quant à la puissance photovoltaïque que TSE planifie d’installer, elle devrait alimenter en électricité le site d’Ingrandes et permettre à Lhyfe de produire un hydrogène vert et renouvelable.

Les acteurs soulignent que cette reconversion dépasse largement la « simple » production d’hydrogène ou d’électricité verte. Le directeur général délégué de TSE, Alban Casimir, décrit en effet « un projet de réindustrialisation vert et vertueux, créateur d’emplois permettant d’accélérer la transition énergétique et le développement économique du territoire ».

Plusieurs entreprises ont d’ores et déjà manifesté leur intérêt pour rejoindre le site d’Ingrandes, dont une entreprise de logistique industrielle qui envisage une plate-forme de 20 000 m² et des producteurs d’e-carburants, e-methanol et rDME. A terme, ce hub énergétique vert devrait se traduire par la création de 250 à 300 emplois et par un montant d’investissement de plusieurs centaines de millions d’euros.

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Davos, que s’ouvre la 50ème (et désormais la 54ème)

Publié le par Jacques SAMELA.

Davos, que s’ouvre la 50ème (et désormais la 54ème)
Davos, que s’ouvre la 50ème (et désormais la 54ème)

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2020/01/davos-que-s-ouvre-la-50eme.html

Rendue célèbre par Thomas Mann, avec son livre « La montagne magique », elle est aujourd’hui connue pour être l’hôte du WEF (World Economic Forum), ou plus simplement du nom de la ville elle-même, le Davos.

Créé en 1971 par Klaus M. Schwab, professeur d’économie à l’université de Genève (Suisse), avec comme souhait de familiariser les entreprises européennes aux méthodes de management à l’américaine, il invita donc pour cette première, près de 500 dirigeants d’entreprises européennes dans le nouveau centre de congrès de la ville de Davos, l’intitulant « European Management Symposium ».

Devenant par la suite le « European Management Forum », il invitera chaque mois de janvier divers dirigeants d’entreprises de toute l’Europe.

Plutôt confidentiel au début, son impulsion démarra réellement en 1973 avec deux évènements majeurs que furent la fin des accords de Bretton Woods* en 1971, et la guerre du Kippour en octobre 73, occasionnant un intérêt nouveau sur les aspects économiques et sociaux, et en invitant pour la première fois des responsables politiques.

C’est en 1987 qu’il utilisera pour la première fois son appellation d’aujourd’hui, avec comme objectif cette fois-ci, de permettre par son entremise la résolution de conflits, ce qu’il obtint par exemple en 1988 avec la signature d’un accord entre la Grèce et la Turquie, en passe de s’entre-déchirer, en 1992, un an après la fin de l’apartheid, avec la rencontre entre le président sud-africain de l’époque, Frederick de Klerk, Nelson Mandela, et le chef zoulou Mangosuthu Buthelezi, connue comme la « Déclaration de Davos », ou encore en 1994, avec la rencontre entre le ministre israélien des affaires étrangères, Shimon Peres, et le chef de l’OLP**, Yasser Arafat, permettant la conclusion d’un projet d’accord sur Gaza et la ville de Jericho.

Alors, vous le savez bien, mais, comme les G7, G8 et autre G20 (http://competitiviteinfrance.overblog.com/2019/08/a-7-8-ou-20-l-essentiel-c-est-de-se-parler.html), le Davos est toujours aussi critiqué, voire peut-être plus, car représentant ces puissants, ces maîtres du monde, coupables aux yeux de certains de tous les maux de notre monde actuel, et pourtant, mais à vous de vous faire votre propre idée, avec ce qui suit.

En effet, fondation à but non lucratif, dont le siège est à Cologny, près de Genève, avec des bureaux à Pékin et à New York, le forum ne défend aucun intérêt politique, partisan ou national, il a le statut d’observateur auprès du Conseil économique et social des Nations Unies, il est placé sous la supervision du gouvernement suisse, et sa mission, affichée, est donc d’améliorer l’état du monde. Sacré challenge il est vrai.

Quant à son financement, consacrant près de 200 millions de francs suisses (environ 185 millions d’Euros) à l’organisation de son évènement, il est assuré depuis 2005 par des entreprises membres, pour la plupart des multinationales, s’acquittant d’une cotisation annuelle de près de 42 000 francs suisses (plus de 38 000 Euros), et se plaçant parmi les meilleures de leur catégorie, à même de jouer un rôle de précurseur dans l’évolution de leur domaine respectif.

Ensuite, l’organisation en elle-même de l’évènement, il faut savoir que la participation y est uniquement sur invitation, et que plus de 2000 personnes y participent chaque année, assistant aux plus de 200 sessions du programme officiel, traitant de sujets comme la pauvreté, les conflits, les tensions entre les Etats-Unis et l’Iran en feront certainement parties cette année, le Brexit également, ou encore les problèmes environnementaux, l’Australie aujourd’hui, l’Amazonie hier, amenés malheureusement à être récurrents dans les prochaines années.

Et, reconnu comme organisation internationale depuis 2015, plus de 500 personnes participent à sa bonne marche, tandis que près de 500 journalistes y assistent chaque année, et, souhaitant être le plus visible possible, et par tous, l’ensemble des séances plénières peuvent être suivies sur YouTube, et des images, ainsi que des citations clés, sont même visibles sur la majeur partie des réseaux sociaux, sans oublier les nombreux rapports économiques édités chaque année, attendus et très prisés.

Et pour finir, comme chaque année, se pose la même question, qui viendra et qui ne viendra pas ?

L’année dernière, le nouveau président brésilien, surnommé le « Trump des tropiques », y fit une intervention courte, en moins de quinze minutes, et jugée en adéquation avec son personnage plutôt clivant, quant au vrai Mister T, ne devant pas venir, « shutdown » oblige, il décida cependant au dernier moment de s’y rendre, chamboulant bien évidemment le déroulement et surtout la logistique de l’évènement. Mais, étant pour le coup, le représentant de la première puissance mondiale, eh oui, encore aujourd’hui, on n’imagine mal les organisateurs refuser sa participation, même si peut-être, mais cela reste en coulisse.

Le président Macron, et la 1ère ministre britannique de l'époque n’y vinrent finalement pas, pris par ailleurs par la situation du moment dans leur pays respectifs (GJ et Brexit), par contre, la chancelière allemande y était elle bien présente, indéboulonnable.

Donc, nous verrons bien cette année, scrutant également avec attention les rencontres, les discours, les indications proposées pour améliorer, ou tenter d’améliorer notre monde.

*Accords de Bretton Woods : Les accords de Bretton Woods, issus de la conférence de Bretton Woods qui s'est tenue au Mount Washington Hôtel, à Bretton Woods, dans le New Hampshire, du 1er au 22 juillet 1944, sont des accords économiques ayant dessiné les grandes lignes du système financier international mis en place après 1944. Leur objectif principal est de mettre en place une organisation monétaire mondiale et de favoriser la reconstruction et le développement économique des pays touchés par la guerre. Ils sont signés après trois semaines de débats entre 730 délégués représentant l’ensemble des 44 nations alliées. (Wikipedia)

**OLP : L’Organisation de libération de la Palestine (arabe : منظمة التحرير الفلسطينية, Munadhamat al-Tahrir al-Filastiniyah, OLP, anglais : Palestine Liberation Organization, PLO) est une organisation palestinienne politique et paramilitaire, créée le 28 mai 1964 à Jérusalem. (Wikipedia)

Jacques Samela

 

Sources :

. www.weforum.org

. Wikipedia

. https://www.lci.fr/international/le-forum-economique-mondial-de-davos-la-grand-messe-du-gotha-international-2076646.html

. https://www.franceculture.fr/economie/a-lorigine-du-forum-de-davos

. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/01/20/qu-est-ce-que-le-forum-de-davos_4850472_4355770.htm

 

A lire :

. https://www.lematin.ch/economie/50-ans-wef-davos-voudrait-reinventer/story/18194111

. https://www.la-croix.com/Economie/Monde/davos-forum-economique-mondial

https://www.weforum.org/events/world-economic-forum-annual-meeting-2024/

 

 

Vu et lu dans La Tribune du Dimanche du 14/01/24

Vu et lu dans La Tribune du Dimanche du 14/01/24

Publié dans Agenda

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