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Xavier Niel (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Xavier Niel (suite)
Xavier Niel (suite)
Vu et lu dans Capital n° 379 d'avril 2023
Vu et lu dans Capital n° 379 d'avril 2023

Vu et lu dans Capital n° 379 d'avril 2023

Vu et lu dans Capital n° 379 d'avril 2023
Vu et lu dans Capital n° 379 d'avril 2023

Vu et lu dans Capital n° 379 d'avril 2023

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Vu et lu dans Capital n° 379 d'avril 2023

Vu et lu dans Capital n° 379 d'avril 2023

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A voir

Publié le par Jacques SAMELA.

La Beauté cachée de l'Industrie

Christophe Lepetit vous fait voyager dans l'univers industriel à travers ses clichés.

https://jardin.senat.fr/programmation-culturelle/la-beaute-cachee-de-lindustrie.html

 

L'industrie est mise à l'honneur sur les grilles du Jardin du Luxembourg.

Christophe Lepetit nous propose un voyage en 80 photos pour découvrir la beauté singulière de ces lieux industriels, souvent inaccessibles mais qui font et forment notre quotidien.

Ce sont des lieux qui font l'économie aujourd'hui mais dont le grand public ne connaît pas l'envers, ce qui se cache derrière le décor.

Pour enrichir l'exposition, des QR codes sont placés dans le panneau de légendes de chaque photographie.

Celui-ci donne accès aux publications d'origine dans la presse mais aussi à l'intégralité des clichés pris à l'occasion du reportage.

Les informations clés

LIEU : Rue de Médicis, 75006 Paris

DATES : Du 18 mars au 16 juillet 2023 - 24h/24

A voir
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Navya & EasyMile (suites)

Publié le par Jacques SAMELA.

Navya & EasyMile (suites)
Navya & EasyMile (suites)

GAUSSIN ET MACNICA S’ASSOCIENT POUR REPRENDRE LES ACTIFS DE NAVYA

https://vipress.net/gaussin-et-macnica-sassocient-pour-reprendre-les-actifs-de-navya/

Publié par Frédéric Fassot | 19 Avr 2023 

 

Sur décision du tribunal de commerce de Lyon, les actifs de Navya, spécialiste français de systèmes de mobilité autonome en redressement judiciaire, vont être repris par le groupe français Gaussin, un spécialiste du transport de marchandises et le groupe d’électronique japonais Macnica. Une société commune détenue à 51% par Gaussin et à 49% par Macnica, va être créée. Dédiée à la mobilité autonome et zéro émission pour le transport de personnes et de marchandises, elle reprend 143 salariés français de Navya sur un total de 206.

La reprise des actifs représente un montant de 1,5 million d’euros, dont 1,4 million d’euros de valeur d’actifs, auquel s’ajoute un financement de l’activité sur les 12 premiers mois d’intégration de 15 millions d’euros. Deux tiers seront pris en charge par Macnica et un tiers par Gaussin. La nouvelle coentreprise vise un chiffre d’affaires de 23 millions d’euros dès la première année, principalement à l’export.

Le principal actif de Navya réside dans l’expertise de ses collaborateurs, dont les 120 ingénieurs qui sont en cours de développement d’une suite logicielle de conduite autonome de niveau 4 unique au monde. Depuis 2015, Navya a été la première société à mettre en service des solutions de mobilité autonome pour le transport de passagers et dispose d’une gamme adaptée à la mobilité courte distance telle que la navette ARMA et EVO mais aussi la navette BlueBus 6m en collaboration avec Bolloré. Plus de 200 exemplaires ont été commercialisés dans 25 pays. Le Tracteur Autonom Tract est quant à lui destiné au transport de biens. Les synergies avec l’activité logistique et portuaire de Gaussin sont importantes et devraient accélérer le développement d’une mobilité autonome décarbonée.

Macnica est un distributeur spécialisé dans les semiconducteurs, produits de réseau, cybersécurité et IA/IoT et mobilité, également pionnier en matière de solutions innovantes avec son expertise dans les systèmes cyber-physiques, tels que la ville intelligente, l’usine intelligente et la mobilité autonome. Il emploie près de 4000 collaborateurs, dont plus de 1000 ingénieurs, dans 24 pays et son chiffre d’affaires 2022 dépasse les 7 milliards d’euros. En 2019, le Japonais avait racheté le distributeur français ATD Electronique.

Gaussin, pour sa part, va transférer son équipe de conduite autonome à cette nouvelle joint-venture et acquérir le kit de conduite autonome développé par Navya afin d’élargir son offre et de fournir des solutions clé en main pour des déploiements à grande échelle de ses propres véhicules autonomes.

La nouvelle coentreprise va se concentrer sur quatre marchés clés – la logistique, les ports, les aéroports et les transports publics et privés de passagers – où Gaussin et Macnica ont déjà des positions établies. Elle sera divisée en deux business units, chacune avec des équipes dédiées.

La première offrira des solutions complètes pour les mouvements autonomes de conteneurs, de remorques et de bagages. Sa technologie sera intégrée dans les véhicules électriques existants de Gaussin et dans les plateformes de fabricants tiers.

La seconde fournira des solutions pour la mobilité des personnes, en s’adressant à des segments de marché mal desservis. Le logiciel de mobilité autonome de l’entreprise, qui en est actuellement au stade de l’intégration finale sur la plateforme Bluebus IT3, vise une nouvelle expérience de mobilité des passagers, en leur offrant un trajet fiable et confortable.

Outre le développement des navettes autonomes de dernière génération, la technologie de conduite autonome développée par Navya pourra être intégrée sur les plateformes développées par Gaussin pour la logistique et le portuaire dont les ventes sont en forte croissance avec une forte demande de mobilité autonome.

Ainsi, Gaussin et Macnica ont projeté un chiffre d’affaires pour la nouvelle coentreprise de 38 M€ en 2024 et de 120 M€ en 2025. En effet, dès 2025, il sera possible d’intégrer à grande échelle les logiciels de conduite autonome de niveau 4 sur les véhicules Gaussin, aussi bien portuaires que logistiques. L’intégration de la technologie Navya va se traduire par une montée en gamme des véhicules du groupe.

Basée en France, la nouvelle coentreprise sera présidée par Christophe Gaussin, p-dg de Gaussin, tandis que Jean-Claude Bailly, jusqu’alors vice-président exécutif de Gaussin, en sera le CEO.

« La reprise des actifs de Navya par la joint-venture créée par Gaussin et Macnica permet non seulement de proroger l’expertise technologique, mais aussi de sauvegarder plus de 70% de ses talents. Macnica, en tant qu’acteur majeur des semiconducteurs, et Gaussin en tant que leader de la logistique industrielle française, sont parfaitement positionnés pour assurer le développement international et les nouvelles applications commerciales de nos systèmes de mobilité autonome », se félicite Olivier Le Cornec, jusqu’à présent CEO de Navya.

« Quelles que soient les difficultés que Navya a traversées, sa technologie de mobilité autonome et son équipe d’ingénieurs sont des atouts puissants, que l’alliance stratégique entre Gaussin et Macnica va être en mesure d’exploiter pleinement, car ensemble nous disposons de la maîtrise technologique, de la pénétration commerciale et des moyens financiers pour s’imposer sur ce marché au niveau mondial et faire fructifier les actifs de Navya au service d’une mobilité toujours plus propre, intelligente et autonome », a déclaré Jean-Claude Bailly, CEO de la coentreprise.

« Ayant travaillé avec Navya depuis 2020, nous savons pertinemment que Navya fournit la meilleure solution autonome sur route avec ses navettes. Avec notre partenaire Gaussin, nous étendrons l’expertise de Navya en matière de logiciels, de mise en œuvre et d’exploitation dans le domaine de la mobilité autonome aux véhicules tout-terrain. Avec Gaussin, nous fournirons à la nouvelle entité la technologie, le capital et la couverture du marché mondial nécessaires à une croissance durable et exponentielle », a ajouté Seu David Daekyung, managing director de Macnica.

Gaussin est une société d’engineering qui conçoit, assemble et commercialise des produits et services dans le domaine du transport et de la logistique. Son savoir-faire englobe les transports de marchandises et de personnes, les technologies autonomes permettant un usage sans chauffeur, et l’intégration de tous types de batteries, notamment électriques et hydrogènes. Avec plus de 50 000 véhicules à travers le monde, Gaussin est présent sur quatre marchés : les terminaux portuaires et aéroportuaires, la logistique et la mobilité des personnes.

Depuis sa création en 1972, le distributeur Macnica fournit des semiconducteurs, des appareils électroniques, des réseaux et des produits de cybersécurité. Macnica développe également de nouvelles activités dans les domaines de l’IA, de l’IoT, de la conduite automatisée et de la robotique, en s’appuyant sur sa force en matière d’approvisionnement mondial et de planification stratégique pour les technologies de pointe. Basée à Yokohama, l’activité mondiale de Macnica s’étend sur 23 pays et 85 sites dans le monde.

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Arabie Saoudite : Electromin acquiert sa première navette Navya

https://www.mobilitesmagazine.com/post/arabie-saoudite-electromin-acquiert-sa-premie-re-navette-navya?utm_campaign=a56f8f55-9cf7-469a-a388-23a9d33d0792&utm_source=so&utm_medium=mail&cid=9cfe1f90-d473-463a-b8a5-faaa7257951b

Le 15/12/2022

 

Navya a annoncé le 7 décembre 2022 la vente d’une navette autonome Arma à son partenaire saoudien Electromin, filiale de Petromin Corporation.

https://static.wixstatic.com/media/25418e_ffc115006e534bfba203588372e71beb~mv2.jpg/v1/fill/w_740,h_476,al_c,q_80,usm_0.66_1.00_0.01,enc_auto/25418e_ffc115006e534bfba203588372e71beb~mv2.jpg

Cette commande vient s'ajouter à l'accord de distribution signé entre Navya et Electromin fin juillet 2022 en vue d'accélérer la promotion et le développement des véhicules et services Navya au Moyen- Orient.

Electromin travaille déjà avec une entité gouvernementale pour tester des véhicules autonomes dont cette première navette fera partie.

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Vu et lu dans Les Echos

Vu et lu dans Les Echos

EasyMile au Hannover Messe

Mobilités Magazine du 19/04/23

 

EasyMile, spécialiste des solutions autonomes, présente ses navettes KelRide résistantes aux intempéries au Salon de Hanovre, qui se déroule du 17 au 21 avril 2023.

Les navettes KelRide résistantes aux intempéries sont conçues pour assurer un transport fiable et efficace dans toutes les conditions météorologiques

Équipées de capteurs et de systèmes de navigation avancés, ces navettes peuvent naviguer, selon son promoteur, en toute sécurité sous la pluie, la neige et même le brouillard

Pouvant accueillir jusqu'à 12 passagers, les navettes KelRide sont idéales pour les solutions de transport du dernier kilomètre, reliant les personnes aux principaux centres de transport, aux centres commerciaux et à d'autres installations publiques. Les visiteurs de la Hannover Messe peuvent ainsi découvrir les navettes KelRide à la fois en service et en exposition lors de l'événement.

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Le Conseil constitutionnel, son rôle, ses missions, et un avis sur l'hémicycle

Publié le par Jacques SAMELA.

Le Conseil constitutionnel, son rôle, ses missions, et un avis sur l'hémicycle
Le Conseil constitutionnel, son rôle, ses missions, et un avis sur l'hémicycle

Qu'est-ce que le Conseil constitutionnel ?

https://www.vie-publique.fr/fiches/19549-quest-ce-que-le-conseil-constitutionnel

 

L’essentiel

  • La composition du Conseil constitutionnel doit lui permettre d'assurer une forme d'indépendance et de continuité. Ses membres sont nommés pour un mandat de neuf ans non renouvelable.   
  • Le Conseil constitutionnel assure le contrôle de la constitutionnalité des lois et de certains règlements (contrôle automatique et obligatoire) avant leur promulgation. Il peut également être saisi. Par ailleurs, il veille à la régularité des élections nationales (dont il promulgue les résultats) et peut être amené à se prononcer dans certains cas spécifiques. 

En détail

Le Conseil constitutionnel est une institution créée par la Constitution du 4 octobre 1958. Spécifique à la Ve République, il a pour mission principale d'assurer un contrôle de constitutionnalité et de veiller à la régularité des élections nationales. Il peut également émettre des avis dans certaines situations.

1/ Comment est-il composé ?

Le Conseil constitutionnel est composé de neuf membres. Trois d'entre eux sont nommés par le président de la République, trois par le président du Sénat et trois par le président de l’Assemblée nationale. 

Les règles qui encadrent le Conseil constitutionnel doivent garantir l'indépendance de l'institution :

  • le mandat de membre du Conseil n'est pas renouvelable ; 
  • les nominations du président de la République doivent être approuvées par les commissions permanentes compétentes de chaque assemblée (Assemblée nationale et Sénat) ;
  • lors de leur prestation de serment, les nouveaux membres s'engagent à garder le secret sur les délibérations et les votes, même après leur mandat, et à ne prendre aucune position publique ayant fait ou susceptible de faire l'objet d'une décision du Conseil ; 
  • enfin, la loi organique du 19 janvier 1995 définit le régime d'incompatibilité applicable aux membres du Conseil constitutionnel. Leur fonction est incompatible, par exemple, avec celle de membre du Parlement, du Conseil économique, social et environnemental (CESE) ou avec des fonctions de direction au sein d'un parti politique. 

La continuité de l'institution, quant à elle, est permise par la durée du mandat (neuf ans) et par le fait qu'il soit renouvelé par tiers tous les trois ans

À ces neufs membres s'ajoutent les anciens présidents de la République, qui sont membres de droit à vie. Ce statut leur permet de siéger au Conseil constitutionnel, s'ils le souhaitent, pour un mandat à durée indéterminée. Seuls certains d'entre eux ont siégé en cette qualité : Vincent Auriol et René Coty (présidents sous la IVe République), Valéry Giscard d'Estaing entre 2004 et 2020, Jacques Chirac entre 2007 et 2011 et Nicolas Sarkozy entre 2012 et 2013. 

2/ Quelles sont ses missions ?

Le Conseil constitutionnel assure trois missions principales. 

Tout d'abord, il est chargé de contrôler la constitutionnalité (autrement dit, de veiller à la conformité à la Constitution) des règlements des assemblées, des lois organiques et, depuis la loi constitutionnelle de juillet 2008, des propositions de lois prévues à l'article 11 de la Constitution pouvant aboutir à un référendum d'initiative partagée (RIP). Ce contrôle est facultatif pour les lois ordinaires et les engagements internationaux (comme les traités). 

Ensuite, il peut émettre des avis, dans certaines situations : en cas de décès, de démission ou d'empêchement du président de la République ou en cas d'application de l'article 16 de la Constitution, par exemple. 

Enfin, il juge de la régularité des élections nationales (présidentielle, législatives, sénatoriales et les référendums) et proclame les résultats. Il s'assure également du respect du régime d'éligibilité par les parlementaires. 

Dans le cadre de ces missions, le Conseil constitutionnel peut être saisi : 

  • de façon automatique, pour tous les textes mentionnés à l'article 61 alinéa 1 de la Constitution avant leur adoption ; 
  • directement par le président de la République, le premier ministre, soixante députés ou soixante sénateurs d'après l'article 61 alinéa 2, dans le cadre d'un contrôle a priori (c'est-à-dire avant promulgation d'une loi) ;
  • indirectement, dans le cadre d'une question prioritaire de constitutionnalité (QPC), par tout justiciable souhaitant contester une loi après sa promulgation, s'il l'estime contraire aux droits et libertés garantis par la Constitution. Le Conseil constitutionnel est alors amené à se prononcer si le texte lui est transmis par le Conseil d'État ou la Cour de cassation chargé de l'affaire. 

 

https://www.vie-publique.fr/fiches/19554-quelle-est-la-composition-du-conseil-constitutionnel

https://www.conseil-constitutionnel.fr/le-conseil-constitutionnel/presentation-generale

 

 

Vu et lu dans Télérama n° 3817 du 08/03/23
Vu et lu dans Télérama n° 3817 du 08/03/23
Vu et lu dans Télérama n° 3817 du 08/03/23

Vu et lu dans Télérama n° 3817 du 08/03/23

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Mars 2023

Publié le par Jacques SAMELA.

Mars 2023
Mars 2023

OPTIMISTES. Les français pour 2023 selon un sondage Harris Interactive, et ce à hauteur de 48 %.

Avantages n° 413 de mars 2023

 

OBTENTION. De l’exploitation et de la maintenance pendant 3 ans du TER de la ville de Dakar pour la SNCF.

Ville Rail Transports de mars 2023

 

DECISION. En faveur du groupe Airbus pour l’achat de 10 exemplaires fermes de l’A350-1000 par la Lufthansa.

Air & Cosmos du 02 mars 2023

 

RECUPERATION. Du terrain perdu par l’industrie française en 2022 selon le cabinet Trendeo, avec la possibilité de rattraper en 4 ans les pertes accumulées depuis 2009.

Le Monde du 02 mars 2023

 

CONTRAT. De 1,1 milliards d’Euros aux Philippines pour le groupe Alstom auprès de Mitsubishi afin de fournir un système ferroviaire intégré dans le cadre de l’extension du projet North-South Commuter Railway (NSCR). Colas Rail s’occupera quant à elle, des travaux de voie et du système de lignes aériennes de contact.

VIPress.net du 07 mars 2023

 

SIGNATURE. D’un contrat de support à l’heure de vol des moteurs Makila équipant des Super Puma AS332L1 du canadien Coldstream Helicopters Ltd pour le groupe Safran.

Air & Cosmos du 08 mars 2023

 

ACQUISITION. De la société américaine First Transit par le groupe Transdev, devenant en cela le 1er opérateur de services de transport public aux USA et au Canada, transportant désormais près de 400 millions de passagers par an, et générant un chiffre d’affaires combiné de 2,6 milliards de dollars.

Mobilités Magazine du 08 mars 2023

 

INSTALLATION. D’une nouvelle usine en Afrique du Sud pour le groupe Stellantis, avec comme souhait de vendre un million de véhicules sur le continent africain d’ici fin 2025.

L’Usine Nouvelle du 08 mars 2023

 

RECORD. Pour le groupe Thales en termes de commandes, avec un carnet de commandes atteignant 41 milliards d’Euros fin 2022.

La Tribune du 08 mars 2023

 

RECOMPENSE. Pour Potez Aéronautique, après la réception d’un « Supplier Excellence Award » de la part de l’américain Northrop Grumman, reconnaissant le fait d’être un de ses meilleurs fournisseurs parmi son réseau de plus de 10 000 prestataires en 2022.

Air & Cosmos du 09 mars 2023

 

STAR. Des fromages la mimolette « extra vieille » d’Isigny Sainte-Mère, après avoir été élu le meilleur fromage du monde durant le concours international de fromages et des produits laitiers de Lyon, où les 300 dégustateurs lui ont donné la note maximale de 100 sur 100.

Ouest-France du 09 mars 2023

 

CHAMPIONNE. La France sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, avec selon le classement d’Equileap, un score moyen de 55 %, obtenu en passant au crible les pratiques des entreprises dont le capital en Bourse dépasse 2 milliards de dollars. Suivent derrière l’Espagne avec 54 %, l’Italie et la Norvège avec 53 %.

Le Parisien Week-End du 10 mars 2023

 

JACKPOT. Pour le savoyard MND (www.mnd.com), après l’obtention de son plus gros contrat en Ouzbékistan, 100 millions d’Euros, pour l’aménagement intégrale d’une station de montagne.

La Tribune du 14/03/23

 

REINDUSTRIALISATION. En cours, avec en 2022, la création ou l’extension de 76 nouveaux sites industriels, générant 3 000 emplois directs.

Le Parisien Week-End du 17 mars 2023

 

VAINQUEUR. Le français Aurélien Sanchez, de l’édition 2023 de la « Barkley », la course la plus difficile au monde. Après plus de 58 heures de course, seulement 3 participants sont allés au bout des 200 km et 20 000 de dénivelé.

L’Equipe du 19 mars 2023

 

PROGRESSION. De 0,6 % du PIB français, contre 0,3 % envisagé jusqu’alors, dû notamment à une inflation moins forte que prévue, et une croissance plus élevée de la demande mondiale.

La Tribune du 20 mars 2023

 

OUVERTURE. Au Royaume-Uni après les Etats-Unis, de la 2ème filiale de la société Cornilleau, PME de l’Oise, leader mondial des tables de tennis de table d’extérieur haut de gamme.

SIGNATURE 2. D’un contrat entre le groupe Alstom et l’Autorité portuaire de New York et du New Jersey, et l’aéroport international Newark Liberty, pour la fourniture des services d’exploitation et de maintenance du monorail Innovia, connu sous le nom d’AirTrain Newark. Courant sur 7 ans, le contrat représente un montant d’environ 250 millions d’Euros.

Mobilités Magazine du 23 mars 2023

 

MAINTIEN. De son rang dans le palmarès mondial des universités QS, avec sur près de 1 600 institutions classées, 73 établissements français, dont Sciences Po (3ème en sciences politiques et études internationales), l’Insead (2ème en business et management), HEC Paris (6ème en marketing et 10ème en business et management), et pour la 1ère fois, l’université d’Angers, et Strate école de design (Galileo).

Les Echos du 24 mars 2023

 

CONSERVATION. Du titre de champion du monde de ski de vitesse pour le français Simon Billy, devenant également l’homme le plus rapide du monde avec une pointe à 255,5 km/h.

Ouest-France du 26 mars 2023

 

MONDIAL. L’avenir de la petite commune de Gordes, dans le Vaucluse, après avoir été élue le plus beau village du monde par le magazine américain Travel + Leisure.

Eco Réseau du 27 mars 2023

 

REALISATION. De deux nouveaux marchés routiers autour de Sidney (Australie) pour le groupe Vinci.

Batiactu du 27 mars 2023

 

HISTORIQUE. Et rapide le chrono du nageur français Léon Marchand, après avoir parcouru l’épreuve du 200 yards brasse (environ 180 m) en 1 minute, 46 secondes et 91 centièmes, durant les Championnats universitaire américains de natation de Minneapolis.

L’Equipe du 27 mars 2023

 

OBTENTION 2. De la plus haute certification environnementale pour tous les aéroports du Portugal, gérés par Vinci Airports, atteignant en cela le niveau 4 du programme « Airport Carbon Accreditation », développé par ACI Europe, la branche européenne du Conseil international des aéroports.

Air & Cosmos du 28 mars 2023

 

DIMINUTION. Du niveau d’endettement de la France à hauteur de 4,7 % du PIB 2022, après avoir atteint 6,5 % en 2021, et 9 % en 2020. Malgré cela, la dette publique atteint 111,6 % du PIB, et frôle les 3 000 milliards en valeur absolue.

Eco Réseau du 28 mars 2023

 

 

 

 

Publié dans Revue de presse

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Le CAC 40 (suite & infos)

Publié le par Jacques SAMELA.

Le CAC 40 (suite & infos)
Le CAC 40 (suite & infos)

Le CAC 40 bat son record historique à 7.390 points

https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/le-cac-40-bat-son-record-historique-a-plus-de-7390-points-1933909?xtor=CS4-6240

Par Sophie Rolland / Publié le 11 avr. 2023

 

Le CAC 40 atteint mardi son plus haut niveau à la clôture, à 7.390,28 points. Une performance favorisée par son profil diversifié et par le poids de ses géants du luxe, qui peuvent imposer leurs prix dans un environnement inflationniste.

Après quatre jours d'interruption liés au week-end de Pâques, les indices boursiers ont repris leur marche vers le haut. Les traces des turbulences de la crise bancaire du mois dernier sont effacées. L'inflation et son corollaire, le resserrement des politiques monétaires, déjà oubliés. Quant à la récession, de plus en plus probable aux Etats-Unis, elle est superbement ignorée.

A Paris, le CAC 40 a ainsi battu son record historique de 7.376 points, atteint le 5 janvier 2022 en clôture. Il a dépassé les 7.403 points en séance, un record absolu, avant de terminer à 7.390,28 points. Il lui aura fallu cinq tentatives . Lors de l'une d'entre elles, le 6 mars dernier, par exemple, l'indice parisien avait atteint les 7.401 points en séance. Mais le lendemain, les difficultés des banques régionales américaines entraînaient la planète finance dans la pire panique bancaire depuis la crise de 2008 .

Le CAC 40 est, il est vrai, avantagé par son profil diversifié et par le poids de ses géants du luxe, qui peuvent imposer leurs prix, dans un environnement inflationniste. Et TotalEnergies, la major pétrolière française, profite pleinement du regain de vigueur des cours de l'or noir. La performance boursière du groupe contribue très largement au retour de l'indice parisien à ses sommets historiques.

Fin du cycle de resserrement monétaire

Mais surtout, les investisseurs saluent déjà la fin du cycle de resserrement monétaire le plus violent de ces quarante dernières années. Peut-être un peu vite, selon certains. Dans l'environnement actuel, toute pause dans la remontée de ses taux par une banque centrale de la planète est interprétée comme un signal avancé. Il est vrai que le ton des instituts monétaires s'adoucit. Mardi, la banque centrale de Corée du Sud a maintenu son taux directeur à 3,5 % après avoir déjà opté pour un statu quo en février.

La hausse de 25 points de base des taux directeurs de la Réserve fédérale américaine (Fed) attendue en mai sera-t-elle la dernière ? Peut-être. En revanche, bon nombre d'économistes doutent que les anticipations de baisse de taux pour la deuxième partie d'année se réalisent. Quant à la BCE, elle ne devrait pas abandonner la partie si facilement . La publication de l'évolution des prix à la consommation et à la production aux Etats-Unis, mercredi et jeudi, ainsi que de l'inflation allemande pour le mois de mars, jeudi, permettra peut-être d'y voir plus clair sur la suite.

Equilibre instable

En attendant, comme l'indique Axel Botte dans une note d'Ostrum, « l'équilibre des marchés financiers est intrinsèquement instable car il repose sur une hypothèse de baisse des taux de la Fed de quelque 100 points de base dès cette année. » Autrement dit, sur des hypothèses exclues par les banquiers centraux eux-mêmes.

Aux Etats-Unis, où l'indice des 500 plus grandes capitalisations américaines - le S&P 500 - est en hausse de plus de 7 % depuis le début de l'année, les nuages s'amoncellent. « La récession économique n'est pas encore là, mais celle des profits est déjà présente comme devraient le montrer les résultats du premier trimestre », indique Christophe Foliot, gérant actions américaines chez Edmond de Rothschild AM. La saison des publications qui s'ouvre cette semaine pourrait aider les investisseurs à revenir sur terre.

Baisse des bénéfices

Les bénéfices du premier trimestre 2023 des sociétés du S&P 500 devraient enregistrer un recul de 6,6 % par rapport à la même période de l'année dernière, selon le consensus des analystes. Si ces anticipations se réalisent, il s'agira de la plus forte baisse des bénéfices depuis le deuxième trimestre 2020 (-31,8 %), c'est-à-dire depuis le coup d'arrêt lié au Covid.

« Même si les entreprises publient la plupart du temps des résultats « supérieurs aux attentes », les profits devraient, cette fois, pour la première fois depuis longtemps ressortir en baisse », poursuit Christophe Foliot. Avec des mauvaises surprises à craindre du côté de secteurs jusque-là épargnés, comme la tech par exemple. Déjà, les ventes de PC ont reculé de 30 % au premier trimestre. Depuis le début de l'année, 90 % des gains du S&P 500 sont imputables à une vingtaine de valeurs.

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2018/01/cac-40-le-meilleur-est-a-venir.html

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CAC40 : le véritable bilan annuel, édition 2022

https://multinationales.org/fr/enquetes/cac40-le-veritable-bilan-annuel-2022/

Publié le 14 novembre 2022

 

Superprofits, climat, fiscalité, dividendes, emploi, salaires, enjeux sociétaux, relations avec les dirigeants politiques : l’édition 2022 de « CAC40 : le véritable bilan annuel », qui paraît ce lundi 14 novembre, propose une radiographie, chiffres à l’appui, des grandes entreprises françaises et de leur rôle dans la France et le monde d’aujourd’hui.

 

TÉLÉCHARGEZ LA PUBLICATION

Radiographie des grandes entreprises françaises et de leur rôle dans la France et le monde d’aujourd’hui

 Téléchargez le PDF (16 Mo)

https://multinationales.org/IMG/pdf/bilan_cac_2022.pdf

 

L’édition 2022 de CAC40 : le véritable bilan annuel, publiée ce lundi 14 novembre, compile et analyse les données publiquement disponibles sur le comportement des grands entreprises françaises en matière financière, fiscale, écologique, sociale et politique.

Cette édition contient aussi une enquête inédite sur la composition des conseils d’administration du CAC40. Cette analyse permet de prendre la mesure des liens étroits entre les grandes entreprises françaises, qui explique leur forte solidarité ainsi que leur alignement sur les mêmes pratiques en matière de dividendes, de rémunérations patronales, de fiscalité ou de climat.

Au final, l’édition 2022 de CAC40 : le véritable bilan annuel interroge les liens de plus en plus ambivalents ou conflictuels entre « le CAC40 » et « la France ».

 

Les principaux chiffres à retenir

 

  • Le CAC40 a battu des records de profits en 2021 (157 milliards €) et au premier semestre 2022 (72,8 milliards), du fait d’une augmentation de l’activité mais surtout de leur profitabilité.

  • Le CAC40 a versé des dividendes record sur les profits 2021 (57,5 milliards) et battu en 2021 un record de rachats d’actions (22,4 milliards €). Les principaux bénéficiaires sont comme d’habitude le groupe Arnault (2,4 milliards d’euros de dividendes sur les profits 2021) et BlackRock (plus de 2 milliards d’euros). Les rachats d’actions et les dividendes sont partis sur la même lancée en 2022.
  • Le taux effectif d’imposition du CAC40 a nettement diminué entre 2020 et 2021, passant de 37,6 à 25,4 %. 14,3% en moyenne de filiales du CAC40 sont localisées dans des pays considérés comme des paradis fiscaux. Certains des groupes du CAC40 qui réalisent les plus gros profits (ArcelorMittal, Stellantis, ST Micro) sont basés dans des pays réputés pour leurs avantages fiscaux pour les multinationales.
  • Avec 6,6 millions de rémunération moyenne en 2021, les patrons du CAC40 ont bénéficié d’une augmentation de 52% par rapport à 2020 et de 26% par rapport à 2019. Un nombre petit mais croissant de patrons du CAC affichent désormais des rémunérations dépassant allègrement les 10 millions d’euros.
  • Comme les salaires ne suivent pas, les groupes du CAC40 sont de plus en plus inégalitaires. Le ratio entre rémunération patronale moyenne et dépenses moyennes par salarié était de 108 en 2018, de 117 en 2019, de 115 en 2020. En 2021, il est de 139. La palme dans ce domaine revient au groupe Teleperformance où ce ratio est de 1706.
  • Les émissions de CO2 du CAC40 augmentent légèrement en 2021 par rapport à 2020, après une chute entre 2020 et 2019 en raison de la pandémie. Cette chute met en lumière l’importance des émissions du secteur aérien. Plusieurs groupes parmi les plus gros pollueurs du CAC40 ont cependant continué à augmenter leurs émissions malgré le Covid. Beaucoup de groupes de CAC40 ne sont toujours pas transparents sur l’ensemble de leurs émissions, notamment dans le secteur bancaire.
  • Le CAC40 employait environ 5 millions de salariés et de salariées directs fin 2021, porté par l’explosion des effectifs de groupes de services fortement délocalisés comme Teleperformance et Capgemini. Les piliers du CAC40 continuent à réduire leurs effectifs, notamment en France : Carrefour, Sanofi, Orange, Renault, BNP Paribas, Société générale, etc.
  • La place des femmes dans les instances dirigeantes du CAC40 progresse très lentement. Début 2022, il y avait 3 femmes sur les 68 DG, PDG et présidents de conseil d’administration. Elles sont aujourd’hui 5. Les femmes représentent aujourd’hui le quart des comités de direction, deux fois plus qu’en 2018 - mais de manière disproportionnée en charge de sujets comme la communication, les RH ou la RSE.
  • - Directement ou indirectement, les pouvoirs publics français sont présents au capital de près de la moitié du CAC40, mais la différence entre actionnariat public et actionnariat privé apparaît de moins en moins évidente.
  • À quelques exceptions près (les nouveaux venus Teleperformance et Eurofins), la plupart des groupes du CAC40 ont de nombreuses connexions entre eux à travers leurs administrateurs et dirigeants, jusqu’à 19 liens pour Danone et 18 pour TotalEnergies et Orange.
  • Les trois premières capitalisations du CAC40 sont désormais des groupes liés au secteur du luxe : LVMH, L’Oréal et Hermès. Ils sont suivis par TotalEnergies et Sanofi. Ces 5 groupes représentent près de la moitié de la capitalisation du CAC40 dans son ensemble.

 

 

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OVH & Qwant (suites)

Publié le par Jacques SAMELA.

OVH & Qwant (suites)
OVH & Qwant (suites)

Le fondateur d’OVHcloud (1)veut racheter le moteur de recherche français Qwant (2)

https://www.frenchweb.fr/le-fondateur-dovhcloud-veut-racheter-le-moteur-de-recherche-francais-qwant/441961

Le 12/04/2023

 

Le moteur de recherche français Qwant, ex-vedette de la French Tech longtemps soutenue par l’Etat, est en cours de rachat par Octave Klaba, fondateur d’OVHCloud, qui souhaite créer « un champion européen » des services, selon un communiqué publié mardi.

L’entrepreneur franco-polonais et son frère Miroslaw sont en « négociations exclusives » avec les actionnaires de Qwant, notamment la Caisse des dépôts (CDC), pour l’acquisition du moteur de recherche, ont indiqué Octave Klaba et la CDC dans ce communiqué commun.

Le montant de l’opération n’a pas été dévoilé.

Ce « partenariat » doit aboutir à la création d’une plateforme baptisée « Synfonium », détenue à 75% par les frères Klaba et à 25% par la CDC, qui réunira les « meilleurs services de collaboration européens » basés sur le « cloud » (informatique à distance), allant du stockage au moteur de recherche.

Les frères Klaba avaient repris en 2021 la start-up française en déconfiture Shadow (ex-Blade (3)), une entreprise star dans la communauté des geeks français, avec la réputation d’employer des développeurs très pointus pour un projet techniquement très complexe.

L’entreprise a commencé en proposant notamment aux particuliers de se doter d’une machine surpuissante dans le « cloud », pour pouvoir jouer à des jeux vidéo très exigeants sans être obligés de posséder eux-mêmes un ordinateur performant.

Le montant de l’acquisition de Shadow était de 5 millions d’euros, assorti d’un plan d’investissement de 30 millions sur 5 ans, selon une source proche des actionnaires.

Plus connu du grand public, Qwant, qui comptait en 2021 une centaine de salariés, a été fondé en 2013 avec l’ambition de faire sa place dans le monde de la recherche en ligne, totalement dominé par Google, en mettant en avant la protection de la vie privée et ses propres algorithmes pour indexer les pages web.

Mais cette ex-vedette de la French Tech, encouragée par les pouvoirs publics et installée par défaut sur les ordinateurs de l’Etat, n’a jamais réussi au long de sa croissance à dégager des ressources commerciales suffisantes pour se rentabiliser.

En 2020, après le départ de son patron Eric Leandri, elle avait été renflouée par la CDC et le groupe allemand Axel Springer.

En mars 2023, elle ne totalisait que 0,58% des requêtes en France, selon le site statcounter, bien loin derrière Google (91,3%) et Bing (4,35%), le moteur de recherche du géant américain Microsoft.

Selon un connaisseur du secteur, Octave Klaba a plusieurs fois approché Qwant, mais s’était heurté aux promesses technologiques non tenues de la société.

Celle-ci avait dû notamment concéder sa forte dépendance à Bing, mettant à mal sa promesse de souveraineté technologique.

Pour un ancien dirigeant interrogé par l’AFP, ce rachat, s’il conduit à un « réinvestissement technologique », est « globalement une bonne nouvelle » pour Qwant, qui dispose aussi d’un service de cartographie et d’un moteur de recherche pour les enfants.

1/

http://competitiviteinfrance.overblog.com/l-entreprise-du-mois-ovh-une-r%C3%A9ussite-fran%C3%A7aise

 

2/

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2015/06/qwant-moteur-de-decouverte-a-la-francaise.html

 

3/

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2018/01/blade-de-l-ombre-a-la-lumiere.html

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Laval Virtual, le retour (12 au 14 avril 2023)

Publié le par Jacques SAMELA.

Laval Virtual, le retour (12 au 14 avril 2023)
Laval Virtual, le retour (12 au 14 avril 2023)

Laval Virtual, certainement pas une illusion

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2019/03/laval-virtual-certainement-pas-une-illusion.html

Las Vegas a son CES (lire « La petite histoire du CES » du 07 janvier dernier), Paris son Viva Technology (16 & 18 mai 2019), et Laval, en Mayenne, son Laval Virtual (www.laval-virtual.com), salon international de la réalité virtuelle et des techniques immersives, dont la 21ème édition aura lieu du 20 au 24 mars prochain.

Créé en 1999 sous l'impulsion du maire de la ville de l'époque et ancien ministre de la recherche sous le gouvernement Raffarin, alors 1er ministre du président Jacques Chirac, François d'Aubert, le concept émane lui de Bernard Taravel, co-créateur du Futuroscope, Guy Le Bras, directeur du GART (www.gart.org), et de Simon Richir, directeur de l'Institut des Arts et Métiers Paris Tech – Laval (www.laval.ensam.eu), avec comme idée de donner une autre image à cette région plutôt agricole, en réunissant pour la première fois en France des acteurs de la réalité virtuelle, qu’ils soient de l'enseignement, du monde de la recherche, de l'entreprise, et bien évidemment du grand public.

Et dès le début, le succès fut au rendez-vous, avec près de 8 000 participants, et une présence remarqué d'universités japonaises.

Aujourd'hui, la réalité virtuelle n'est plus la seule discipline proposée, car rejointe depuis par la réalité augmentée, la 3D interactive, la robotique, l'intelligence artificielle, l'internet des objets, et toutes les technologies innovantes et convergentes, devenant en cela le plus grand événement professionnel dédié aux mondes virtuels en devenir.

Et ce ne sont pas les 300 et plus exposants, répartis sur 9 000 m2 qui diront le contraire, attendant cette année pas loin de 10 000 visiteurs, professionnels, et rejoint par un public d'aficionados toujours plus nombreux chaque année, permettant à cet événement devenu désormais incontournable, d'atteindre les 20 000 visiteurs de l'édition précédente, voire de la dépasser.

Et pour cela, les organisateurs ont cette année organisé un tour d'Europe en camping-car pour faire connaître l'événement, visitant onze pays en trois mois, y rencontrant notamment près de cent entreprises, avec comme but de promouvoir ces nouveaux usages, incontournable aujourd'hui hui pour rejoindre le mouvement de ce que l'on appelle l'usine du futur ou 4.0.

Mais c'est aussi durant l'évènement que se joue sa réputation, avec cette année près de 200 conférenciers intervenant sur trois thématiques phares que seront tout d'abord celle consacrée aux activités sectorielles comme les domaines de la construction, de la santé, de la défense, du retail ou encore de l'industrie 4.0, appelées VRticals, ensuite celle consacrée aux problématiques dites transverses comme la formation, la production de contenus VR/AR, ou encore le storytelling, appelées TranVRsals, et pour finir, celle permettant des passerelles entre la recherche et l'industrie et appelée ConVERgence.

Une nouvelle formule sera également mise en place pour les Laval Virtual Awards, avec six grandes catégories que seront la VR/AR for productivity, la VR/ AR for Learning and Training, la VR/AR for Safety and improvement of Work Environment, la VR/AR for Marketing & Sales, la VR/AR for Data Visualisation & Decision-Making, et pour finir, la VR/AR for a cause, permettant de résoudre des problématiques industrielles et humaines, et dont les vainqueurs seront choisis par un jury d'experts internationaux.

Ensuite, et pour la deuxième année consécutive, reviendra le Festival ‘Art et de Réalité Virtuelle appelé Recto VRso, et dont la thématique traitera de l'illusion réelle et de l'illusion virtuelle, mais aussi pour la première fois, la mise en place d’une Job Fair, permettant aux entreprises présentes de rencontrer et de recruter leurs futurs collaborateurs.

Et justement, comme l'idée d'origine était de permettre de nouvelles débouchées à la région, on peut dire que cette initiative est une parfaite réussite, car si d'autres salons similaires existent, ils n'égalent en rien celui-ci, mais surtout, grâce à la mise en place de formations dédiées au sein des établissements scolaires de la région, une nouvelle génération d'étudiants a pu répondre aux nouveaux besoins des entreprises du crus et d'ailleurs, voire de créer un nouveau microcosme d'entreprises entièrement dédiées à ces nouveaux usages, avec dès 2017, la création d'un espace de rencontres high-tech de 3 200 m2 appelé le Laval Virtual Center (www.Lavalvirtualcenter.com), déjà considéré comme le premier hub international sur la RV/RA, s’appuyant sur le principe de l’ideation*, et dont l'objectif est d'accompagner au plus près l'avènement de ce monde nouveau, en proposant notamment des services dans le domaine de la veille technologique, permettant une information sur les tendances du moment, des formations continues adressées entrepreneurs, afin de les aider à comprendre le fonctionnement de ces nouveaux outils, pour par la suite les utiliser à bon escient pour leur entreprise, permettant en cela de conforter le positionnement actuel du marché français, soit le troisième au plan mondial, avec comme possibilité d'en atteindre la première place dans les prochaines années, j'en prends le pari.

*L'idéation est le processus créatif de production et communication de nouvelles idées (Wikipédia).

Jacques Samela

Sources :

. www.laval-virtual.com

. www.mtom-mag.com

. www.vrroom.buzz

. Wikipedia

 

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La douane (suite) & le commerce mondial

Publié le par Jacques SAMELA.

La douane (suite) & le commerce mondial
La douane (suite) & le commerce mondial

La Douane lance un appel à projets de recherche

https://www.lemoci.com/la-douane-lance-un-appel-a-projets-de-recherche/

 

Par Christine Gilguy / Le 17/02/23

 

C’est une première de la part de l’administration douanière et cela fait suite à la création, en mai 2022, du Conseil scientifique de la douane à l’initiative de la directrice générale des douanes et droits indirects. Un appel à projets de recherche doté de 100 000 euros a été lancé le 6 février dernier à l’attention des étudiants et chercheurs. Voici les détails.

L’objectif du nouveau Conseil scientifique de la douane est de renforcer la coopération avec les universités et de soutenir la recherche scientifique dans les champs de compétence qui lui sont propres. Dans cette optique, la direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) a mis en place ce mécanisme d’appel à projets qui doit contribuer à financer des travaux de recherche portant sur ses thématiques d’intérêt.

Voici en résumé les thématiques retenues :

La douane et l’Europe : Douane française et Union douanière ; Réalité et enjeux de la compétitivité douanière ; L’impact du Brexit sur les échanges des entreprises françaises ; La parcellisation des échanges et le e-commerce : impacts économiques, fiscaux et environnementaux ; Douane et réglementations non douanières. Ces travaux s’inscriront dans un contexte porteur, à la suite du rapport du Groupe des Sages et de ses recommandations rendu en mars 2022. La Commission européenne doit proposer des textes sur l’approfondissement de l’Union douanière à la fin du 1er trimestre 2023.

-L’évolution des trafics illégaux et la réponse douanière

Les évaluations des menaces, réalisées aux niveaux national et européen, concordent sur l’intensité élevée des menaces actuelles. Les travaux de recherche portant sur ce thème pourront analyser : la menace et ses mutations ; le cadre légal, tant supranational que national, et son application ; les mutations de la réponse douanière tant dans son organisation que dans les outils employés.

-Intelligence artificielle et blockchain

Dotée d’un patrimoine de données remarquable au travers de ses quelques 200 applicatifs, la douane doit s’attacher à construire une « usine de données » pour collecter, stocker et utiliser les données de manière fiable et industrialisée, et approfondir sa capacité à exploiter les données, depuis la datavisualisation jusqu’à l’intelligence artificielle, en passant par l’analyse d’images ou le partage de données avec des opérateurs économiques. Par ailleurs, dans un environnement en mutation rapide, la douane doit poursuivre une veille sur les technologies émergentes, notamment la blockchain, technologie qui se développe dans le commerce international, ainsi que les technologies employées pour contrer la criminalité dans l’espace cyber (webscraping, par exemple).

-La Douane et le Parlement

Un travail de recherche sur cette thématique intègrera des considérations historiques et d’actualité. Il pourra intégrer une dimension de droit comparé, et devra également se pencher sur le rôle du Parlement européen qui joue un rôle important en matière douanière.

Concernant les critères d’éligibilité, le principal est que le candidat doit être rattachés à un établissement d’enseignement supérieur et de recherche ou à un organisme public de recherche français ou européen et qu’il ne peut candidater que dans son laboratoire de rattachement principal. « Le statut des porteurs de projet doit permettre de justifier d’un engagement pérenne du laboratoire d’accueil pour la conduite de leur projet. Ils ne peuvent pas être en contrat postdoctoral au moment de la réalisation du projet. Chaque laboratoire d’accueil pourra proposer plusieurs projets d’étude, un seul pourra en revanche être retenu pour bénéficier de la subvention », précise le texte de l’appel à projet.

La délégation à la stratégie de la DGDDI est chargée d’examiner la recevabilité des projets. Ceux qui seront jugés recevables bénéficieront d’une audition devant le conseil scientifique de la douane, qui rendra par la suite un avis motivé sur chaque projet. Enfin, les projets retenus pourront bénéficier d’une subvention de 5000 à 40 000 euros.

Ouvert depuis le 6 février, l’appel à projet sera clos le 7 avril 2023 à minuit.

Pour en savoir plus 

-Les détails de l’appel à projets et le formulaire de candidature sont en ligne sur le site de la Douane : delegation-strategie@douane.finances.gouv.fr

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2015/07/la-douane-francaise-au-service-de-la-competitivite.html

 

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Un commerce mondial de plus en plus vert !

https://www.ecoreseau.fr/la-planete-et-nous-ezzedine-el-mestiri/un-commerce-mondial-de-plus-en-plus-vert-2023-04-05-93079?utm_campaign=Matinale_Jeudi_-_20230406&utm_medium=email&utm_source=sendinblue

Par  LMedia le 05 avril 2023

Le marché mondial des voitures électriques, de l’énergie solaire et éolienne, de l’hydrogène vert et d’une douzaine d’autres technologies vertes atteindrait 2 100 milliards de dollars d’ici à 2030.

En 2022, le commerce mondial a atteint le chiffre de 32 000 milliards de dollars. Selon la Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement (Cnuced), les exports de « biens écologiques » connaissent une forte croissance. Parmi lesquels figurent les voitures électriques et hybrides (+25 %), les emballages non plastiques (+20 %) et les éoliennes (+10 %). Le commerce des produits verts ne cesse d’augmenter avec un chiffre record de 1 900 milliards de dollars, soit une augmentation de plus de 100 milliards de dollars par rapport à 2021.

C’est une rassurante nouvelle pour la planète car ces biens sont indispensables à la protection de l’environnement. Dans son récent rapport 2023 sur la technologie et l’innovation, la Cnuced s’attend à un essor des industries vertes à mesure que les pays intensifieront leurs efforts de lutte contre le changement climatique.

Le marché mondial des voitures électriques, de l’énergie solaire et éolienne, de l’hydrogène vert et d’une douzaine d’autres technologies vertes atteindrait 2 100 milliards de dollars d’ici à 2030, soit quatre fois plus que leur valeur actuelle.

Ainsi lier plus étroitement le commerce international à la transition vers une économie plus verte qui offre notamment aux pays en développement des technologies écologiques telles que l’intelligence artificielle, l’Internet des objets et les véhicules électriques. Si ces pays agissent maintenant pour attraper cette vague, ils pourraient accéder à des économies plus fortes et plus égalitaires, tout en luttant contre le changement climatique. Une chance aussi de tirer parti des fortes augmentations de productivité associées à cette nouvelle révolution technologique, tout en contribuant à protéger la planète.

Une prise de conscience de tous

Pour soutenir cette évolution, le rapport incite la communauté internationale à rendre les règles commerciales mondiales plus adéquates aux industries vertes et à réformer les droits de propriété intellectuelle pour faciliter le transfert de technologie vers les pays du Sud. La Cnuced appelle aussi les gouvernements et les milieux d’affaires à investir fortement dans des secteurs plus complexes et plus écologiques et à renforcer les compétences techniques.

Enfin, l’humanité, au bord d’un changement irréversible, s’est résolue, peut-être à investir dans des technologies vertes et à fabriquer de plus en plus des produits qui utilisent moins de ressources et qui émettent moins de polluants que leurs équivalents classiques. Il était temps ! Développer des économies vertes et durables plus diversifiées en passant par de meilleures trajectoires de développement avec un fardeau moindre pour l’environnement.

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2018/09/multilateralisme-vs-protectionnisme-ou-tel-est-pris-qui-croyait-prendre.html

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Carmat, Isorg, Parrot, Poma (suites)

Publié le par Jacques SAMELA.

Carmat, Isorg, Parrot, Poma (suites)
Carmat, Isorg, Parrot, Poma (suites)

CARMAT DEVRAIT PRODUIRE PLUS DE 100 CŒURS ARTIFICIELS EN 2023

https://vipress.net/carmat-devrait-produire-plus-de-100-coeurs-artificiels-en-2023/

Publié par Frédéric Fassot | 24 Jan 2023 | 

 

Le Français Carmat, concepteur et développeur d’un cœur artificiel total visant à offrir une alternative thérapeutique aux malades souffrant d’insuffisance cardiaque biventriculaire terminale, communique pour la première fois ses objectifs financiers. La reprise graduelle des implantations de son cœur artificiel Aeson permet de viser un chiffre d’affaires de 10 M€ à 13 M€ en 2023. La société anticipe l’atteinte de son seuil de rentabilité en 2027.

Carmat a repris les implantations à titre commercial de son cœur artificiel Aeson en novembre 2022. La société poursuit très activement la formation de nouveaux hôpitaux, avec un objectif de 30 centres opérationnels en Europe, majoritairement en Allemagne et en Italie, d’ici la fin de l’année 2023. La montée en cadence de la production sera progressive et devrait permettre la production de plus de 100 cœurs artificiels en 2023. Sur la base de ces éléments, la société anticipe des ventes de 10 à 13 M€ en 2023.

500 prothèses par an en 2024 et 1000 unités à l’horizon 2027

Par ailleurs, pour accompagner une demande soutenue pour Aeson en Europe, et son lancement commercial aux Etats-Unis, anticipé en 2026, Carmat a prévu la mise en œuvre d’un plan industriel qui devrait lui permettre d’atteindre une capacité de production de 500 prothèses en 2024 et 1000 prothèses à l’horizon 2027. Sur la base de ces éléments, la société estime pouvoir atteindre son seuil de rentabilité d’ici 5 ans, en 2027.

« Ces derniers mois ont été riches d’enseignements et nous ont permis d’affiner à la fois notre stratégie d’accès au marché et notre stratégie industrielle. Compte tenu des avancées réalisées sur les différents chantiers (commercial, production, qualité, clinique, etc.), nous sommes en mesure de communiquer pour la première fois des objectifs financiers, et notamment une prévision de chiffre d’affaires de l’ordre de 10 à 13 M€ pour 2023. L’intérêt et la forte demande pour Aeson nous rendent particulièrement confiants dans le développement de nos ventes », souligne Stéphane Piat, directeur général de Carmat.

Fondée en 2008, Carmat est implantée en région parisienne avec son siège social de Vélizy-Villacoublay et un site de production à Bois-d’Arcy. La société emploie plus de 200 personnes hautement spécialisées.

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2014/01/carmat-un-r%C3%AAve-se-r%C3%A9alise.html

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Isorg obtient la certification du FBI pour son capteur optique d’empreintes digitales FAP30

https://www.minalogic.com/actualites-adherents/isorg-obtient-la-certification-du-fbi-pour-son-capteur-optique-dempreintes-digitales-fap30/

 

Certification de Bio1Print30, capteur d’images biométriques de grande surface, offre les avantages de la numérisation optique des empreintes digitales pour l’authentification mobile et nomade

Isorg, pionnier des photodétecteurs organiques (OPD) et des capteurs d'images de grande surface, annonce aujourd'hui la certification FBI du Bio1Print30, un capteur optique d'empreintes digitales de grande surface pour des applications où la sécurité mobile renforcée et l'authentification d'identité nomade sont essentielles. Le Bio1Print30, un capteur FAP30 (Fingerprint Acquisition Profile), dont la principale technologie est compatible avec les écrans de smartphones, est certifié comme répondant aux critères d'authentification PIV (Personal Identity Validation) et de Mobile ID.

Le capteur FAP30 est le deuxième de la famille d’Isorg des modules à bases organiques pour la numérisation des empreintes digitales à se qualifier pour le déploiement dans les applications gouvernementales pour l'authentification biométrique, visant à empêcher les accès non autorisés dans les sites sensibles ou lors des passages aux frontières. Il permet à l'écran de capturer une image numérique de l'ensemble du motif d'empreinte digitale, en un seul scan. De plus, Isorg Bio1Print30 intègre un ASIC propriétaire d'Isorg qui permet une intégration rapide et facile.

“Comme les capteurs d'empreintes digitales plus grands renforcent la sécurité, Isorg est heureux de recevoir la certification du FBI pour son module FAP30. Nous apportons au marché de la sécurité et de l'identification un capteur d'empreintes digitales OPD à large facteur de forme, qui augmente la surface active du scanner d'empreintes digitales tout en conservant la même image haute résolution", a déclaré Dieter May, PDG d'Isorg.

L'utilisation croissante par les gouvernements de la biométrie pour la gestion des frontières, la défense, le screening des employés, les soins de santé et la sécurité sont parmi les dynamiques du marché qui poussent à l'utilisation des capteurs d'empreintes digitales pour l'authentification biométrique.

Selon un rapport du Biometric Summit 2022, la police française est également à la recherche d'une capacité de prise d'empreintes digitales en mobilité, notamment pour collecter les données biométriques des victimes de crimes, afin de les différencier des autres données, telles que les empreintes digitales latentes trouvées sur la scène.

Isorg est le seul fabriquant de capteurs d'empreintes digitales à base organique à avoir obtenu la Certification FBI. Le capteur FAP30 apporte de nouveaux avantages clés pour l'authentification mobile et nomade :

  • Ultra-mince (1,5mm), au moins 30% plus fin que les modèles précédents, permettant une intégration facile de l’ASIC
  • Résistant à l'éclairage intérieur intense et à la lumière directe du soleil, permettant une utilisation précise et fiable partout et à tout moment
  • Résistant aux chocs et aux variations de température et d'hygrométrie.

Isorg estime que cette deuxième certification FBI profitera également à d'autres projets qu'elle mène basés sur la même technologie de capteur. Il s'agit de son intégration dans les smartphones, permettant à ceux-ci d'atteindre de faibles Taux de Fausses Acceptations (FAR) et Taux de Faux Rejets (FRR).

"Notre cœur technologique consiste en un composant de capteur très fin. Outre les avantages en termes de performance, de taille et de faible poids pour les scanners d'empreintes digitales, notre technologie OPD peut être laminée sur un écran OLED, permettant ainsi de répondre aux applications de haute sécurité sur les téléphones mobiles grâce à la reconnaissance d’empreintes digitales multiples (multi-doigt). Plus globalement, les premiers à adopter les capteurs organiques pour l'intégration dans les écrans seront en mesure de renforcer la composante sécurité des produits de leurs portefeuilles et d'acquérir un avantage concurrentiel", a ajouté M. May.

À ce jour, la majorité des scanners biométriques à doigt unique utilisent la technologie conventionnelle d'optique à prisme ; ceux-ci tendent à être encombrants et peu pratiques pour la mobilité, d’autant plus quand la surface active devient plus grande. Contrairement aux scanners d'empreintes digitales plats conçus avec des technologies optiques basées sur des matrices TFT (Thin-Film-Transistor), dont l'approche de rétroéclairage signifie que le capteur est placé sur le dessus du scanner d'empreintes digitales, rendant celui-ci sensible à la lumière extérieure, l'approche d'Isorg surmonte cet inconvénient. La source lumineuse d'Isorg est une "lumière frontale", où le capteur est placé derrière la source lumineuse. Le marché mondial des capteurs d'empreintes digitales devrait atteindre 13,3 milliards de dollars en 2030 avec un TCAC de 14,8 %.

A propos d’Isorg

Isorg est un pionnier de l’électronique organique et imprimée pour les photodétecteurs et les capteurs d’images de grande surface. Elle offre une nouvelle génération d’imageurs de haute performance avec la capacité de s’intégrer facilement dans des systèmes aux formes ou facteurs de formes variés. Ses capteurs d’images flexibles trouvent leur application dans l’électronique de consommation, la sécurité de l’identité et le contrôle d’accès, l’IoT et les appareils médicaux. En 2020, elle a lancé le premier démonstrateur au monde de Fingerprint On Display (FOD) avec une taille plein écran pour les smartphones. Un an plus tard, elle a reçu le premier certificat FBI au monde pour un module d’empreintes digitales basé sur des photodiodes organiques pour le marché de la sécurité et de l’identification. Créée en 2010 et en partenariat avec le CEA-Liten, un centre d’innovation français leader dans les nouvelles technologies de l’énergie et les nanomatériaux, Isorg a levé un total de 58,2 millions d’euros (soit environ 59 millions de dollars) sur quatre levées de fonds.
www.isorg.fr

 

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2014/12/isorg-une-technologie-francaise-de-rupture.html

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LE CHIFFRE D’AFFAIRES DE PARROT S’EST ENVOLÉ DE 32% EN 2022

https://vipress.net/le-chiffre-daffaires-de-parrot-sest-envole-de-32-en-2022/

Publié par Frédéric Fassot | 16 Mar 2023 | 

 

Le groupe Parrot, spécialiste européen des drones civils professionnels, a réalisé en 2022 un chiffre d’affaires consolidé de 71,9 M€, en croissance de 32% (+24% à taux de change constant).

Parrot a continué de tirer parti de la stratégie mise en œuvre fin 2018 centrée sur son offre d’équipements et de logiciels sur le marché des microdrones professionnels. Les ventes de microdrones, principalement les modèles ANAFI pour la sécurité (ANAFI USA fabriqué aux Etats-Unis) et pour l’inspection (ANAFI Ai fabriqué en Chine) ont bondi de 88% pour représenter 55% du chiffre d’affaires du groupe. L’ANAFI USA destiné aux marchés de la sécurité et de la défense a été acquis par des institutions des pays de l’OTAN (États-Unis, Royaume-Uni, France, Europe du Nord, Japon notamment).

Les solutions logicielles dédiées à l’analyse d’images (photogrammétrie) dans le domaine de la cartographie, de l’inspection, de la sécurité et de l’agriculture de précision ont représenté 45% de chiffre d’affaires et sont en croissance de 25%.

Sur la base du « nouveau périmètre » du groupe suivi depuis début 2022, le chiffre d’affaires de Parrot s’est élevé à 70,7 M€, en hausse annuelle de 75% (+64% à taux de change constant). La comparaison tient compte de la déduction du chiffre d’affaires des produits grand public (drones grand public toutes gammes, reliquat accessoires) dont les ventes ont été finalisées en 2021, ainsi que des filiales cédées (Micasense en janvier 2021, et Sensefly SA et Sensefly Inc en octobre 2021).

Parrot souligne ainsi avoir relevé en 2022 les défis liés à l’environnement conjoncturel (pénurie de composants électroniques et industriels, inflation, contexte sanitaire) pour répondre à l’intérêt croissant pour ses technologies. Parrot a ainsi pu répondre à la demande croissante pour ses microdrones en sécurisant ses achats et ses capacités de production.

La croissance des ventes, couplée à une allocation maitrisée des ressources, a permis au groupe de ramener ses pertes opérationnelles courantes annuelles à – 19,0 M€ contre – 34,9 M€ à fin 2021, pour une perte nette part du groupe de 19,5 M€.

Parrot, fondé en 1994 par Henri Seydoux, son p-dg et principal actionnaire, conçoit et développe ses produits, principalement à Paris où est établi son siège, et en Europe. Le groupe compte aujourd’hui plus de 500 collaborateurs dans le monde et réalise la grande majorité de ses ventes à l’international.

Voir la présentation de Parrot aux investisseurs (décembre 2022)

https://www.parrot.com/assets/s3fs-public/2022-12/Parrot_Pr%C3%A9sentation-Investisseurs_DEC-2022_FR_Finale.pdf

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2015/02/parrot-le-perroquet-connecte.html

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Fabien Felli (Poma) : « Continuer à nous battre pour un transport bas carbone »

https://www.brefeco.com/expertises/fabien-felli-poma-continuer-nous-battre-pour-un-transport-bas-carbone

 

PUBLIÉ LE 29/11/2022

Edyta Tolwinska

Entré il y a une dizaine d’années dans le groupe Poma, Fabien Felli en a grimpé les échelons pour en devenir président à l’été 2022. Il a pris la succession de Jean Souchal qui continuera à accompagner Poma en tant que président du conseil de surveillance. Une nouvelle page dans l’histoire du pionnier français du transport par câble. Mais des valeurs qui restent.

Fabien Felli a la fibre internationale. Avant d’arriver chez Poma en 2011, il avait déjà beaucoup voyagé quand il opérait chez Matra, Thales ou encore Airbus. Il avait même vécu quelques années à Pékin. Entré chez Poma comme directeur export, il en est devenu directeur international puis directeur commercial, avant d’en être nommé vice-président du directoire en 2019. Autant dire qu’il connaît bien la maison et, si son style sera inévitablement différent de celui de Jean Souchal, il ne faut pas s’attendre à une secousse majeure dans ce groupe industriel qui a fait - et fait encore - l’histoire des sports d’hiver. Et, d’une façon plus large, l’histoire des transports par câble.

La montagne, mais pas que !

Poma est un géant mondial des télésièges, télécabines et autres téléphériques. Après 85 ans d’existence, il compte plus de 8.000 installations au compteur, dans 90 pays. Ses divers appareils transportent près de 6,5 millions de personnes par heure. Et pas seulement en montagne. Car si Poma est une marque bien connue des skieurs alpins, il ne faut pas oublier que le groupe isérois a su s’imposer aussi dans un environnement tout autre : la ville. Après avoir pris largement sa part dans l’équipement des stations de ski françaises au cours des décennies 1950-2010, et alors que les besoins en remontées mécaniques ralentissaient, il a su se tourner d’une part vers des pays qui commençaient à s’intéresser aux sports d’hiver (Chine et Russie en particulier, en stand-by total depuis la crise du Covid-19 et la guerre en Ukraine), et d’autre part vers de nouveaux débouchés. C’est le cas des télécabines urbaines qui peuvent constituer un moyen très complémentaire aux autres transports collectifs. Elles sont aussi, parfois, le mode de transport le plus pratique pour passer d’un quartier à l’autre.

Il n’est qu’à faire une petite liste de quelques réalisations de Poma pour se rendre compte de la dimension prise par le transport urbain par câble dans la mobilité propre. Dans le désordre : le téléphérique de New York reliant Manhattan à Roosevelt Island (2010), les télécabines de Nini Novgorod en Russie qui enjambe la Volga sur 3,6 kilomètres (2012), de Medellin (Colombie, 2004 puis 2021), de Guayaquil (2020), de Saint-Domingue (République dominicaine, 2022) ou encore le téléphérique d’Antananarivo (Madagascar, en cours).

Et, alors que la France s’est longtemps détournée de ce moyen de transport urbain, la voilà qui s’y met. Poma a déjà marqué quelques points avec le téléphérique de Toulouse, la télécabine de Saint-Denis-de-la-Réunion et la future liaison aérienne par câble de Grenoble (entre Fontaine et Saint-Martin-le-Vinoux).

Nous voulons abaisser notre empreinte globale, produire avec un plus faible impact, avec moins de matières premières par exemple

L’un des enjeux d’avenir auquel doit aujourd’hui faire face Fabien Felli est celui de l’environnement et de la diminution de l’impact carbone. Le nouveau président en fait une priorité : « Nous déployons un ensemble d’innovations dans le cadre de notre projet dénommé LIFE (Low Impact For Environnement) qui vise l’ensemble des composants de nos produits et de nos process : il s’agit d’abaisser notre empreinte globale, produire avec un plus faible impact, avec moins de matières premières par exemple. Entamée il y a plusieurs années, cette démarche peut s’appuyer aujourd’hui sur le bilan carbone que nous avons effectué en 2021 ».

L'INFO EN + EN 2000, POMA A LIVRÉ LA PLUS GRANDE ROUE DU MONDE À LONDRES, LA LONDON EYE.

Poma en chiffres :

CA 2021 : 332 millions d’euros dont 50 % à l’export

Effectif : 1 300 personnes dont 820 en France sur cinq sites en Auvergne-Rhône-Alpes

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2014/03/poma-de-la-montagne-a-la-ville.html

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