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BlaBlaCar (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

BlaBlaCar (suite)
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Vu et lu dans Les Echos du 25/09/18

Vu et lu dans Les Echos du 25/09/18

Vus et lus dans Ville, Rail & Transports de décembre 2018 et Challenges n° 586 du 15/11/18
Vus et lus dans Ville, Rail & Transports de décembre 2018 et Challenges n° 586 du 15/11/18

Vus et lus dans Ville, Rail & Transports de décembre 2018 et Challenges n° 586 du 15/11/18

Vus et lus dans Les Echos du 04/03/19, Le Figaro du 02/04/19, et Le Monde du 09/04/19
Vus et lus dans Les Echos du 04/03/19, Le Figaro du 02/04/19, et Le Monde du 09/04/19
Vus et lus dans Les Echos du 04/03/19, Le Figaro du 02/04/19, et Le Monde du 09/04/19

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Pour encore plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou relire l'article du 22 janvier 2015, intitulé Blablacar, en voiture tout le monde.

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Fermob, Opinel (suites)

Publié le par Jacques SAMELA.

Fermob, Opinel (suites)
Fermob, Opinel (suites)
Vu et lu dans Capital d'avril 2019
Vu et lu dans Capital d'avril 2019

Vu et lu dans Capital d'avril 2019

Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou relire le dossier du 01 juillet 2013 consacré à la marque française Fermob.

Vu et lu dans Le Parisien Weekend n° 23182 du 15/03/19
Vu et lu dans Le Parisien Weekend n° 23182 du 15/03/19
Vu et lu dans Le Parisien Weekend n° 23182 du 15/03/19

Vu et lu dans Le Parisien Weekend n° 23182 du 15/03/19

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 18 mai 2017, intitulé : Laguiole & Opinel : A couteaux tirés.

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Ne ratez-pas

Publié le par Jacques SAMELA.

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En effet, ne ratez-pas demain le sujet consacré au groupe français Atos.

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Champagne, Cognac, Ducasse, Poilâne, Rungis (suites)

Publié le par Jacques SAMELA.

Champagne, Cognac, Ducasse, Poilâne, Rungis (suites)
Champagne, Cognac, Ducasse, Poilâne, Rungis (suites)
Vus et lus dans Les Echos du 12/02/19 et du 28/03/19

Vus et lus dans Les Echos du 12/02/19 et du 28/03/19

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 29 décembre 2017, intitulé : Le champagne, des bulles, des bulles, toujours des bulles.

 

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 25 janvier 2019, intitulé : Le cognac, à l'export toute.

 

L'abus d'alcool est dangereux pour la santé.

A consommer avec modération.

Vus et lus dans Les Echos Weekend n° 134 du 31/08/18, Les Echos du 29/11/18, et du 07/03/19
Vus et lus dans Les Echos Weekend n° 134 du 31/08/18, Les Echos du 29/11/18, et du 07/03/19
Vus et lus dans Les Echos Weekend n° 134 du 31/08/18, Les Echos du 29/11/18, et du 07/03/19

Vus et lus dans Les Echos Weekend n° 134 du 31/08/18, Les Echos du 29/11/18, et du 07/03/19

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 08 septembre 2016, intitulé : Alain Ducasse, Pierre Gagnaire, combat de chefs ?

Vu et lu dans Le Parisien Weekend du 11/01/19 et Les Echos du 20/02/19
Vu et lu dans Le Parisien Weekend du 11/01/19 et Les Echos du 20/02/19
Vu et lu dans Le Parisien Weekend du 11/01/19 et Les Echos du 20/02/19
Vu et lu dans Le Parisien Weekend du 11/01/19 et Les Echos du 20/02/19

Vu et lu dans Le Parisien Weekend du 11/01/19 et Les Echos du 20/02/19

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 09 octobre 2017, intitulé : La maison Poilâne, pétrie de talent

Vu et lu dans Les Echos du 25/02/19,
Vu et lu dans Les Echos du 25/02/19,

Vu et lu dans Les Echos du 25/02/19,

Vu et lu dans Les Echos du 25/02/19 et Cnews du 18/03/19
Vu et lu dans Les Echos du 25/02/19 et Cnews du 18/03/19

Vu et lu dans Les Echos du 25/02/19 et Cnews du 18/03/19

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 23 décembre 2016, intitulé : Le marché de Rungis, origine France

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La filière bio et la finance verte (suites)

Publié le par Jacques SAMELA.

La filière bio et la finance verte (suites)
La filière bio et la finance verte (suites)
Vus et lus dans l'Usine Nouvelle n° 3586 du 22/11/18
Vus et lus dans l'Usine Nouvelle n° 3586 du 22/11/18

Vus et lus dans l'Usine Nouvelle n° 3586 du 22/11/18

Vus et lus dans Les Echos du 21/09/18 et Le Monde du 27/09/18
Vus et lus dans Les Echos du 21/09/18 et Le Monde du 27/09/18

Vus et lus dans Les Echos du 21/09/18 et Le Monde du 27/09/18

Vu et lu dans Les Echos du 22/02/19

Vu et lu dans Les Echos du 22/02/19

Vus et lus dans Le Monde du 25/04/19, Challenges n° 602 du 21/03/19, Les Echos du 29/03/19 et du 19/04/19
Vus et lus dans Le Monde du 25/04/19, Challenges n° 602 du 21/03/19, Les Echos du 29/03/19 et du 19/04/19
Vus et lus dans Le Monde du 25/04/19, Challenges n° 602 du 21/03/19, Les Echos du 29/03/19 et du 19/04/19
Vus et lus dans Le Monde du 25/04/19, Challenges n° 602 du 21/03/19, Les Echos du 29/03/19 et du 19/04/19
Vus et lus dans Le Monde du 25/04/19, Challenges n° 602 du 21/03/19, Les Echos du 29/03/19 et du 19/04/19

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Vu et lu dans Les Echos du 26/04/19

Vu et lu dans Les Echos du 26/04/19

Vus et lus dans Challenges n° 586 du 15/11/18, Les Echos du 26/11/18, et Le Parisien Weekend n° 23092 du 30/11/18
Vus et lus dans Challenges n° 586 du 15/11/18, Les Echos du 26/11/18, et Le Parisien Weekend n° 23092 du 30/11/18

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. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 27/10/17, intitulé : La filière bio, à la croisée des champs et des chemins.

Vu et lu dans Les Echos du 27/09/18
Vu et lu dans Les Echos du 27/09/18

Vu et lu dans Les Echos du 27/09/18

Vus et lus dans Les Echos du 20/02/19 et du 19/04/19
Vus et lus dans Les Echos du 20/02/19 et du 19/04/19
Vus et lus dans Les Echos du 20/02/19 et du 19/04/19
Vus et lus dans Les Echos du 20/02/19 et du 19/04/19

Vus et lus dans Les Echos du 20/02/19 et du 19/04/19

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 22 mai 2018, intitulé : La France, terreau fertile pour la finance verte ?

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Phenix (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Phenix (suite)
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Vu et lu dans Le Parisien Weekend du 10/05/19

Vu et lu dans Le Parisien Weekend du 10/05/19

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La tour Eiffel, Le Louvre (suites)

Publié le par Jacques SAMELA.

La tour Eiffel, Le Louvre (suites)
La tour Eiffel, Le Louvre (suites)
Vu et lu dans 20 minutes du 15/05/19

Vu et lu dans 20 minutes du 15/05/19

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire l'interview du 30 mars 2018, intitulée : La tour Eiffel, 129 ans et la vie devant elle

Ieoh Ming Pei, l’architecte de la pyramide du Louvre, est mort

Le Monde du 16/05/19

http://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/ieoh-ming-pei-larchitecte-de-la-pyramide-du-louvre-est-mort/ar-AABsKo8?li=BBoJvSH&ocid=DELLDHP

 

Le grand architecte sino-américain est mort dans la nuit de mercredi à jeudi à l’âge de 102 ans. Il est devenu célèbre, en France, pour avoir conçu la fameuse pyramide du Musée du Louvre.

L’architecte mondialement connu est mort, dans la nuit de mercredi 15 à jeudi 16 mai, à l’âge de 102 ans, a annoncé son fils Li Chung Pei auNew York Times. Le cabinet d’architectes new-yorkais de ses fils, Pei Partnership Architects, a précisé qu’il était décédé à New York.

Ieoh Ming Pei est né le 26 avril 1917 à Canton, la grande cité du sud de la Chine. Son père est un riche banquier ouvert sur l’Occident, et sa mère, une musicienne bouddhiste. Après la mort de celle-ci, qui l’a beaucoup affecté, il part en 1935 aux Etats-Unis, d’abord pour l’université de Pennsylvanie, à Philadelphie, puis pour le Massachusetts Institute of Technology (MIT), près de Boston, dont il sort diplômé d’architecture en 1940.

Les Etats-Unis entrent bientôt en guerre, et il rejoint le Comité américain de recherche de défense nationale, où il analyse la structure des villes japonaises à des fins militaires. Cette participation à l’effort de guerre américain lui permettra d’obtenir la nationalité américaine en 1954. En 1944, il reprend ses études et passe une maîtrise à Harvard, sous la houlette de Walter Gropius (1883-1969), fondateur du Bauhaus. Il en sort diplômé d’un master of architecture en 1946.

Le style de Pei, fondé principalement sur des formes abstraites, sera ainsi influencé par le Bauhaus, mais également par Le Corbusier (1887-1965) et Frank Lloyd Wright (1867-1959). Il est aussi un mélange harmonieux de tradition et de modernité. Pei a toujours souhaité que ses projets permettent l’équilibre entre une vision futuriste et des lieux marqués par l’histoire.

Moderniste et minimaliste

Entre 1945 et 1948, il est professeur assistant à la Harvard Graduate School of Design. En 1948, il part à New York et travaille sur ses premiers projets immobiliers pour le promoteur Webb & Knapp. En 1955, il crée sa propre entreprise avec deux associés qui, rebaptisée agence Pei Cobb Freed & Partners en 1989, deviendra l’une des plus importantes des Etats-Unis. Il travaillera surtout sur des projets publics, ne réalisant que trois maisons privées, dont sa résidence de vacances à Katonah, dans l’Etat de New York.

Pendant ses premières années d’exercice d’architecte, Pei conçoit plusieurs plans de renouveau urbain à Washington, Boston et Philadelphie. Dans ses premiers projets publics, il est fidèle à la rigueur moderniste du Bauhaus, ayant parfois une approche minimaliste, comme dans le cas des logements sociaux de Kips Bay Plaza, à Manhattan.

Après la mort du président Kennedy en 1963, sa veuve, Jackie Kennedy, obtient qu’il conçoive la bibliothèque présidentielle, à Boston (Massachusetts), projet achevé non sans difficultés en 1979. Il dessine aussi l’hôtel de ville de Dallas, une pyramide (inversée), qui préfigure celle du musée du Louvre.

Dans les années 1960, il affine sa vision d’une architecture équilibrée entre tradition et modernité, à l’exemple du Centre national pour la recherche atmosphérique (à Boulder, Colorado), construit entre 1961 et 1967, où il utilise des éléments vus dans les villages d’Indiens Pueblo de la région alentour. Son complexe se fond dans la nature.

Sa réputation grandit encore dans les années 1970 avec des projets de musées et plusieurs tours, comme à Houston (Texas) ou à Cambridge (Massachusetts). Il retourne en Chine seulement à la fin des années 1970, concevant le Fragrant Hill Hotel (Hôtel de la Colline parfumée), à la périphérie de Pékin, où il fait appel à des artisans locaux pour les bâtiments et les jardins.

Pyramide controversée

Sa réputation s’est encore accrue après le projet du Louvre. A l’initiative du président François Mitterrand, élu en mai 1981, qui souhaite moderniser le Musée du Louvre, il est désigné par ce dernier, en 1983, pour réaliser ce projet. Pei imagine une pyramide de verre pour signaler l’entrée principale du musée.

Son projet fera l’objet de vives controverses. Mais les choses suivent leur cours, et le nouveau musée ouvre en mars 1989, devenant un modèle architectural. Le concept sera ensuite décliné par Pei (et d’autres), notamment pour le Rock & Roll Hall of Fame Museum de Cleveland (Ohio), en 1995.

En 1983, il reçoit le prix Pritzker, considéré comme le prix Nobel en architecture. Il est alors retenu pour concevoir à Hongkong la tour de la Banque de Chine, une structure de verre asymétrique.

L’architecte se consacre ensuite à des projets plus personnels, même si son agence travaille toujours sur de grands projets. En 1997, il signe, notamment, le Musée Miho, à Shiga (Japon). Le bâtiment est intégré dans l’environnement et est essentiellement (à 80 %) souterrain. Autre œuvre majeure, le Musée historique allemand, à Berlin, en 2003, suivi du Musée d’art islamique de Doha, au Qatar, en 2008.

Son dernier grand chantier en Chine est le musée de la ville Suzhou, qui ouvre ses portes en 2006. Il fait partie des projets très personnels de Pei, puisque son grand-père avait une demeure dans cette ville.

Pei laisse une œuvre immense. Il a été reconnu de son vivant et couronné de nombreux prix, comme, en 1979, la médaille d’or pour l’architecture de l’Académie américaine des arts et des lettres, ainsi que la grande médaille d’or de l’Académie d’architecture (Paris), en 1981. Il reçoit aussi la médaille présidentielle de la liberté (Etats-Unis) en 1992. Membre de nombreuses académies ou instituts d’art, il a été élu membre de l’Académie française des beaux-arts en 1983.

Ieoh Ming Pei en 8 dates

26 avril 1917 Naissance à Canton (Chine)

1946 Master of architecture de Harvard

1979 John F. Kennedy Presidential Library and Museum, à Boston (Massachusetts)

1983 Prix d’architecture Pritzker

1989 Pyramide du Louvre, à Paris

2003 Musée historique allemand, à Berlin

2008 Musée d’art islamique de Doha (Qatar)

16 mai 2019 Mort à New York (Etats-Unis)

 

 

https://www.batiactu.com/edito/ieoh-ming-pei-pere-pyramide-louvre-s-est-eteint-a-102-56440.php?MD5email=8843226679e17408c0597aaee1b4b186&utm_source=news_actu&utm_medium=edito&utm_content=article

https://www.batiactu.com/edito/pyramide-louvre-fete-ses-30-ans-22804.php

 

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 13 juillet 2016, intitulé : La petite histoire du plus grand musée du monde.

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Longchamp (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Longchamp (suite)
Longchamp (suite)
Vu et lu dans Gala n° 1322 du 10/10/18
Vu et lu dans Gala n° 1322 du 10/10/18

Vu et lu dans Gala n° 1322 du 10/10/18

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 29 octobre 2015, intitulé : Longchamp, du sultan à la maison unique.

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OVH, Parrot, Qwant, Sigfox (suites)

Publié le par Jacques SAMELA.

OVH, Parrot, Qwant, Sigfox (suites)
OVH, Parrot, Qwant, Sigfox (suites)
Vu et lu dans Les Echos du 12/02/19

Vu et lu dans Les Echos du 12/02/19

https://www.alliancy.fr/it_leur_parle/cloud/2019/04/16/michel-paulin-ovh-le-probleme-du-cloud-est-quil-ne-doit-pas-devenir-une-prison?doing_wp_cron=1556010712.7132639884948730468750

 

. Pour plus d'information, n'hésitez-pas à lire ou relire l'article du 05 octobre 2013, intitulé : OVH, une réussite française.

Vus et lus dans Les Echos du 07 & 19/03/19
Vus et lus dans Les Echos du 07 & 19/03/19
Vus et lus dans Les Echos du 07 & 19/03/19
Vus et lus dans Les Echos du 07 & 19/03/19

Vus et lus dans Les Echos du 07 & 19/03/19

Pour se relancer, Parrot dévoile un nouveau modèle destiné aux professionnels

16/04/2019 / frenchweb.fr /

https://www.frenchweb.fr/insiders-pour-se-relancer-parrot-devoile-un-nouveau-modele-destine-aux-professionnels/355244?utm_source=FRENCHWEB+COMPLETE&utm_campaign=b4bf5a78a8-EMAIL_CAMPAIGN_2019_04_16_AM&utm_medium=email&utm_term=0_4eb3a644bc-b4bf5a78a8-106733281

 

AFP – Le fabricant français de drone Parrot a annoncé lundi le lancement de son nouveau modèle, Anafi thermal, doté d’une caméra thermique, en direction des professionnels et se relancer après une année 2018 noire, où son chiffre d’affaires a chuté de 28%. Un gabarit de 218 millimètres et 315 grammes pour redécoller.

Le PDG de Parrot Henri Seydoux, qui a augmenté le 11 avril sa participation au capital à 57,26% via la société Horizon, a présenté dans une conférence de presse Anafi thermal, le nouveau modèle de la marque, qui sera commercialisé à partir du 9 mai.

Henri Seydoux, qui ne s’est pas avancé à donner un objectif de ventes ou de chiffre d’affaires, a justifié le choix de se tourner encore plus vers les professionnels: « le business du drone évolue.

Il est parti du consommateur, mais se dirige vers un usage professionnel.» « Une grande moitié » du chiffre d’affaires de Parrot est déjà réalisé grâce aux drones professionnels. Plus « compact», le drone est notamment équipé d’une caméra thermique de 160×120 pixels. « Il permet une analyse fine et rapide d’un bâtiment ou d’une forêt, par exemple pour permettre aux pompiers de voir les derniers foyers de chaleur en fin d’incendie», a fait valoir Henri Seydoux.

Trois batteries sont fournies, chacune d’une autonomie de 26 minutes. Anafi thermal sera vendu à partir du 9 mai, pour 1 900 euros hors taxe.

La première version d’Anafi, lancé à l’été 2018 coûte 700 euros mais ses ventes se sont avérées décevantes. Le fabricant de drones avait annoncé le 23 novembre la suppression d’une centaine d’emplois, du fait d’une baisse importante du marché grand public.

Il n’a pas atteint ses objectifs de chiffre d’affaires au quatrième trimestre 2018 ni de rentabilité sur l’année. Parrot a prévu une baisse de 28% de ses ventes à 109 millions d’euros pour tout l’exercice 2018.

Parrot a connu son heure de gloire il y a quelques années, au début de la vogue des drones quadricoptères grand public, qu’il a largement contribué à créer. Mais le groupe s’est fait ensuite rattraper et distancer par le groupe chinois DJI, dont la part du marché mondial dépasse aujourd’hui les 70%.

 

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 23 février 2015, intitulé : Parrot, le perroquet connecté.

 

Vu et lu dans Challenges n° 603 du 28/03/19
Vu et lu dans Challenges n° 603 du 28/03/19
Vu et lu dans Challenges n° 603 du 28/03/19

Vu et lu dans Challenges n° 603 du 28/03/19

Vus et lus dans Les Echos du 20/02/19, du 20/03/19, et du 26/04/19
Vus et lus dans Les Echos du 20/02/19, du 20/03/19, et du 26/04/19
Vus et lus dans Les Echos du 20/02/19, du 20/03/19, et du 26/04/19

Vus et lus dans Les Echos du 20/02/19, du 20/03/19, et du 26/04/19

. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 12 juin 2016, intitulé : Qwant, moteur de découverte à la française.

Vu et lu dans l'Usine Nouvelle n° 3600 du 28/02/19

Vu et lu dans l'Usine Nouvelle n° 3600 du 28/02/19

Plus de 500 millions d’euros ont été investis dans le réseau 0G de Sigfox

| 20/02/2019 | VIPress.net

Disponible dans 60 pays et régions, le réseau Sigfox couvre désormais toute l’Europe et peut connecter 1 milliard de personnes à travers le monde. A ce jour, plus de 500 millions d’euros ont été investis par Sigfox et ses opérateurs partenaires pour créer ce réseau IoT, que l’entreprise toulousaine baptise 0G. L’écosystème autour de la technologie Sigfox compte aujourd’hui plus de 200 universités et partenaires, et plus de 1 200 start-up.

2018 fut une année de croissance soutenue pour Sigfox. L’ambition de Sigfox en matière de couverture a été atteinte en décembre 2018 lorsque le réseau a été déployé en Pologne, faisant de Sigfox le seul opérateur couvrant entièrement l’Europe. Le réseau Sigfox couvre désormais potentiellement 1 milliard de personnes, une étape clé dans l’histoire de l’entreprise dont la première antenne fut installée en France en 2011.

Les services liés à la donnée continuent de croître : 6,2 millions d’objets sont désormais connectés au réseau Sigfox, soit une croissance de 148% par rapport à 2017, et 13 millions de messages transitent chaque jour sur le réseau. Les revenus de Sigfox ont atteint 60 millions d’euros en 2018, soit 20% d’augmentation comparé à 2017. Quant aux revenus liés à la connectivité, ils ont augmenté de 100% en 2018. En 4 ans, les revenus de l’entreprise ont ainsi augmenté de 400%.

En 2018, des contrats avec des acteurs de premier plan ont été signés, notamment dans le domaine du suivi d’actifs ; ces partenariats incluent PSA/IBM, Michelin, Total, Dachser, Getrack, NEC et Netstar. Des fabricants dans les secteurs de l’automobile et de la mobilité ont également rejoint l’écosystème Sigfox comme Alps et LiteOne. 2018 a également permis à Sigfox de démontrer sa capacité à offrir un réseau de secours aux différentes technologies de connectivité.

La technologie 0G a été choisie et intégrée à la Freebox Delta, grâce à un partenariat stratégique conclu avec Free. La technologie Sigfox se positionne ainsi en solution alternative aux services de communication traditionnels pour assurer la sécurité des appareils. Sur ce même segment de la sécurité, 2,8 millions d’alarmes Securitas ont été connectées au réseau Sigfox ces 5 dernières années.

Objectif : connecter 1 milliard d’objets d’ici la fin 2023

L’ambition de Sigfox se résume en quatre lettres : « 1B23 », à savoir connecter 1 milliard d’objets à son réseau 0G d’ici la fin 2023. Pour soutenir cette ambition, la stratégie de l’entreprise repose sur deux initiatives. Tout d’abord, finaliser la couverture mondiale de son réseau 0G en s’implantant dans 3 pays stratégiques : l’Inde, la Russie et la Chine.

De plus, lancer son premier satellite au second semestre 2019, en partenariat avec Eutelsat. Les deux entreprises travaillent à la finalisation de l’offre et prépare le lancement commercial du projet de constellation « ELO » prévu en 2020. L’objectif est de couvrir l’ensemble de la planète avec une solution combinant des réseaux terrestres et satellite. L’écosystème et les clients Sigfox pourront ainsi utiliser le satellite sans modifier leurs appareils existants.

« Grâce à sa couverture sans égal et un grand nombre d’objets connectés à son réseau, Sigfox confirme ses performances et sa légitimité. Les entreprises du monde entier qui nous font confiance reconnaissent la proposition de valeur de notre technologie et de nos services. Suivre des actifs sur les quatre continents avec des outils de tracking, pour quelques dollars seulement et avec une forte autonomie, n’est plus un rêve. Seul le réseau 0G peut fournir de telles performances », déclare Ludovic Le Moan, p-dg et co-fondateur de Sigfox.

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Sigfox et Michelin lancent Safecube, une co-entreprise proposant une solution de tracking intercontinental

L’Usine Nouvelle du 10/04/19

Sigfox profite du SIDO, qui se tient à Lyon les 10 et 11 avril 2019, pour lancer Safecube. Cette co-entreprise créée avec Michelin et Argon Consulting propose de faire du suivi en temps réel des conteneurs transportés à travers divers continents.

A l'occasion du SIDO 2019, Sigfox annonce ce mercredi 10 avril le lancement de Safecube. Cette co-entreprise créée avec Michelin et Argon Consulting propose "une solution de géolocalisation et de suivi temps réel du transport intercontinental", résume à L'Usine Digitale Waël Cheaib, CEO de Safecube.

Ce suivi intercontinental des conteneurs est multimodal : il est maritime mais peut aussi être réalisé en amont ou en aval lorsque le conteneur est transporté par train ou par camion. La solution sera commercialisée dès septembre 2019, précise-t-il.

D'un pilote avec Michelin à la création de Safecube

La création de Safecube fait suite à un pilote mené avec Michelin et Argon Consulting en août 2017. "Quand Argon Consulting est venu nous proposer ce pilote, on ne pensait pas que ça marcherait", confie à L'Usine Digitale Patrick Cason, directeur général de Sigfox France.

Un tracker aimanté étant fixé à l'intérieur même du conteneur, cela complique en effet la communication avec le réseau bas débit de Sigfox. Mais le pilote a fonctionné : Michelin a pu suivre ses conteneurs transportés d'un entrepôt de Clermont-Ferrand (63) jusqu'à un entrepôt en Afrique du Sud. De même vers les Etats-Unis, les Caraïbes, Malte, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Moyen-Orient ou Singapour

Rapidement, Sigfox et ses partenaires se sont aperçus qu'il y a une vraie appétence pour ce type de solution, pas chère et agnostique, permettant de suivre sa marchandise d'un continent à l'autre. "Aujourd'hui, pour transporter un conteneur, les entreprises interagissent avec une vingtaine d'acteurs différents : transporteur, gestionnaire d'entrepôts, douane…", liste Waël Cheaib. Il est compliqué de savoir où se situe le conteneur et cela peut prendre plusieurs jours pour connaître sa localisation.

suivi et optimisation de toute  la chaîne logistique

Le fait que Safecube soit une co-entreprise entre ces trois acteurs et non pas un transporteur maritime ou un logisticien est un vrai plus selon les dirigeants. Selon eux, les entreprises clientes de cette solution peuvent ainsi optimiser l'ensemble de la chaîne logistique et les coûts : il est possible d'étudier dans le détail le trajet réalisé par le conteneur et décider de revoir son contrat de transport maritime afin que le conteneur soit pris un charge à un autre port ou transite via une autre route.

Par exemple, "en réduisant de deux jours les délais de transport entre la France et les États-Unis, Michelin a eu un retour sur investissement positif sur le service proposé", affirme Waël Cheaib. De même, en sachant qu'une livraison aura du retard, il est possible de ralentir une ligne de production plutôt que de l'arrêter. Cela est d'autant plus faisable que Safecube "envoie en temps réel des alertes en cas de retard", précise Waël Cheaib.

Pour les entreprises le désirant, il est également possible de suivre les conditions de transport : taux d'humidité, température, choc reçu, ouverture du conteneur… peuvent être facilement relevés. La coentreprise travaille au lancement d'autres projets mais n'en dira pas plus pour l'instant. "Safecube va évoluer en fonction des usages", assure simplement Waël Cheaib.

La coentreprise imagine même déjà travailler de manière plus large avec les autorités portuaires afin de trouver des solutions pour sécuriser le suivi des marchandises et la manipulation de celles-ci au port.

Un marché pesant 5 milliards d'euros

Le transport intercontinental est un marché pesant 5 milliards d'euros de chiffre d'affaires et réalisant 100 millions d'expéditions de conteneurs chaque année. Un beau terrain de jeu pour Safecube. Et ce, d'autant plus que les marchés, les réseaux bas débit et les clients deviennent matures pour ce type de projet. Voyant que de grandes sociétés comme Michelin ou Airbus, l'un des premiers gros clients de Sigfox dans ce domaine du suivi logistique, se lancent dans de tels projets, la coentreprise est confiante sur l'adoption de sa solution par d'autres grands acteurs.

Il y a deux ans, le réseau Sigfox n'avait pas la même couverture et les capteurs coûtaient beaucoup plus cher. "Aujourd'hui le réseau Sigfox est déployé dans 60 pays et permet donc de répondre à une bonne partie des problématiques soulevées par les clients", affirme Patrick Cason. Prochain déploiement de grande envergure ? La Chine, où Sigfox espère proposer son réseau bas débit.

 

. Pour plus d'information, lire ou relire l'article du 24 mars 2015, intitulé : Sigfox, l'envol du papillon.

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Multilatéralisme VS Protectionnisme (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

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. Pour plus d'informations, n'hésitez-pas à lire ou à relire le dossier du 05 septembre 2018, intitulé : Multilatéralisme VS Protectionnisme, ou tel est pris qui croyait prendre ?

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