Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le rendez-vous de l'Europe 1 : La Pologne, la BCE, l'Euro, et Parlement

Publié le par Jacques SAMELA.

Le rendez-vous de l'Europe 1 : La Pologne, la BCE, l'Euro, et Parlement
Le rendez-vous de l'Europe 1 : La Pologne, la BCE, l'Euro, et Parlement
Vu et lu dans Les Echos du 27/02/23
Vu et lu dans Les Echos du 27/02/23

Vu et lu dans Les Echos du 27/02/23

Vus et lus dans Les Echos du 24/05/23
Vus et lus dans Les Echos du 24/05/23
Vus et lus dans Les Echos du 24/05/23
Vus et lus dans Les Echos du 24/05/23

Vus et lus dans Les Echos du 24/05/23

Vu et lu dans Les Echos du 11/07/23
Vu et lu dans Les Echos du 11/07/23

Vu et lu dans Les Echos du 11/07/23

L'euro, un accélérateur ou un frein à la croissance dans l'Union économique et monétaire ?

https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/l-euro-un-accelerateur-ou-un-frein-a-la-croissance-dans-l-union-economique-et-monetaire-975105.html?xtor=EPR-2-[l-actu-du-jour]-20230907&M_BT=6363555962

 

CHRONIQUE. Dans la zone euro, la croissance stagne. En France le ministre de l'Économie et des Finances salue "la performance remarquable" de l'économie française. L'euro géré par la BCE a-t-il contribué à une accélération ou à un ralentissement économique ? Faut-il recalculer les taux de conversion des monnaies nationales ? Par Gabriel Gaspard, Chef d’entreprise à la retraite, spécialiste en économie financière.

Gabriel Gaspard

07 Sept 2023, 8:41

L'unification monétaire européenne. Au XIXe siècle, plusieurs expériences d'union monétaire ont émergé, mais aucune n'eut le rayonnement de l'actuelle Union économique et monétaire UEM. L'Europe a connu l'union monétaire austro-allemande (1857-1866), l'union monétaire scandinave (1863-1914) qui regroupa la Suède, la Norvège et le Danemark, et enfin l'union monétaire latine (1865- 1914) conclue entre la France, la Belgique, l'Italie, la Suisse, la Grèce, l'Espagne et la Roumanie.

Créé en 1999, l'euro a été introduit dans l'Union économique et monétaire UEM, ou zone euro, dans onze pays européens. Cette zone devait renforcer l'intégration économique et politique au sein de l'Union Européenne. En ce sens, l'euro a été voulu comme un accélérateur de la croissance, dans la mesure où l'utilisation d'une seule monnaie intensifierait la concurrence dans la zone euro et renforcerait l'intégration des marchés. Plusieurs raisons avaient justifié ce choix : lutter contre les coûts des opérations de change, renforcer la compétitivité des entreprises, contrecarrer la puissance du dollar, etc. Après plus de 20 ans, l'euro a un bilan qui demeure mitigé.

L'euro aurait de nombreux défauts. Pour certains économistes, la zone euro n'a pas été constituée comme une zone monétaire optimale (ZMO). L'Europe ne remplit pas trois conditions majeures : la mobilité des travailleurs n'y est pas parfaite, il n'y a pas de diversification sectorielle et il n'existe pas de fédéralisme budgétaire et fiscal, etc. D'après R. Mundell, prix Nobel d'économie, "parrain" de l'euro et père de la macroéconomie internationale, une zone monétaire, pour être "optimale", doit être dotée de mécanismes d'ajustements permettant de réduire l'impact de chocs asymétriques. De tels mécanismes ne sont pas réellement opérationnels au sein de la zone euro où la solidarité budgétaire entre les différents États est à un stade rudimentaire.

Selon Joseph Stiglitz, prix Nobel d'économie, l'euro au lieu de rapprocher les européens a fini par les diviser et plomber l'économie. En d'autres termes, l'euro a contribué à un ralentissement économique et à des pertes de pouvoir d'achat pour les ménages européens. Est-ce effectivement le cas ?

La croissance de 1985 à 2022. Quatre sous-périodes se distinguent : 1985-1991, 1992-1998, 1999-2016 et 2017-2022 pour 3 zones : monde, États-Unis et zone euro (données Banque mondiale).

De 1985 à 1991C'est la perestroïka et la fin de l'URSS. C'est la Bulle spéculative au Japon où les grandes villes japonaises ont connu une période de très forte hausse des prix fonciers et immobiliers. La bulle et son dégonflement sont à l'origine des formes urbaines actuelles : "néo-libéralisation, financiarisation de l'urbain, mégaprojets privés, verticalisation, polycentrisme, et aménagement du front de mer en sont les héritages". La croissance mondiale reste très bonne à 3,59%, la zone euro (avant l'euro) avec 3,14% faisait mieux que les États-Unis à 2,99%.

De 1992 à 1998. On note : la crise du système monétaire européen (SME) à l'occasion du référendum français sur le traité de Maastricht, la crise du mécanisme de change européen en 1992 et 1993, la crise économique mexicaine de 1994, la crise économique asiatique en 1997, etc. La croissance américaine dépasse la croissance mondiale mais la croissance de la zone euro diminue de 1,28%.

De 1999 à 2007. En novembre 1999, le président Clinton abroge la loi Glass-Steagall, instaurée en 1933 par le président Franklin Roosevelt pour séparer les activités des banques de dépôt de celles des banques d'investissement. C'est la période qui va du début de la zone euro à la crise des subprimes. La croissance de la zone euro reste nettement en deçà de celle des États-Unis et de la croissance mondiale. Le 8 février 2007, la banque HSBC avertit que les impayés des crédits immobiliers à risque vont amputer son bénéfice annuel de 105 milliards de dollars. C'est le début de la crise de 2008 dites des subprimes. 

De 2008 à 2016. Pour lutter contre la crise financière de 2008, la Banque centrale européenne adopte des mesures "non conventionnelles". Ces mesures ont pris des formes telles que : une politique de taux accommodante y compris de taux négatifs, un accès assoupli aux liquidités pour les banques commerciales et la mise en place d'opérations de refinancement (TLTRO), des programmes d'achat d'actifs publics et privés (quantitative easing), complétées par des facilités de prêts de titres. In fine beaucoup de liquidités ont profité aux banques et à la Bourse. Hélas les politiques budgétaires nationales des pays de la zone euro, qui ne sont pas cordonnées, ont plutôt eu un effet négatif sur la croissance et ont amplifié les pressions déflationnistes. Le résultat est un recul historique de la croissance en zone euro à 0,46%.

De 2017 à 2022. Le 18 mars 2020, la BCE annonce le lancement d'un programme d'achats d'urgence face à la pandémie, le PEPP (Pandemic Emergency Purchase Programme) qui injecte beaucoup de liquidités. La BCE achète les titres grâce à de la création monétaire. L'économie mondiale, qui ne s'est pas encore remise de la pandémie et de la guerre de l'Ukraine, fait face à des perspectives de plus en plus sombres et incertaines. L'aboutissement d'une inflation plus forte que prévue provoque un durcissement des conditions financières. La zone euro a le taux de croissance le plus faible à 1,47%, alors que l'indice IPCH (inflation) passe de 1,34% en 2017 à 9,22% en 2022.

Le constat. Avec l'euro, les signataires espéraient que cette monnaie provoquerait une union rapide des économies des États membres. L'objectif était d'organiser une convergence des politiques industrielles et sociales vers un modèle plus libéral : plus de flexibilité du marché du travail, plus de concurrence sur les marchés des biens, réduction du rôle de l'État et du secteur public, baisse des dépenses de protection sociale. On note aujourd'hui que cette stratégie ne correspondait pas toujours aux souhaits des citoyens européens. Cette orientation a affaibli la construction européenne. Dans la plupart des pays, l'introduction de l'euro n'a pas provoqué l'accélération promise de la croissance. Pour d'autres, l'accélération de la croissance s'est accompagnée de l'accroissement de déséquilibres structurels.

La proposition de Joseph Stiglitz. Dans son ouvrage, Comment la monnaie unique menace l'avenir de l'Europe, publié chez LLL les liens qui libèrent en 2016, Joseph Stiglitz préconise soit une sortie en douceur de l'euro soit la mise en place d'un "euro flexible". Dans cette seconde hypothèse, "des pays (ou groupes de pays) différents pourraient avoir chacun leur propre euro", dont la valeur fluctuerait au sein d'une fourchette commune.

Du point de vue juridique, l'intégration d'un État membre dans la zone euro a été conçue comme un processus irrévocable. Le traité de Lisbonne ne contient aucun mécanisme permettant la sortie de la zone euro. Les experts prévoient plusieurs scénarios difficilement applicables pour sortir de l'UEM. Du point de vue financier, la BCE a acheté pour 457,3 milliards des titres de dette émis par les États de la zone euro à partir de 2010 en fonction de leur part dans son capital. Il parait inabordable à un pays de la zone euro de faire racheter ses obligations détenues par la BCE par des acteurs locaux ou étrangers.

Faut-il recommencer les vicissitudes du "Serpent monétaire" ? Instauré en 1972, les gouvernements des banques centrales européennes créent un système de rétrécissement des marges : un serpent monétaire européen dans le tunnel. Ce système a permis aux banques centrales d'intervenir en monnaies européennes dans les limites des marges de fluctuation réduite à 2,25%. Cette expérience n'obtient pas le succès requis. En mai 1972, la livre sterling, irlandaise et la couronne danoise rejoignent ce serpent. Elles seront contraintes d'en sortir au bout de quelques semaines à causes des nouvelles spéculations financières.

L'aboutissement. Il faut arriver à une décision qui intègre plusieurs constituants : des nouvelles règles de convergences, une solidarité budgétaire entre les États de la zone euro, une gestion saine des liquidités au niveau de la Banque centrale européenne, un équilibre entre l'endettement extérieur des États (accès aux marchés financiers) et l'endettement intérieur via les acteurs locaux (économies des ménages). Sans sortir de l'euro pour revenir au franc avec la même valeur que l'euro ou non, sans euro flexible, en attendant une zone monétaire optimale, il faut réajuster son taux de conversion au temps et à la réalité du poids de chaque pays dans la zone euro et aller vers une économie écosociale.

Pour comprendre. La valeur de l'euro est un taux de conversion et non un taux de change calculée sur la base des monnaies des États membres. Elle a été fixée au 1er janvier 1999 par 11 pays d'Europe. Les taux de conversion de chaque pays ont été déterminés par le Conseil de l'Union européenne sur la base des taux du marché au 31 décembre 1998. Le cours du dollar a joué un rôle essentiel pour évaluer la pondération des cours nationaux.

En tenant compte de plusieurs éléments tels que différence de productivité, poids dans les échanges ou importance économique des pays membres de l'Union Economique et Monétaire (UEM) et la position euro dollar, les spécialistes peuvent calculer aujourd'hui, comme en 1999, de manière équitable les nouvelles valeurs monétaires nationales pour les pays concernés de la zone euro.

À titre de comparaison en 1999, le PIB de la France était de 4,55% du PIB mondial, celui de la zone euro de 21,74% et celui des États-Unis de 29,40%. En 2022, le PIB de la France tombe à 2,76%, les États-Unis affirment leur position à 25,32% et la zone euro fléchit à 13,96% (source Banque mondiale).

Le dernier pays européen rentré dans la zone euro est la Croatie au 1er janvier 2023. Le taux de conversion entre l'euro et la kuna croate fut fixé à 7,53450 kunas pour un euro, ce qui correspondait au taux central de la kuna dans le mécanisme de change MCE II.

Face au futur incertain, pour renforcer le pouvoir de l'euro et contrer la puissance du dollar, pour rétablir l'équité entre les pays de la zone euro, pourquoi ne pas recalculer tous les taux de conversion des monnaies nationales des 20 pays de la zone euro ?

Vus et lus dans Les Echos, Capital, et 20minutes
Vus et lus dans Les Echos, Capital, et 20minutes
Vus et lus dans Les Echos, Capital, et 20minutes

Vus et lus dans Les Echos, Capital, et 20minutes

Vu et lu dans 20minutes du 02/10/23

Vu et lu dans 20minutes du 02/10/23

Publié dans En bref

Partager cet article
Repost0

La filière cosmétique (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

La filière cosmétique (suite)
La filière cosmétique (suite)

Rendez-vous dans une semaine (demain en fait N.D.R.)
pour la 9ème édition
du salon Cosmetic 360
les 18 et 19 octobre 2023
au Carrousel du Louvre à Paris

https://www.cosmetic-360.com/

 

Placé sous le signe des CLEANTECH, l’évènement incontournable de la filière cosmétique - parfumerie mettra à l'honneur les innovations en faveur de pratiques vertes et de la transition écologique, au travers de ses 250 exposants, de zones d’animations et de son programme de conférences.

 

Au programme de cette 9ème édition

 

  • Un nouveau parcours expert "Cleantech" facilitera le repérage des nouveautés éco-responsables présentées parmi les 250 exposants du salon.
  • Un awards qui récompensera la meilleure innovation Cleantech, parmi les Cosmetic 360 Awards du salon.
  • Un programme de conférences dédié aux technologies propres (4 sessions).
  • Un Tech Corner en partenariat avec le CNRS mettra en lumière une technologie verte d’extraction et de potentialisation en flux continu, permettant d’exacerber l’activité biologique des molécules.
  • Une Zone Factory dédiée aux équipementiers innovants, donne un coup de projecteur sur les machines pour les usines de la filière.
  • Une zone INNOVATION CENTER by IDEC ENERGY avec 2 jours d’atelier, de présentation et d’échanges autour des énergies vertes et de la décarbonation.
  • Le K-Beauty Make-Up Show et Experience par ELROEL : un spectacle en live de maquillage proposé par la marque coréenne ELROEL qui permet de comprendre les tendances maquillage du moment en Corée.
  • Une Start-up Station, avec un embarquement immédiat en direction des quais de La Beauty Tech #Chartres et du Beauty HUB, pour les rencontrer jeunes entreprises porteuses d’innovations et les acteurs de la filière en quête d’informations.
  • Une zone dédiée aux Deep Tech (technologies disruptives) avec le pôle Systematic et le soutien de la région Ile-de-France, qui proposera un parcours de nouvelles technologies numériques s’appuyant sur l’IA, La RFID, la fabrication additive, la blockcain ainsi que les écrans sans contact.
  • Une expérience visuelle captivante par Greentech.

-------------------------------------------------------------------------

Cosmetic Valley renforce ses liens avec la région Normandie

https://www.industries-cosmetiques.fr/cosmetic-valley-renforce-ses-liens-avec-la-region-normandie/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=un_cafe_une_info_cosmetic_valley_renforce_ses_liens_avec_la_region_normandie&utm_term=2023-09-21

Le 19 Juillet 2023

 

Le mardi 20 juin 2023, s’est tenue à Évreux la 29e assemblée générale Cosmetic Valley. De nombreux sujets étaient à l’ordre du jour de cette réunion, notamment la dynamique de la filière cosmétique en Normandie, la spécificité de l’écosystème localisé sur le territoire d’Évreux Portes de Normandie, et les multiples projets du pôle en matière de transitions, d’emploi, d’innovation et d’internationalisation.

À cette occasion, la région Normandie, représentée par Sophie Gaugain, 1ère vice-présidente, a renouvelé pour trois ans son engagement auprès de Cosmetic Valley en signant une convention de partenariat sur la période 2023-2025 dans le cadre de la phase 5 des pôles de compétitivité. Cette signature marque un soutien fort apporté par la Région aux acteurs de la filière cosmétique normande. Elle montre aussi une volonté du territoire de renforcer ses domaines d’excellence qui font écho aux grands enjeux de transformation de notre secteur à l’échelle nationale et européenne : assurer la transition écologique du secteur en maintenant nos exigences sur la sécurité du produit.

Territoire phare du pôle qui dispose d’une antenne régionale à Caen depuis 2017, la Normandie concentre un tissu de près de 250 entreprises, groupes, ETI, TPE, PME et start-up, qui représentent toute la chaîne de valeur de la filière parfumerie-cosmétique, et comptabilise un chiffre d’affaires de 7 milliards d’euros pour 8 000 emplois. Le pôle Cosmetic Valley a généré 104 projets R&D, ce qui représente 154 millions d’euros d’investissement sur le territoire.

Ce contrat triennal propose une feuille de route ambitieuse :

• Faire croître l’écosystème normand, en particulier le nombre d’entreprises cosmétiques accompagnées par Cosmetic Valley.

• Renforcer le domaine d’excellence stratégique territorial sur la sécurité des produits cosmétiques.

• Développer l’innovation et le nombre de projets R&D impliquant des acteurs publics et privés implantés en Normandie.

• Nouer des partenariats avec les pays nordiques, l’Irlande et le Royaume-Uni, dans le cadre de la stratégie européenne portée par Cosmetic Valley à travers sa plateforme S3 Go4cosmetics et son réseau de clusters.

• Favoriser l’attractivité des métiers et développer les compétences, l’emploi étant une priorité pour le secteur cosmétique qui investit massivement en France pour répondre au marché international.

• Accompagner les entreprises dans leur stratégie export en s’appuyant sur le réseau international de Cosmetic Valley et la force de sa marque collective pour la filière. Parmi les territoires remarquables en Normandie, l’assemblée générale a permis de mettre en exergue la force de l’agglomération d’Evreux qui, par son réseau académique et industriel, tient une position singulière dans l’écosystème national : celui du test et de l’évaluation de la sécurité du produit incarné notamment par la plateforme Cosmetomics portée par l’antenne ébroïcienne de l’université de Rouen.

 

Vu et lu dans Elle du 28/09/23
Vu et lu dans Elle du 28/09/23
Vu et lu dans Elle du 28/09/23

Vu et lu dans Elle du 28/09/23

 

L’Ifra et Cosmetics Europe saluent la position du Parlement européen

https://www.industries-cosmetiques.fr/lifra-et-cosmetics-europe-saluent-la-position-du-parlement-europeen/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=un_croissant_une_info_l_ifra_et_cosmetics_europe_saluent_la_position_du_parlement_europeen&utm_term=2023-10-16

Par La Rédaction Le 10 Octobre 2023

 

Le Parlement européen a adopté sa position sur la proposition de révision du règlement relatif à la classification, à l’étiquetage et à l’emballage des produits chimiques (règlement dit CLP). L’International Fragrance Association (Ifra) et Cosmetics Europe ont salué la position du Parlement européen.

Les modifications du CLP appréciées par l’Ifra et Cosmetics Europe incluent la classification des substances renouvelables d’origine végétale et le regroupement des substances. Selon les deux organisations, l’adoption de la position du Parlement signifie qu’un élément clé de la stratégie chimique pour le développement durable (CSS) est en train de se mettre en place.

« L’Ifra et Cosmetics Europe saluent ensemble l’adoption de la position du Parlement européen. Elle représente une avancée significative par rapport au projet de texte initialement proposé par la Commission européenne en décembre de l’année dernière », a déclaré Aurélie Perrichet, directrice régionale pour l’Europe de l’Ifra.

« Les changements que les membres du Parlement européen ont apportés au projet de règlement – notamment par le biais de dispositions spécifiques pour la classification des substances renouvelables d’origine végétale – sont essentiels pour soutenir l’avenir des ingrédients naturels utilisés dans les cosmétiques et les parfums, a déclaré John Chave, directeur général de Cosmetics Europe. Ils jouent un rôle essentiel pour répondre à l’ambition de l’UE de stimuler les économies bio et circulaires. »

« Le Parlement européen a reconnu que le regroupement des substances chimiques devait être fondé sur la science et être conforme aux dispositions du règlement Reach », a relevé Aurélie Perrichet.

« Nous considérons qu’il est essentiel que les dispositions et les principes proposés par le Parlement européen soient reflétés dans le texte final à la suite des trilogues, a souligné John Chave. Le Conseil de l’UE a reconnu la nécessité de dispositions soigneusement élaborées pour la classification des « substances complexes » (contenant plus d’un constituant) lorsqu’il a adopté sa position en juin 2023. Nous sommes désormais convaincus qu’un compromis juste et réalisable pourra être trouvé dans les négociations entre les institutions. »

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2019/10/la-filiere-cosmetique-une-embellie-francaise.html

Partager cet article
Repost0

Fais suer (pour ne pas dire autre chose), et pourtant

Publié le par Jacques SAMELA.

Fais suer (pour ne pas dire autre chose), et pourtant
Fais suer (pour ne pas dire autre chose), et pourtant
Vu et lu dans 20 minutes du 16/10/23

Vu et lu dans 20 minutes du 16/10/23

Algorithme de la Victoire ? L’intelligence artificielle et le XV de France de rugby

https://www.actuia.com/actualite/algorithme-de-la-victoire-lintelligence-artificielle-et-le-xv-de-france-de-rugby/?mc_cid=92eba17448&mc_eid=ed2cb670a6

 

Le 13 octobre 2023, par ActuIA.

À quelques jours du match crucial qui verra l’équipe de France affronter l’Afrique du Sud en quart de finale de la Coupe du Monde de Rugby, et alors que nous apprenons la titularisation d’Antoine Dupont, une force discrète mais puissante travaille en coulisses, analysant chaque passe, chaque placage et chaque mouvement sur le terrain. Ce n’est pas un nouvel entraîneur ou un joueur sur lequel les yeux du public sont braqués, mais une alliée tout aussi déterminante : la science des données.

Au sein d’un précédent numéro d’ActuIA (offert au format numérique avec tout abonnement à la revue), nous avons dédié un dossier complet au rôle de l’IA et de l’analytique de données dans le domaine du sport, explorant comment ces technologies influencent les décisions, des stades de football aux parquets de basketball. Aujourd’hui, nous nous plongeons plus profondément dans l’interaction complexe entre le rugby et la technologie.

Lors du salon Big Data & AI Paris 2023, Sahbi Chaieb, data scientist émérite chez SAS, nous a accordé un entretien dans lequel il nous a fait plonger dans l’univers de la symbiose entre les données et le sport du ballon ovale. L’initiative, qui doit beaucoup à Fabien Galthié, le sélectionneur de l’équipe de France, est un ballet d’algorithmes, d’apprentissage machine et de science des données, tous dans un scrum avec pour objectif de propulser notre équipe nationale vers des sommets inexplorés.

Les données, provenant aussi bien de ballons connectés, implantés de puces informatiques, que des équipements GPS des joueurs, sont ingérées par la plateforme SAS Viya. Cette dernière traite, analyse et produit des insights qui ne sont pas simplement des statistiques, mais des outils stratégiques affutés que le staff technique utilise pour sculpter les tactiques du XV de France, du choix des joueurs à la stratégie de match.

Pensons nous aux touches, aux essais, et aux mêlées sous l’angle des données ? Chaieb nous guide à travers ce paysage numérique où chaque aspect du jeu est quantifié, analysé et optimisé. Les modèles prédictifs de l’IA scrutent les données historiques, dissèquent les performances des joueurs et prévoient des scénarios de jeu, offrant ainsi un avantage concurrentiel et une profondeur stratégique inégalée.

Dans ce contexte, comment la synergie entre la prouesse athlétique et l’analyse algorithmique façonnera-t-elle le face-à-face tendu entre le XV de France et les redoutables Springboks ? Peut-on imaginer que l’IA devienne le talonneur invisible qui propulse l’équipe vers la victoire ?

Explorez avec nous cet univers où les neurones artificiels se mêlent à la stratégie rugbystique, et où chaque plaquage, drop et pénalité est informé par le puissant moteur de l’IA. Découvrez l’intégralité de l’entretien et plongez vous dans notre dossier dédié pour comprendre comment la technologie pourrait bien devenir le prochain facteur X sur le terrain du sport mondial.

 Transcription de l’interview :

Le projet avec la Fédération française de rugby a commencé il y a maintenant deux ans et demi. C’était une initiative de Fabien Galthié, le sélectionneur de l’équipe de France. On est vraiment en collaboration étroite avec le staff du quinze de France, avec les analystes et le data scientist de la Fédération française.

SAS est partenaire officiel de la Fédération française de rugby, donc nous sommes fournisseur officiel sur l’amélioration de la performance des équipes de France de rugby, et en particulier le quinze de France.

Ce qu’on fait, c’est qu’on a accès à plein d’informations sur tout ce qui se passe dans un match. Plein de données collectées aussi sur les GPS des joueurs. Les données du ballon connecté et toutes ces données là, on va les utiliser pour permettre aux entraîneurs et aux coachs d’avoir une meilleure prise de décision en ayant le maximum d’informations sur ce qui se passe dans le match.

Par exemple, analyser des parties précises, des secteurs précis d’un match de rugby. Par exemple : on va prendre la touche, on va analyser l’adversaire pour voir comment on fera un plus pour pouvoir gagner les matchs.

Donc on va faire ça finalement sur différents aspects de match. Et donc on met à disposition du staff neuf modules d’analyse qui leur permettent finalement d’avoir cette meilleure prise de décision.

Comment se passe la collecte des données et comment y accédez vous ?

Il y a une citation que j’aime bien, c’est qu’on ne peut pas améliorer ce qu’on ne mesure pas. On a besoin d’accéder à beaucoup d’informations. Il y a des analystes du quinze de France qui codent tout ce qui se passe dans un match. Les touches, les jeux au pied, les mêlées, les réceptions, donc tout ça, on va avoir action, joueurs, position dans le terrain à chaque instant du match. Puis on va prendre là, quatre ans à cinq ans d’historique des données sur toutes les équipes du monde et on va rajouter à ça les données GPS.

Donc les joueurs ont des GPS sur leur dos et ça finalement c’est des données tierces. On a dix informations par seconde pour chaque joueur, qu’on va combiner aussi avec des données de ballons connectés. Ils jouent aussi avec des ballons intelligents, avec une puce à l’intérieur qui permet aussi de collecter une information comme la longueur de la passe, la vitesse de la passe, quand on tire au but, la distance par rapport aux poteaux.

Grâce à notre solution SAS Viya, ça nous permet finalement d’ingérer cette quantité énorme de données et finalement de générer des analyses et des synthèses finalement, sur les équipes qui permettent au coach de vraiment décortiquer l’adversaire pour avoir le plus qui va faire la différence pendant le match.

Comment se passe la collaboration avec la Fédération Française de Rugby ?

Ils ont des analyses précises qu’ils veulent faire sur l’équipe de France ou sur ses adversaires et on travaille avec eux. Ils nous expliquent un peu leurs besoins.

On passe du temps aussi avec les entraîneurs qui nous expliquent un peu les enjeux et grâce à ça, on va prendre un peu de temps de développement pour proposer des solutions, des réponses. Et après on va itérer pour avoir finalement l’écran qui leur permet finalement d’avoir accès le plus rapidement possible à leurs réponses.

Qu’en est-il de la composition des équipes ?

Alors on travaille aussi sur cet aspect de composition des équipes. Un module qui est cher à Fabien Galthié d’ailleurs, qui s’appelle l’expérience collective. L’objectif de Fabien Galthié dès le départ de son mandat, c’est avoir pour la Coupe du monde une équipe avec 27 ans de moyenne d’âge et une trentaine de sélections.

On a un module qui permet en fait de quantifier à quel point l’équipe a joué ensemble. Et donc ça, ça permet en fait de sélectionner l’équipe et les joueurs au fur et à mesure des matchs et aussi d’avoir une sorte de suivi sur à quel point finalement, l’équipe a joué ensemble.

Quel est votre pronostic pour la coupe du monde ?

Je suis data scientist, je planche dans les données de rugby, mais je n’aime pas m’avancer sur des pronostics. J’espère du fond de mon cœur que l’équipe de France va gagner. Même si avec les différentes blessures qu’on a en ce moment, ça se complique. On a des chances de gagner cette Coupe du monde mais aussi une incertitude. Mais c’est ce qui fait la beauté du sport au final !

 

Partager cet article
Repost0

Allez Les Petits (suite, et avant dimanche soir)

Publié le par Jacques SAMELA.

Allez Les Petits (suite, et avant dimanche soir)
Allez Les Petits (suite, et avant dimanche soir)
Vus et lus dans Le Parisien Week-End, et Télérama n° 3843 du 06/09/23
Vus et lus dans Le Parisien Week-End, et Télérama n° 3843 du 06/09/23

Vus et lus dans Le Parisien Week-End, et Télérama n° 3843 du 06/09/23

Vu et lu dans Le Parisien Week-End / Septembre 2023
Vu et lu dans Le Parisien Week-End / Septembre 2023
Vu et lu dans Le Parisien Week-End / Septembre 2023

Vu et lu dans Le Parisien Week-End / Septembre 2023

Vu et lu dans Le Parisien Week-End / Septembre 2023
Vu et lu dans Le Parisien Week-End / Septembre 2023
Vu et lu dans Le Parisien Week-End / Septembre 2023

Vu et lu dans Le Parisien Week-End / Septembre 2023

Vu et lu dans Eco Savoie Mont Blanc n° 36 du 08/09/23

Vu et lu dans Eco Savoie Mont Blanc n° 36 du 08/09/23

Photos J.S
Photos J.S

Photos J.S

Partager cet article
Repost0

La FA en France

Publié le par Jacques SAMELA.

Photo J.S
Photo J.S

Photo J.S

Impression 3D : la France à la pointe de l'innovation

https://www.maddyness.com/2023/09/19/impression-3d-la-france-a-la-pointe-de-linnovation/

 

Plus connue sous le nom d’impression 3D, la fabrication additive a connu une croissance exponentielle depuis dix ans avec un nombre de brevets déposés 8 fois plus important que les autres technologies, selon une étude publiée par l'Office européen des brevets.

Plus de 50.000 familles de brevets internationaux de technologies d'impression 3D ont été déposées dans le monde depuis 2001. Rien qu’entre 2013 et 2020, l’augmentation a connu un taux annuel moyen de 26,3 %, soit près de huit fois plus vite que pour l'ensemble des domaines technologiques au cours de la même période (3,3 %). Ces chiffres impressionnants, issus d’une étude qui vient d’être publiée par l'Office européen des brevets (OEB), montrent à quel point l'innovation dans le domaine de la fabrication additive, plus connue sous le nom d'impression 3D, a fait un bond au cours de la dernière décennie.

« Je ne suis pas surpris par ces résultats », commente Pierre-Jacques Lyon, PDG et fondateur de Cloudustry, qui propose des solutions logicielles de chiffrage automatique des devis, d’intelligence de production, de saisie des commandes pour les impressions 3D. « Pour autant, attention à l’effet d’emballement, car derrière la croissance des brevets et des nouveaux entrants, le chiffre d’affaires ne suit pas toujours dans un marché avec finalement trop d’acteurs, poursuit-il, et nous constatons depuis quelques mois que certains disparaissent ou se font racheter. ». Le salut viendra peut-être par le fait que si la fabrication additive a depuis longtemps sa place dans le prototypage, elle gagne désormais en viabilité pour la personnalisation de masse et même la production en série.

La France à la deuxième place européenne

Autre conclusion de l’étude : le marché de l'impression 3D s'est également diversifié. Deux secteurs arrivent en pôle position : le secteur de la santé/médecine, notamment pour la fabrication d’implants spécifiques au patient, la construction de modèles anatomiques et les applications dentaires, et le secteur du transport, particulièrement l’aéronautique et l’automobile. Cependant, comme la technologie d'impression 3D se développe avec une variété croissante de matériaux, tels que les plastiques, les métaux, les céramiques et même les cellules organiques, une croissance rapide des applications de fabrication additive a également été observée dans les secteurs de l'outillage, de l'énergie, de la mode, de l'électronique, de la construction et même de l'alimentation.

Si les États-Unis occupent toujours la première place, avec 40 % de toutes les familles de brevets internationaux liés à l'impression 3D entre 2001 et 2020, l'Europe y contribue à hauteur de 33 %. La France est particulièrement dynamique dans ce secteur puisque le pays occupe la deuxième place au niveau européen derrière l’Allemagne, avec des contributions notables dans l'aérospatial et l'aéronautique, l'énergie, la construction et les chemins de fer. Il faut d’ailleurs savoir que le premier brevet sur la fabrication additive est déposé par trois Français : Jean-Claude André, Olivier de Witte et Alain le Méhauté, le 16 juillet 1984. De plus, « la France est particulièrement bien dotée en termes d’universités et d’organismes publics de recherche mais aussi avec par exemple l’association France Additive qui est très active sur le sujet, mais aussi beaucoup de startups qui se créent », explique Pierre-Jacques Lyon.

---------------------------------------------------------------------------------

LE PLUS GRAND RASSEMBLEMENT DÉDIÉ À L’IMPRESSION 3D EN FRANCE

 

3D PRINT réunit plus de 300 exposants et marques pour vous présenter leurs dernières solutions innovantes en fabrication additive. Pendant deux jours business, rejoignez la communauté 3D et concrétisez vos projets en impression 3D.

https://www.3dprint-exhibition-paris.com/

Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023

Photos J.S / 3D Print 2023

 

Quels sont les secteurs professionnels utilisant l’impression 3D ?

https://www.thankseveryone.fr/quels-sont-les-secteurs-professionnels-utilisant-limpression-3d/

 

L’impression 3D, communément appelée fabrication additive, est une véritable révolution en termes de production et de conception. Cette dernière permet aux  secteurs professionnels d’être plus performants, innovants et souples dans leur domaine respectif. Découvrons  tout de suite les différents secteurs qui utilisent le plus l’impression 3D !

Quels sont les secteurs pour lesquels le marché de l’impression 3D est le plus propice ?

Les applications liées à l’impression 3D couvrent plusieurs secteurs depuis l’architecture, l’ingénierie, en passant par l’art et la mode, la médecine, à l’aéronautique

L’ingénierie

L’ingénieur est un professionnel qui intervient dans une branche particulière. Quels que soient son domaine d’activité et sa spécificité, l’impression 3D est indissociable de ses services. Cette dernière lui permet de présenter ses projets aux clients, d’imprimer des pièces pour ses prototypes ou encore de créer des échantillons ou des produits pour ses présentations.

Le principal atout de l’imprimante 3D est la mise en œuvre de pièces prêtes à l’emploi pour la conception d’éléments comme les dentelles, les composants électroniques, les engrenages… Les sociétés d’ingénierie qui sont friandes de l’impression 3D seraient :

  • l’informatique,
  • l’automatisation,
  • l’électronique,
  • la production,
  • la mécatronique…

La médecine

L’impression 3D a déjà fait son bout de chemin en matière de prothèses. Effectivement, certains médecins, vétérinaires et dentistes s’en servent pour concevoir des prothèses personnalisées en un petit laps de temps.

La fabrication additive permet également d’imprimer des tissus humains. Cette technique est dénommée « bio-impression ». Dans un futur proche, il sera aussi possible de créer des organes fonctionnels en 3D. Ce procédé sera certainement l’avancée technologique la plus prometteuse, car elle va permettre de concevoir des cellules souches et de sauver des vies.

L’architecture

En architecture, le fait d’imprimer des modèles instantanés à proposer aux clients est une alternative intéressante. En effet, cette technologie offre de nouvelles opportunités de constructions. Grâce aux imprimantes de large dimension à bras mobile, vous pouvez imprimer une maison en fer ou en béton.

A contrario des idées reçues, il n’est pas nécessaire d’investir dans une imprimante 3D trop coûteuse. Vous pouvez opter pour un produit qui dispose d’un bon rapport qualité-prix et réaliser les ajustements nécessaires à la main.

L’aéronautique

La fabrication additive qui a connu un franc succès auprès des industries est sans nul doute l’impression 3D métal. À compter  de cela, de nombreuses entreprises ont intégré cette technologie dans leur chaîne de fabrication. Celle-ci permet de travailler des métaux tels que :

  • l’or ou l’argent
  • l’aluminium
  • le titane

Le coût est moindre pour la fabrication additive par rapport à l’utilisation d’un moule. Aujourd’hui, beaucoup de grands noms ne jurent plus que par ce procédé. La NASA qui tente de créer une nouvelle impression 3D métal par ultrasons en est un bon exemple.

L’art et la mode

Les stylistes et les décorateurs utilisent également ce procédé d’impression pour leurs sculptures, leurs chaussures, leurs vêtements, leurs bijoux… Dans ces domaines, la fabrication additive est une tendance qui a gagné du terrain. À titre d’exemple, souvenez vous de la fashion Week de Paris en 2013. Les mannequins ont défilé avec des robes imprimées en 3D…

Cette liste est loin d’être exhaustive. On peut également compter le secteur alimentaire, la décoration, les soins animaliers, l’automobile

Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023

Photos J.S / 3D Print 2023

Vu et lu dans L'Usine Nouvelle n° 3723 d'octobre 2023

Vu et lu dans L'Usine Nouvelle n° 3723 d'octobre 2023

Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023

Photos J.S / 3D Print 2023

Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023

Photos J.S / 3D Print 2023

Photo J.S / 3D Print 2023

Photo J.S / 3D Print 2023

Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023

Photos J.S / 3D Print 2023

Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023

Photos J.S / 3D Print 2023

Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023

Photos J.S / 3D Print 2023

Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023
Photos J.S / 3D Print 2023

Photos J.S / 3D Print 2023

Photo J.S / 3D Print 2023

Photo J.S / 3D Print 2023

La FA en France
La FA en France

Publié dans Les Experts

Partager cet article
Repost0

Les Entretiens Jacques Cartier (suite et plus)

Publié le par Jacques SAMELA.

Les Entretiens Jacques Cartier (suite et plus)
Les Entretiens Jacques Cartier (suite et plus)

Les Entretiens Jacques Cartier reviennent pour une 35e édition les 9, 10 et 11 octobre 2023 !  

https://entretiensjacquescartier.com/le-programme/

Cette année, les experts et décideurs de la région Auvergne-Rhône-Alpes, du Québec et de la francophonie canadienne se réuniront à Lyon, Clermont-Ferrand, Grenoble et Saint-Étienne dans le cadre de conférences et de rencontres interdisciplinaires placées sous le signe de l’Année de l’innovation France-Québec (AIFQ).

Une édition une nouvelle fois axée autour de 4 grands chapitres :

 Santé et sciences de la vie

 Enjeux de l’innovation et des nouvelles technologies

 Enjeux économiques et éco-responsables

 Culture et société

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2019/12/france-canada-les-entretiens-jacques-cartier.html

-------------------------------------------------------------------------

2023, l’année de l’innovation franco-québécoise (AIFQ)

https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/dossiers-pays/canada/la-france-et-le-quebec/2023-l-annee-de-l-innovation-franco-quebecoise-aifq/

 

L’année de l’innovation franco-québécoise (AIFQ) est l’occasion de renforcer la relation entre la France et le Québec, principalement dans les secteurs économiques créateurs d’emplois dans les deux territoires. Tout au long de l’année 2023, l’AIFQ contribuera à renforcer la collaboration économique entre la France et le Québec, au service d’une relance durable.

Sommaire

Annoncée officiellement par les premiers ministres Jean Castex et François Legault le 10 février 2022, l’AIFQ est inaugurée le 16 novembre 2022 en présence d’Olivier Becht, ministre délégué chargé du Commerce extérieur, de l’Attractivité et des Français de l’étranger et de Martine Biron, ministre des Relations internationales et de la Francophonie du Québec. Une série d’événements, sous forme de festivals, de forums, de colloques et conférences et de visites ministérielles rythmeront ces 12 mois au service d’une coopération rehaussée en matière d’innovation.

Inauguration de l’AIFQ par Olivier Becht et Martine Biron, le 16 novembre 2022, à Paris

Conscients des enjeux liés au changement climatique et à l’environnement, cette année permettra de soutenir une relance vigoureuse et durable et d’augmenter de façon significative et mutuellement bénéfique les échanges entre la France et le Québec.

 Année de l’innovation franco-québecoise 2023 - (PDF, 5.4 Mo)

Les temps forts de l’année de l’innovation franco-québécoise

L’année de l’innovation franco-québécoise s’articulera autour de temps forts :

  • Semaine des transports électriques intelligents (Montréal, du 13 au 15 mars 2023)
  • Americana (Montréal, du 20 au 22 mars 2023)
  • Forum international de la cybersécurité (Lille, du 5 au 7 avril 2023)
  • Salon de l’innovation de la French Tech de Montréal « Bleu Blanc Tech » (Montréal, mai 2023)
  • Congrès annuel de l’ACFAS (Montréal, du 8 au 12 mai 2023)
  • Symposium international de la création numérique (Paris, du 16 au 21 mai 2023)
  • Vivatechnology (Paris, du 14 au 17 juin 2023)
  • Salon international de l’aéronautique et de l’espace du Bourget (Paris, du 19 au 25 juin 2023)
  • MTL Conecte (Montréal, octobre 2023)

Trois thématiques transversales

L’AIFQ a vocation à mettre en lumière l’expertise française et québécoise et à faire émerger de nouveaux partenariats bénéficiant aux deux territoires. Elle porte sur les grandes thématiques suivantes :

  • la transition écologique et l’environnement ;
  • l’économie numérique ;
  • l’innovation sociale et l’économie sociale et solidaire ;

Sept secteurs innovants et prioritaires

Ces grandes thématiques abordent notamment des secteurs d’innovation plus précis tels que :

  • l’aérospatial ;
  • l’agrochimie et l’agriculture ;
  • les énergies et le transport ;
  • les industries culturelles et créatives ;
  • l’intelligence artificielle (IA) et la cybersécurité ;
  • la quantique ;
  • les sciences de la vie et de la santé.

Des mesures pour soutenir les partenaires du Québec et de la France

  • Accompagnement de la mobilité transatlantique
  • Financement des projets d’innovation
  • Labellisation offrant une visibilité internationale aux événements structurants de la relation franco-québécoise

Labellisation d’événements et de délégations

L’AIFQ offre aux écosystèmes innovants de la France et du Québec la possibilité de labelliser des événements structurants, ou des délégations participant à des événements d’envergure, en augmentant leur visibilité. Un événement peut être labellisé s’il respecte les critères suivants :

  • L’événement ou la délégation à labelliser concerne un partenariat franco-québécois ;
  • L’événement labellisé prévoit l’accueil ou la participation d’acteurs clés et experts franco-québécois dans leur secteur d’innovation ;
  • L’événement a un fort potentiel de rayonnement au Québec et/ou en France au sein de son écosystème ;
  • L’événement présente un haut potentiel de coopération et de retombées économique au Québec et/ou en France ;
  • L’événement doit être rattaché à un organisme français ou québécois. Il n’est pas possible pour une entreprise privée d’être labellisée ;
  • L’événement ou la délégation doit avoir un caractère innovant, notamment parmi les secteurs suivants : aérospatial, agrochimie et agriculture, énergie et transport, industries cultuelles et créatives, intelligence artificielle (IA) et cybersécurité, quantique, sciences de la vie et santé, innovation sociale, transition écologique, économie numérique.

Contacts

Gouvernement de la République française
Mathilde Pons-Teixeira, Consulat général de France à Québec
chargée de mission de diplomatie économique – innovation

Gouvernement du Québec
Ministère des Relations internationales et de la Francophonie
François St-Laurent-Ross, conseiller en affaires internationales

---------------------------------------------------------------------------------------------------

 

ANITI, le CRIAQ, l’IRT Saint Exupéry et IVADO s’associent pour créer l’Alliance Aéro-IA France-Québec

https://www.actuia.com/actualite/aniti-le-criaq-lirt-saint-exupery-et-ivado-sassocient-pour-creer-lalliance-aero-ia-france-quebec/?mc_cid=2a2f103ec7&mc_eid=ed2cb670a6

 

Le 6 mars 2018, l’IRT Saint-Exupéry, le CRIAQ et IVADO, s’engageaient dans un partenariat stratégique dans les domaines de l’aéronautique, de l’aérospatial et des systèmes embarqués pour une durée de 5 ans en signant la convention de partenariat “France-Québec : l’intelligence artificielle, premier axe d’une coopération scientifique dynamique”. Aujourd’hui, rejoints par ANITI qui a notamment participé à l’un de leurs projets majeurs, le projet DEEL, ils créent l’Alliance Aéro-IA France-Québec.

Le Consortium de recherche et d’innovation en aérospatiale au Québec (CRIAQ) et l’Institut de valorisation des données (IVADO) et l’IRT Saint-Exupéry vont donc poursuivre leur collaboration et, avec ANITI, développer au sein de cette alliance des programmes de recherche et des activités d’échange pluriannuels sur :

  • des actions de recherche commune via le montage de projets conjoints ;
  • des échanges de personnel de recherche (enseignants-chercheurs, chercheurs académiques et industriels, et post doctorants) et d’étudiants (masters et doctorants) ;
  • la réalisation conjointe d’études stratégiques, cours, séminaires, ateliers et conférences via l’implication de chercheurs, de professeurs et d’étudiants de niveau master et doctorat ;
  • des actions de sensibilisation et de dissémination des résultats de recherche auprès du grand public ;
  • un accompagnement pour les échanges avec les entreprises partenaires des trois institutions ou la mise sur pied d’unités déployées en France ou au Québec.

Les programmes de recherche de l’alliance

L’Alliance Aéro-IA France-Québec a pour objectif le développement de programmes de recherche partenariale structurants autour des sciences des données et de la décision, des sciences du logiciel appliqué à l’aérospatiale et l’IA explicable, certifiée, frugale et embarquée.

Plusieurs programmes de recherche ont débuté ou sont en cours de montage :

• Le projet DEEL (DEpendable Explainable Learning) implique des partenaires académiques et industriels dans le développement de briques technologiques d’intelligence artificielle fiable, robuste, explicable et certifiable appliquées à des systèmes critiques.

Démarré en 2018, il est à l’origine de nombreux résultats scientifiques et transferts industriels qui ont permis des avancées majeures dans le domaine. La phase 2 du projet DEEL démarrera en France en janvier 2024.

• Le projet ENVIA (Environnement de simulation pour véhicules pilotés par intelligence artificielle) établit quant à lui les fondamentaux théoriques pour le développement de lois de commande robustes par apprentissage par renforcement pour des aéronefs comme les dirigeables et les drones.

L’originalité de l’approche réside dans les garanties théoriques obtenues, y compris sur le passage de la simulation à la réalité, avec des performances supérieures à l’état de l’art en automatique.

 Le projet FOR vise à construire une assistance IA centrée sur l’humain robuste, frugale et explicable afin d’augmenter la productivité des organisations. FOR améliorera le cycle de vie de l’IA pour une meilleure durabilité des développements : en minimisant l’impact environnemental, en permettant la souveraineté des nations, en facilitant leur intégration dans les processus.

Il s’appuiera sur les briques technologiques et les connaissances développées par le projet DEEL, et permettra d’accroître l’impact de la coopération entre acteurs par l’IA en permettant le partage des ressources, la confiance des développements et l’indépendance numérique.

Partager cet article
Repost0

Chantilly, ses journées des plantes, et toujours son château

Publié le par Jacques SAMELA.

Chantilly, ses journées des plantes, et toujours son château
Chantilly, ses journées des plantes, et toujours son château

JOURNÉES DES PLANTES DE CHANTILLY

 

https://journeesdesplantesdechantilly.fr/

Du 6 au 8 Octobre 2023

10h à 18h

 

Parc du Château de Chantilly

---------------------------------------------------------------------------------------

Née à Courson en 1983, cette manifestation majeure a été déplacée, depuis 2015, dans un autre cadre idyllique, celui du parc du Domaine de Chantilly. Lieu privilégié d'échange et de partage, les Journées des Plantes de Chantilly rassemblent, en mai puis en octobre, des amoureux du jardin, qu'ils soient amateurs ou confirmés. Les Journées des Plantes de Chantilly seront à nouveau de retour en 2023 pour leur édition automnale, et ce, pour le plus grand plaisir des amateurs de jardin !

https://www.journaldesfemmes.fr/jardin/conseils-amenagement/2564312-journees-des-plantes-de-chantilly-2023/#quels-sont-les-dates-et-horaires-des-journees-des-plantes-

----------------------------------------------------------------------------------------

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2020/05/le-chateau-de-chantilly-son-domaine-et-ses-a-cotes.html

https://chateaudechantilly.fr/

Partager cet article
Repost0

Le CNRS (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Partager cet article
Repost0

Big2023, j'y étais

Publié le par Jacques SAMELA.

Big2023, j'y étais
Big2023, j'y étais
Photos J.S
Photos J.S
Photos J.S

Photos J.S

Photos J.S
Photos J.S
Photos J.S

Photos J.S

Qu'est-ce que le Big BPI ?

Big est le plus grand rassemblement business d'Europe. Participer à Big vous donne la possibilité de découvrir une variété inédite de contenus, avec des thématiques concrètes. C'est aussi une occasion unique de développer votre business et comprendre les grands enjeux de demain.

http://competitiviteinfrance.overblog.com/bpi-france-la-banque-de-la-reconqu%C3%AAte

Vu et lu dans Les Echos du 10/07/23
Vu et lu dans Les Echos du 10/07/23

Vu et lu dans Les Echos du 10/07/23

Photos J.S
Photos J.S

Photos J.S

Photos J.S
Photos J.S

Photos J.S

Photos J.S
Photos J.S
Photos J.S

Photos J.S

Photos J.S
Photos J.S
Photos J.S

Photos J.S

Photos J.S
Photos J.S

Photos J.S

Photos J.S
Photos J.S

Photos J.S

Partager cet article
Repost0

Pasqal (suite & plus)

Publié le par Jacques SAMELA.

Pasqal (suite & plus)
Pasqal (suite & plus)

Pasqal le champion français du quantique va créer une usine au Canada

https://www.ecinews.fr/fr/pasqal-le-champion-francais-du-quantique-va-creer-une-usine-au-canada/?utm_source=mautic&utm_medium=email&utm_campaign=ECI-22-06-2023

21 juin 2023 Par Nick Flaherty, A Delapalisse

 

La société française Pasqal va construire une usine d’ordinateurs quantiques au Canada pour approvisionner le marché nord-américain.

Pasqal a déjà démontré sa capacité à faire fonctionner un ordinateur quantique avec plus de 300 qubits et ses dispositifs de la prochaine génération permettront d’obtenir un ordinateur quantique de 1 000 qubits l’année prochaine.

L’usine de l’Espace Quantique 1 de DistriQ, la zone d’innovation quantique de Sherbrooke, au Canada, produira du matériel pour le marché nord-américain afin d’accélérer l’adoption de l’informatique quantique à atomes neutres dans la région.

Pasqal Canada développera des applications commerciales avec des partenaires dans de nombreux domaines, notamment les villes intelligentes, l’énergie, et la science des matériaux. Parmi ses clients actuels figurent BMW, BASF, Johnson & Johnson, Siemens, Airbus, LG Electronics et Thales, pour n’en citer que quelques-uns.

La technologie quantique de Pasqal utilise des lasers très focalisés, des « pinces optiques », pour piéger et manipuler individuellement des atomes neutres afin de créer des réseaux 1D et 2D dans des configurations arbitraires. Dans ces processeurs quantiques, chaque bit quantique (qubit) est encodé dans deux niveaux d’énergie d’un atome, chaque atome de ces réseaux représentant un qubit.

Pasqal installera sa production d’ordinateurs quantiques dans un centre de 4 600 mètres carrés qui ouvrira ses portes au troisième trimestre 2023.

« Cette localisation au Canada est idéale pour catalyser les collaborations de PASQAL avec les institutions académiques et les industries en Amérique du Nord, assurant ainsi un développement durable sur le marché croissant de l’informatique quantique », a déclaré Raphaël de Thoury, PDG de PASQAL Canada. « L’écosystème sherbrookois, favorisé par le dynamisme de DistriQ – Zone d’innovation quantique de Sherbrooke, est un terreau fertile pour les entreprises de l’industrie quantique comme PASQAL. DistriQ est unique, car elle regroupe les principaux acteurs de la chaîne de valeur, de la science aux applications industrielles. »

 

Vu dans Les Echos du 24/01/23

Vu dans Les Echos du 24/01/23

 

Pasqal France en partenariat pour l’informatique quantique en Corée

https://www.ecinews.fr/fr/pasqal-france-en-partenariat-pour-linformatique-quantique-en-coree/?utm_source=mautic&utm_medium=email&utm_campaign=ECI-30-06-2023

29 juin 2023 Par Nick Flaherty, A Delapalisse

 

Le développeur français d’ordinateurs quantiques Pasqal s’associe à l’entreprise sidérurgique sud-coréenne POSCO et à l’entreprise coréenne Qunova Computing pour développer des technologies d’informatique quantique pour le groupe.

Qunova Computing est la première entreprise d’informatique quantique en Corée, créée par le programme de démarrage des enseignants du KAIST. Elle est spécialisée dans le développement de logiciels d’informatique quantique pour la mise au point de nouveaux matériaux.

Ordinateur quantique

Le « New Experience of Technology Hub » de POSCO prévoit de mener des activités de recherche et de développement d’algorithmes d’IA quantique en collaboration avec Pasqal, d’optimiser le processus de fabrication d’acier respectueux de l’environnement et de développer des matériaux de batteries secondaires en combinant la technologie d’IA du groupe POSCO et la technologie d’ordinateur quantique à atomes neutres de Pasqal.

« Les ordinateurs quantiques ont le potentiel de réaliser des tâches informatiques qui seraient irréalisables avec des moyens classiques », a déclaré Georges-Oliver Reymond, PDG de Pasqal. Kim Ji-yong, directeur de POSCO Holdings New Experience of Technology Hub, a souligné : « Nous espérons sécuriser la technologie de l’informatique quantique grâce à la coopération avec PASQAL et utiliser la technologie de l’informatique quantique pour l’activité principale du groupe, la production d’acier, et le développement de la technologie des futurs matériaux écologiques ».

Les deux entreprises prévoient d’organiser régulièrement des échanges technologiques à l’avenir et de renforcer leur compétitivité technologique en résolvant des problèmes afin de contribuer à un avenir durable pour l’humanité.

En avril, un consortium de POSCO a été sélectionné comme projet national dans le cadre du projet de recherche « Quantum advantage Challenge » de la Fondation nationale de la recherche de Corée, basé sur l’informatique quantique. Le consortium prévoit de développer des technologies qui augmentent la précision de l’analyse des caractéristiques des matériaux tels que les électrolytes solides et réduisent le temps nécessaire grâce à l’utilisation d’ordinateurs quantiques.

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2021/07/pasqal-objectif-1-000-qubits.html

 

Vu et lu dans Les Echos du 21/06/23

Vu et lu dans Les Echos du 21/06/23

-----------------------------------------------------------------

Siquance a levé 19 millions d’euros lors de son premier tour de table et a changé de nom pour devenir Quobly

 

https://www.ecinews.fr/fr/startup-quantique-francaise-leve-e19-millions-change-de-nom-en-quobly/?utm_source=mautic&utm_medium=email&utm_campaign=ECI-24-07-2023

24 juillet 2023 Par A Delapalisse, Nick Flaherty

 

Le financement de Quobly a été mené par Quantonation et Bpifrance et constitue la première opération du fonds Deep Tech 2030 dans le cadre de France 2030 avec Supernova Invest et Innovacom. BNP Paribas et les fonds de développement local Crédit Agricole Alpes Development et CEA Investissement, Caisse d’Epargne Rhône Alpes, participent également à ce tour de table.

Le financement permettra de doubler les activités de recherche et développement de l’entreprise et servira à mettre en place les interfaces d’accès à distance nécessaires au développement de logiciels. L’entreprise développe un processeur quantique basé sur la technologie CMOS FD-SOI pour une production en volume.

La transaction permettra à Quobly de mettre en place des partenariats technologiques et d’établir un écosystème de partenaires de référence afin d’accélérer sa R&D.

« Ce premier tour de table va nous permettre d’accélérer nos développements technologiques : tant dans la mise en relation avec des acteurs industriels de la microélectronique que dans la réalisation de démonstrations scientifiques qui nous positionneront en tant que leader technologique. Nous sommes ravis de pouvoir nous appuyer sur Quantonation, Bpifrance, Supernova Invest et Innovacom, qui disposent d’une expertise sectorielle reconnue dans le domaine du quantique, des semiconducteurs et des deeptech « , déclare Maud Vinet, présidente et co-fondatrice de Quobly.

Olivier Tonneau, associé de Quantonation, a commenté :  » Forte d’une expertise scientifique et d’une technologie exceptionnelle, l’équipe de Quobly s’appuie également sur ses liens étroits avec l’écosystème des technologies des semi-conducteurs, afin d’exploiter tout le potentiel de sa technologie. Nous sommes convaincus que leur plateforme de spin qubit en silicium permettra de passer à l’échelle des processeurs quantiques et d’atteindre des régimes inaccessibles aux processeurs classiques. L’équipe de Quantonation est fière de soutenir Quobly par l’intermédiaire de son fonds Quantonation I. »

 » Ce premier investissement du fonds Deep Tech 2030, géré pour le compte de l’État, au capital de Quobly, confirme la volonté affichée de Bpifrance de soutenir les deeptechs françaises les plus importantes. Nous avons été impressionnés par l’expérience et la complémentarité du fondateur de l’équipe, tant en physique quantique que dans le domaine des semi-conducteurs. Nous sommes très heureux de participer à cette opération et sommes impatients de voir les avancées technologiques que l’entreprise réalisera dans les mois à venir », a déclaré Gwenaël Hamon, directeur d’investissement senior chez Bpifrance.

www.quobly.com

Vu et lu dans Les Echos du 24/01/23

Vu et lu dans Les Echos du 24/01/23

Vus et lus dans Les Echos du 24/01/23

Vus et lus dans Les Echos du 24/01/23

Vu et lu dans Les Echos du 25/04/23
Vu et lu dans Les Echos du 25/04/23

Vu et lu dans Les Echos du 25/04/23

Partager cet article
Repost0