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Le luxe, Louis Vuitton, La Samaritaine (suites) & Autre

Publié le par Jacques SAMELA.

Le luxe, Louis Vuitton, La Samaritaine (suites) & Autre
Le luxe, Louis Vuitton, La Samaritaine (suites) & Autre
Vu et lu dans Les Echos du 15/12/22

Vu et lu dans Les Echos du 15/12/22

Vu et lu dans l'Express Hors-Série Ville 2022

Vu et lu dans l'Express Hors-Série Ville 2022

Vu et lu dans Les Echos du 24/09/22

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Vu et lu dans l'Express du 24/11/22

Vu et lu dans l'Express du 24/11/22

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Le domaine skiable, Poma (suites)

Publié le par Jacques SAMELA.

Le domaine skiable, Poma (suites)
Le domaine skiable, Poma (suites)

Hiver 2022-2023 : les stations de montagne face aux enjeux énergétiques

https://www.presences-grenoble.fr/actualites-loisirs-grenoble/hiver-2022-2023-les-stations-de-montagne-face-aux-enjeux-energetiques?detail=true&utm_campaign=CCI+Grenoble&utm_content=2022+-+Pr%c3%a9sences+actus+montagne&utm_medium=Emailing&utm_source=Sendethic

Après 1,3 Md€ de recettes générées en 2021-2022, comment la montagne prépare-t-elle une saison marquée par la flambée des prix de l’énergie ? Quelles sont les investissements ou mutations préparant la future attractivité des massifs isérois ? Comment s’adaptent-ils aux mutations des attentes et de la fréquentation des touristes ? Comment ces initiatives préparent-elles plus largement les réflexions autour de l’avenir de la montagne, et l’accueil des clientèles tout au long de l’année ? Tour d'horizon sur les grands massifs de l'Isère.

Après la saison « blanche » 2020-2021, sans remontées mécaniques ouvertes, l’hiver dernier a été celui de tous les records dans les stations iséroises.

D’après Domaines skiables de France, leur fréquentation en journées-skieurs a augmenté de 20 % par rapport à la moyenne des quatre derniers hivers hors Covid, contre 4 % pour l’ensemble de la France. Un effet sortie de crise, « qui a redonné à la montagne sa part de marché de l’hiver », constate l’enquête de l’Association nationale des maires des stations de montagne (ANMSM), publiée fin avril.

À Villard-de-Lans, le chiffre d’affaires des remontées mécaniques (11,5 M€) a ainsi augmenté de 30 % lors de la dernière saison par rapport à l’avant-crise. À l’Alpe-d’Huez ou à Lans-en-Vercors, il a également affiché + 15 % par rapport à la meilleure année connue jusqu’alors.

L’hôtellerie peut elle aussi se targuer de bons résultats, selon l’Observatoire national des stations de montagne, avec un taux d’occupation des lits se situant à 69 %. Soit presque celui atteint lors de la saison 2019-2020, avant le premier confinement.

Mais comme la météo en montagne, le contexte économique des stations est très fluctuant. La saison 2022-2023 s’annonce, à l’image des précédentes, pleine d’incertitudes. Au premier rang des préoccupations, la crise énergétique, qui affecte particulièrement les stations de ski, 70 % d’entre elles devant renégocier cet automne des accords triennaux avec leur fournisseur d’énergie.

F. Baert
 

Vu et lu dans Challenges du 17/11/22
Vu et lu dans Challenges du 17/11/22

Vu et lu dans Challenges du 17/11/22

Vu et lu dans Challenges du 17/11/22

Vu et lu dans Challenges du 17/11/22

Vu et lu dans Télérama n° 3764 du 02/03/22

Vu et lu dans Télérama n° 3764 du 02/03/22

 

Fabien Felli (Poma) : « Continuer à nous battre pour un transport bas carbone »

https://www.brefeco.com/expertises/fabien-felli-poma-continuer-nous-battre-pour-un-transport-bas-carbone

PUBLIÉ LE 29/11/2022

 

 

Edyta Tolwinska

Entré il y a une dizaine d’années dans le groupe Poma, Fabien Felli en a grimpé les échelons pour en devenir président à l’été 2022. Il a pris la succession de Jean Souchal qui continuera à accompagner Poma en tant que président du conseil de surveillance. Une nouvelle page dans l’histoire du pionnier français du transport par câble. Mais des valeurs qui restent.

Fabien Felli a la fibre internationale. Avant d’arriver chez Poma en 2011, il avait déjà beaucoup voyagé quand il opérait chez Matra, Thales ou encore Airbus. Il avait même vécu quelques années à Pékin. Entré chez Poma comme directeur export, il en est devenu directeur international puis directeur commercial, avant d’en être nommé vice-président du directoire en 2019. Autant dire qu’il connaît bien la maison et, si son style sera inévitablement différent de celui de Jean Souchal, il ne faut pas s’attendre à une secousse majeure dans ce groupe industriel qui a fait - et fait encore - l’histoire des sports d’hiver. Et, d’une façon plus large, l’histoire des transports par câble.

La montagne, mais pas que !

Poma est un géant mondial des télésièges, télécabines et autres téléphériques. Après 85 ans d’existence, il compte plus de 8.000 installations au compteur, dans 90 pays. Ses divers appareils transportent près de 6,5 millions de personnes par heure. Et pas seulement en montagne. Car si Poma est une marque bien connue des skieurs alpins, il ne faut pas oublier que le groupe isérois a su s’imposer aussi dans un environnement tout autre : la ville. Après avoir pris largement sa part dans l’équipement des stations de ski françaises au cours des décennies 1950-2010, et alors que les besoins en remontées mécaniques ralentissaient, il a su se tourner d’une part vers des pays qui commençaient à s’intéresser aux sports d’hiver (Chine et Russie en particulier, en stand-by total depuis la crise du Covid-19 et la guerre en Ukraine), et d’autre part vers de nouveaux débouchés. C’est le cas des télécabines urbaines qui peuvent constituer un moyen très complémentaire aux autres transports collectifs. Elles sont aussi, parfois, le mode de transport le plus pratique pour passer d’un quartier à l’autre.

Il n’est qu’à faire une petite liste de quelques réalisations de Poma pour se rendre compte de la dimension prise par le transport urbain par câble dans la mobilité propre. Dans le désordre : le téléphérique de New York reliant Manhattan à Roosevelt Island (2010), les télécabines de Nini Novgorod en Russie qui enjambe la Volga sur 3,6 kilomètres (2012), de Medellin (Colombie, 2004 puis 2021), de Guayaquil (2020), de Saint-Domingue (République dominicaine, 2022) ou encore le téléphérique d’Antananarivo (Madagascar, en cours).

Et, alors que la France s’est longtemps détournée de ce moyen de transport urbain, la voilà qui s’y met. Poma a déjà marqué quelques points avec le téléphérique de Toulouse, la télécabine de Saint-Denis-de-la-Réunion et la future liaison aérienne par câble de Grenoble (entre Fontaine et Saint-Martin-le-Vinoux).

Nous voulons abaisser notre empreinte globale, produire avec un plus faible impact, avec moins de matières premières par exemple

L’un des enjeux d’avenir auquel doit aujourd’hui faire face Fabien Felli est celui de l’environnement et de la diminution de l’impact carbone. Le nouveau président en fait une priorité : « Nous déployons un ensemble d’innovations dans le cadre de notre projet dénommé LIFE (Low Impact For Environnement) qui vise l’ensemble des composants de nos produits et de nos process : il s’agit d’abaisser notre empreinte globale, produire avec un plus faible impact, avec moins de matières premières par exemple. Entamée il y a plusieurs années, cette démarche peut s’appuyer aujourd’hui sur le bilan carbone que nous avons effectué en 2021 ».

L'INFO EN + EN 2000, POMA A LIVRÉ LA PLUS GRANDE ROUE DU MONDE À LONDRES, LA LONDON EYE.

Poma en chiffres :

CA 2021 : 332 millions d’euros dont 50 % à l’export

Effectif : 1 300 personnes dont 820 en France sur cinq sites en Auvergne-Rhône-Alpes

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2014/03/poma-de-la-montagne-a-la-ville.html

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La filière bio, Le marché de Rungis, Phenix (suites) & Autres

Publié le par Jacques SAMELA.

La filière bio, Le marché de Rungis, Phenix (suites) & Autres
La filière bio, Le marché de Rungis, Phenix (suites) & Autres
Vu et lu dans Les Echos du 26/09/22
Vu et lu dans Les Echos du 26/09/22

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Le bio en berne

https://www.ecoreseau.fr/actualites/economie-societe/le-bio-en-berne-2022-11-28-89286?utm_source=sendinblue&utm_campaign=Matinale_Week-End_-_20221203&utm_medium=email

 

Par  Tanguy Patoux / Le 28 novembre 2022

 

L’alerte retentit depuis déjà un moment. En 2021, le marché du bio semblait poussif et reculait de 3,1 % par rapport à 2020. À l’aube de 2022, cette tendance s’était encore accentuée. Aujourd’hui, il est temps de faire le bilan.

Légume, fruit, œuf, lait … Tout y passe. Le recul des ventes dans le bio n’épargne aucun produit. -18 % pour la farine, -12 % pour le beurre… Au final, l’ensemble du marché recule de 10 % sur un an, le tout à l’approche des fêtes. À l’heure où l’inflation enflamme les prix dans les grandes surfaces, les premiers produits à en pâtir sont évidemment les plus onéreux. Les clients reviennent – peu à peu – à un mode de consommation moins responsable… mais plus économique.

La fin du rêve

Le marché du bio a été lucratif pour beaucoup d’agriculteurs et de revendeurs ces dernières années. De plus en plus de producteurs ont pris ce virage. Finalement, tout cela a mené à une bulle spéculative qui commence à montrer quelques limites. Tous les acteurs de ce marché doivent maintenant faire face au même problème : la surproduction.

Pourtant le bio a longtemps été encouragé par certains acteurs politiques et idéologiques. Les produits labellisés ont pris de plus en plus de place dans nos grandes surfaces. Sauf que les consommateurs ne suivent plus. Ces aliments, qui peuvent être jusqu’à 50 % plus chers que leur équivalent sans label, n’intéressent plus grand monde.

« Personne ne nous a dit de faire attention, que le bio concernait seulement 4 % des achats, et que l’offre ne devait pas dépasser la demande », témoignait déjà une agricultrice arboricole à l’AFP en août dernier. Comme elle, des centaines de fermiers et d’agriculteurs se retrouvent aujourd’hui avec un stock trop important sur les bras. Ce qui met en péril leur santé financière.

Une image qui s’érode

Après le green washing, doit-on s’attendre au bio washing ? En tout cas, certaines affaires pourraient l’évoquer. En 2021, la chaîne de magasin Biocoop se retrouve au beau milieu d’un conflit social. Dans plusieurs enseignes, les salariés révèlent que les conditions de travail ne sont pas bonnes. Les méthodes de gestion et management ressembleraient trait pour trait à celles des grandes surfaces traditionnelles. Une trahison pour le client qui fait confiance à Biocoop en raison des valeurs véhiculées par l’enseigne…

Le « consommer responsable » s’inscrit dans une démarche plus large que le seul label bio. Les consommateurs qui ont encore les moyens de s’offrir des produits plus chers – mais de meilleure qualité – se penchent vers des labels qui rémunèrent plus équitablement les producteurs et qui garantissent des produits de saisons. Les circuits courts sont également plébiscités. Aujourd’hui, le label AB  (Agriculture biologique) ne garantit aucun de ces critères.

Les nouvelles étiquettes BFE (Bio Français Équitable) et Bio cohérence tendent à se démocratiser, allant dans le sens des nouvelles priorités des consommateurs. Le désamour pour le bio n’est donc pas si catégorique. Il suffit juste de l’englober dans une démarche encore plus responsable

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2017/10/la-filiere-bio-a-la-croisee-des-champs-et-des-chemins.html

 

 

Le marché de Rungis veut se développer avec plusieurs plateformes logistiques

https://www.batiactu.com/edito/marche-rungis-veut-se-developper-avec-plusieurs-plateformes-63502.php?MD5email=8843226679e17408c0597aaee1b4b186&utm_source=news_actu&utm_medium=edito&utm_content=article

le 07/02/2022 

 

LOGISTIQUE. La société gestionnaire du marché de Rungis, au nord de Paris, aimerait voir les locaux s'étendre. Plusieurs constructions sont en discussion.

Le célèbre marché de gros de Rungis, au nord de Paris, pourrait s'agrandir. À l'étroit dans les murs qu'il occupe depuis plus de 50 ans, le marché pourrait bientôt voir la construction de plateformes logistiques adossées à des activités de production agricole et de transformation, selon un rapport remis ce lundi 7 février au Premier ministre. "Le marché a fortement besoin de surfaces supplémentaires d'entrepôts alimentaires frais", révèle le rapport. Le projet, intitulé "Agoralim", devrait créer "4.000 à 5.000 emplois directs non-délocalisables" et couvrir les besoins "de la terre à l'assiette". Il prendrait pour épicentre le triangle de Gonesse une enclave verte de 700 hectares dans l'est du Val-d'Oise, entre les aéroports de Roissy et du Bourget. 280 hectares sont potentiellement urbanisables.

C'est à cet endroit qu'un mégacomplexe de commerces et de loisirs Europacity, finalement enterré fin 2019 par Emmanuel Macron, devait être bâti. Le devenir du site suscite de nombreux débats. En effet, des défendeurs de l'environnement s'opposent à la création d'une gare de métro du Grand Paris express et d'une zone d'activités. À la place d'Europacity, la société gestionnaire du marché de Rungis, la Semmaris, propose de "sanctuariser" la centaine d'hectares de terres agricoles dans le sud du triangle et de permettre la création d'une plaine céréalière, où des projets de maraîchage, d'horticulture et d'élevage "selon les principes de l'agroécologie", adaptés aux besoins locaux, se côtoieraient. La société imagine également la construction d'une légumerie et des "équipements de formation, d'innovation et de sensibilisation au bien-manger".

Des millions d'euros nécessaires

La Semmaris a repéré trois sites autour de Gonesse qui pourraient convenir pour abriter des activités de distribution et de transformation de produits frais : Goussainville, Roissy-en-France et Bonneuil-en-France. Elle a affirmé à l'AFP ne pas souhaiter artificialiser de nouvelles terres. "On intervient sur des terrains qui sont déjà classés comme constructibles. La plupart du temps ce sont des friches ou des endroits où il y a eu des projets qui ont été abandonnés", a ajouté le président de la Semmaris, Stéphane Layani. "Si les conditions sont réunies par les pouvoirs publics, on pourra commencer à construire des choses dès 2025. Dès 2027, on aura engagé la majeure partie des travaux." La Semmaris dit être prête à débourser 700 millions d'euros pour "l'acquisition du foncier, la construction et l'aménagement des activités de transformation et de distribution". Mais pour que le projet puisse voir le jour, il faudrait que des acteurs publics et privés soient prêts à investir 700 millions d'euros supplémentaires.

 

Ouverture en 2027 de la Cité de la Gastronomie Paris-Rungis

https://www.valdemarne.fr/le-conseil-departemental/grands-projets/ouverture-en-2027-de-la-cite-de-la-gastronomie-paris-rungis

le 08/12/2022

 

Prochainement construite dans le Val-de-Marne, la Cité de la gastronomie Paris-Rungis a pour vocation de réunir gastronomie, arts, patrimoine, transmission, formation et innovation, à proximité du marché international de Rungis.

Un lieu unique pour explorer toutes les facettes de la gastronomie 

Depuis 2010, le "repas gastronomique des Français" est inscrit au patrimoine culturel immatériel de l'humanité.

La Cité de la gastronomie Paris-Rungis sera organisée en cinq espaces distincts :

  • Le Cœur de la Cité présentera un parcours expérientiel innovant, des expositions, des ateliers immersifs et un jardin pédagogique.
  • Le Campus proposera à la fois des ateliers ludiques pour le grand public et et des cours pratiques et théoriques, destinés aux étudiants et aux professionnels du secteur. 
  • Les  Pavillons régionaux présenteront la restauration et les artisans régionaux tandis que les pavillons par filières présenteront les différents savoir-faire de la gastronomie (boucherie, charcuterie, fromagerie etc. ).
  • Le Lab accueillera des bureaux et des espaces d'agricultures urbaines pour les entreprises de l'agro-alimentaire.
  • Le Hub comprendra un centre de conférences et un auditorium pouvant accueillir des congrès et des salons et disposera d'une offre hôtelière originale et hybride. 

Une Cité à l'impact carbone limité 

Le groupement lauréat pour la construction et la gestion de la Cité a été désigné le 6 décembre 2022 : il associe Pitch Immo, marque du groupe Altarea, la société Gaïa Promotion, la foncière Hibrid et Ametis group. Quatre axes sont privilégiés pour orienter la construction et le fonctionnement de la Cité : 

  • La conception bioclimatique et performance énergétique : les eaux pluviales seront gérées à la source, afin de limiter les rejets et de réduire l’utilisation d’eau potable.
  • La préservation des ressources : 80 % des déchets de construction seront valorisés. 
  • La biodiversité et la nature en ville : des sols fertiles seront reconstitués sur ce terrain longtemps resté en friche.
  • Le confort, la santé et bien-être : une attention particulière sera portée au confort acoustique du site.

L'investissement du Département dans le projet

Membre du Syndicat mixte de la Cité de la Gastronomie Paris-Rungis, aux côtés de la Région Ile-de-France, de la Métropole du Grand Paris, de l'EPT Grand-Orly Seine Bièvre, de la Ville de Paris, de la Ville de Thiais, de la Ville de Chevilly-Larue et de la Ville de Rungis, le Département a investi 6 millions d'euros dans la création du site. Le Département est également engagé dans la requalification de la RD7 qui desservira la Cité, afin de conférer à cet axe un profil de boulevard urbain attractif. 

« Nous sommes heureux d’accompagner ce projet, car il répond vraiment aux défis de notre temps : il porte les valeurs fortes de l’alimentation durable et de la gastronomie responsable. C’est un projet qui a été pensé par et pour tous les territoires : il va porter haut les couleurs de la France et fera aussi la fierté de notre Département. » explique Olivier Capitanio, Président du département.

La Cité de la Gastronomie Paris-Rungis sera accessible via la ligne de métro 14, dont le prolongement sera mis en service dès 2024 (à 10 minutes de Paris, 20 minutes de la Gare de Lyon et 5 minutes de l'Aéroport international d'Orly), et via l'A6 et l'A86 (liaison Paris-Roissy).

Calendrier 

2027 : Ouverture

2024 : Début des travaux de construction

2022 : Désignation du groupement lauréat 

2021 : Consultation d’opérateurs

2018 : Création de la Cité hors-les-murs Paris-Rungis

2016 : Création du Syndicat Mixte de la Cité de la gastronomie Paris-Rungis

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2016/12/le-marche-de-rungis-origine-france.html

 

 

Vu et lu dans Les Echos du 20/09/22

Vu et lu dans Les Echos du 20/09/22

Vu et lu dans Télérama n° 3760 du 02/02/22

Vu et lu dans Télérama n° 3760 du 02/02/22

Vu et lu dans Télérama n° 3768 du 30/03/22

Vu et lu dans Télérama n° 3768 du 30/03/22

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Ynsect (suite) & autre

Publié le par Jacques SAMELA.

Ynsect (suite) & autre
Ynsect (suite) & autre
Vus et lus dans Challenges n° 756 du 29/09/22, et Les Echos du 15/12/22
Vus et lus dans Challenges n° 756 du 29/09/22, et Les Echos du 15/12/22

Vus et lus dans Challenges n° 756 du 29/09/22, et Les Echos du 15/12/22

Vu et lu dans Femme Actuelle

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Le biomimetisme (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

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Tehtris (suite) & autres

Publié le par Jacques SAMELA.

Tehtris (suite) & autres
Tehtris (suite) & autres

À la rencontre d’Éléna Poincet, co-fondatrice et CEO de Tehtris

https://www.frenchweb.fr/a-la-rencontre-delena-poincet-co-fondatrice-et-ceo-de-tehtris/437796

Le 12/12/2022

Pour ce nouvel épisode de FrenchWeb CTO en partenariat avec La FrenchTechnous avons rencontré Éléna Poincet, co-fondatrice et CEO de Tehtris, l’une des 100 personnalités de la tech qui a marqué notre rédaction en 2022. 

Nous avons profité de son intervention à l’évènement Tech.Rocks Summit qui rassemble les Tech Leaders pour revenir sur son parcours et aborder les problématiques de cybersécurité auxquelles nos entreprises et administrations doivent faire face.

Après avoir passé 10 ans au sein de la DGSE et travaillé pour le Ministère des armées, Éléna Poincet a toujours voulu servir son pays en dehors des frontières. C’est lors d’une mission qu’elle rencontre Laurent Oudot, ingénieur à la DGSE et hacker depuis l’âge de 9 ans.

« En 2009, je lui ai proposé de créer notre entreprise », raconte-t-elle, « Les deux premières années, nous faisions du conseil pour les entreprises en simulant des cyberattaques très furtives, mais nous nous sommes rendu compte qu’il n’y avait pas de solution de cybersécurité capable de contrer nos attaques. En 2012, nous avons donc pivoté en créant notre propre solution de cybersécurité ».

Depuis, Tehtris évangélise le marché sur les sujets liés à la cybersécurité. « Il faut qu’il y ait une prise de conscience en France et en Europe que l’on a les entreprises suffisantes pour avoir notre autonomie sur les sujets de cybersécurité », poursuit Éléna Poincet. « Nous sommes très clairement en retard par rapport à d’autres grandes puissances. Il est important de créer une cyber-résilience ».

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2022/02/tehtris-la-parade-assuree.html

 

 

Vu et lu dans l'Express du 17/11/22

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Vu et lu dans l'Express Hors-Série Villes 2022

Vu et lu dans l'Express Hors-Série Villes 2022

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Carmat (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Carmat (suite)
Carmat (suite)

Coeur artificiel : Carmat va reprendre ses implantations en France

https://www.la-croix.com/Coeur-artificiel-Carmat-reprendre-implantations-France-2022-10-26-1301239484

Le 26/10/2022

L'entreprise française Carmat va redémarrer les implantations de son cœur artificiel en France, après avoir reçu les autorisations réglementaires nécessaires pour reprendre son étude clinique dans l'Hexagone, a-t-elle annoncé mercredi.

Carmat, le concepteur d'un cœur artificiel, indique avoir obtenu les autorisations réglementaires nécessaires de la part de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et du comité de protection des patients pour redémarrer son étude clinique "EFICAS".

L'étude portera sur 52 patients éligibles à une transplantation en France et permettra à la société de recueillir des données supplémentaires sur l'efficacité et la sécurité de son cœur artificiel, indique Carmat. Cette étude permettra aussi d'obtenir des données médico-économiques pour soutenir le remboursement du dispositif, notamment en France.

Bas du formulaire

En vue de ce redémarrage, quatre centres ont suivi des formations de remise à niveau sur le produit et le protocole clinique et sont prêts à recruter les patients (APHP-HU Pitié Salpêtrière, CHRU Lille, CHU Rennes et CHU Strasbourg).

L'entreprise française Carmat va redémarrer les implantations de son cœur artificiel en France, après avoir reçu les autorisations réglementaires nécessaires / AFP/Archives

Mardi, la société avait déjà annoncé avoir obtenu les autorisations nécessaires en Europe pour reprendre les implantations, commerciales cette fois, de son cœur artificiel Aeson dans l'Union européenne et dans les autres pays reconnaissant le "marquage UE".

Carmat avait obtenu le marquage CE en Europe en décembre 2020 pour son cœur, en tant que "pont à la transplantation", c'est-à-dire pour les patients en attente de transplantation cardiaque.

Mais la société avait suspendu en décembre 2021 ses implantations, après des incidents ayant affecté certaines de ses prothèses.

Une enquête a permis de conclure que des défauts de qualité sur deux composants distincts de la prothèse étaient à l'origine de ces problèmes. Des actions correctives ont été entreprises avec pour horizon l'automne 2022 pour la reprise des implantations.

 

 

CARMAT LÈVE 31,1 MILLIONS D’EUROS

https://vipress.net/carmat-leve-311-millions-deuros/

Publié par Frédéric Fassot | 8 Déc 2022 

 

Le Français Carmat, concepteur et développeur d’un cœur artificiel total, visant à offrir une alternative thérapeutique aux malades souffrant d’insuffisance cardiaque biventriculaire terminale, annonce le succès de sa levée de fonds pour un montant total brut de 31,1 millions d’euros, dont 27,2 millions d’euros ont été souscrits par des investisseurs spécialisés et 3,9 millions d’euros par des investisseurs particuliers.

La société prévoit d’utiliser le produit de la levée de fonds pour soutenir le développement de ses activités et notamment, la montée en puissance de sa production, la reprise et la croissance des ventes de son cœur artificiel Aeson et le lancement de l’étude clinique Eficas en France. Les fonds levés, combinés aux ressources financières existantes de la société, lui permettent de financer ses activités, selon son « business plan » actuel jusqu’en juillet 2023.

« Forts de cette opération réussie, nous pouvons désormais aller de l’avant avec confiance et nous concentrer sur nos objectifs clés pour l’année à venir : développer nos ventes en Europe, démarrer l’étude clinique Eficas en France et continuer à reconstituer notre stock de prothèses. 2023 sera la première année commerciale complète pour Aeson, ce qui représente un réel espoir pour les patients souffrant d’insuffisance cardiaque biventriculaire terminale puisque, pour la première fois, un nombre conséquent d’entre eux aura accès à notre thérapie », souligne Stéphane Piat, directeur général de Carmat.

Carmat est une société medtech française qui conçoit, produit et commercialise le cœur artificiel Aeson. La société ambitionne de faire d’Aeson la première alternative à la transplantation cardiaque. Premier cœur artificiel physiologique au monde à être à la fois hautement hémocompatible, pulsatile et auto-régulé, Aeson pourrait sauver chaque année des milliers de patients en attente d’une greffe cardiaque Fondée en 2008, Carmat est implantée en région parisienne avec son siège social de Vélizy-Villacoublay et un site de production à Bois-d’Arcy. La société emploie plus de 200 personnes hautement spécialisées.

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2014/01/carmat-un-r%C3%AAve-se-r%C3%A9alise.html

 

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Le fret ferroviaire (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Le fret ferroviaire (suite)
Le fret ferroviaire (suite)
Vu et lu dans Les Echos du 14/10/22
Vu et lu dans Les Echos du 14/10/22

Vu et lu dans Les Echos du 14/10/22

Vu et lu dans Les Echos du 31/10/22
Vu et lu dans Les Echos du 31/10/22

Vu et lu dans Les Echos du 31/10/22

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Banque de France, CAC 40, Fintech, Inflation (suites)

Publié le par Jacques SAMELA.

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Délocalisations VS Relocalisations (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Délocalisations VS Relocalisations (suite)
Délocalisations VS Relocalisations (suite)

(RE)LOCALISATION : 107 PROJETS LAURÉATS POUR 141 M€ D’AIDES DE L’ETAT POUR L’ÉLECTRONIQUE

https://vipress.net/relocalisation-107-projets-laureats-pour-141-me-daides-de-letat-pour-lelectronique/

Publié par Frédéric Fassot | 28 Nov 2022 

 

Sur la période 2020-2022, l’Etat a attribué 850 millions d’euros de subventions pour soutenir 477 projets, lauréats de l’appel à projets « (Re)localisation de la production dans les secteurs critiques », pour les filières de la santé, de l’agroalimentaire, de l’électronique, des télécommunications 5G et des intrants essentiels à l’industrie.

https://vipress.net/wp-content/uploads/2022/11/RepartSecteurs-141122.jpgL’appel à projets « (Re)localisation de la production dans les secteurs critiques », ouvert d’août 2020 jusqu’à février 2022, visait le double objectif de soutenir l’activité dans le contexte du plan de relance et de renforcer la résilience de cinq secteurs critiques (santé, agroalimentaire, électronique, intrants essentiels à l’industrie, télécommunications 5G). Doté d’une enveloppe initiale de 600 millions d’euros sur deux ans, le dispositif a été abondé (par redéploiement au sein de l’enveloppe de 100 milliards d’euros de France Relance) pour atteindre 850 millions d’euros.

Il a permis de financer 477 projets (sur plus de 1500 candidatures), représentant un investissement total de 3,2 milliards d’euros, soutenus par l’Etat à hauteur de 850 millions d’euros de subvention.

Pour la filière électronique, l’appel à projets a soutenu 107 projets industriels qui doivent permettre la création ou le maintien de 9059 emplois. L’ensemble de ces projets représente un montant d’investissement dans la filière de la fabrication électronique de près de 463 millions d’euros pour un soutien de 141 millions d’euros de la part de l’État. La filière électronique a ainsi représenté 22% des projets lauréats au total et 16% des subventions attribuées

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Trois priorités d’investissement ont été dressées pour la filière électronique : les premières installations sur le territoire national de productions innovantes dans les secteurs du semi-conducteur, la relocalisation de la production d’intrants et de composants électroniques critiques et finalement la modernisation et le renforcement de l’outil d’assemblage électronique en sous-traitance, pour permettre aux industries aval essentielles de rapatrier leurs productions électroniques vers la France ou d’accélérer la mise sur le marché des nouvelles productions en électronique.

Le soutien de l’Etat a porté en grande partie sur des technologies jusque-là non maîtrisées. Les investissements mis en oeuvre dans le cadre de l’appel à projet ont servi en premier lieu (près de 50% des projets) à soutenir la première industrialisation de produits et procédés innovants visant à se substituer à des approvisionnements étrangers ou à maîtriser une technologie d’avenir essentielle. Ils relèvent des secteurs du semi-conducteur, du matériau semi-conducteur jusqu’au composant assemblé, et du domaine des systèmes photoniques et optiques (capteurs pour l’imagerie et la vision-machine, lasers, composants pour les communications optiques ou le quantique…).

Les investissements engagés par le plan France Relance doivent ainsi aboutir à 23 premières industrialisations en France de technologies jusqu’à présent non maîtrisées sur le territoire, comme la fabrication de tranches de carbure de silicium pour la fabrication de composants en électronique de puissance, dont 5 conduisant directement à une création d’usine dans des secteurs de dépendance historique vis-à-vis de l’étranger. Le plan France Relance a également soutenu, par l’aide apportée à 28 projets ambitieux via l’AAP « (Re)localiser dans les secteurs critiques », l’émergence d’une filière d’assemblage et de packaging de puces de semi-conducteurs, notamment les composants critiques et de haute valeur ajoutée de petite et moyenne série, prioritaires pour rééquilibrer le poids de l’Asie dans ce domaine.

Relocalisation de la production d’intrants et de composants électroniques critiques

Les approvisionnements importés essentiels à la fabrication de systèmes électroniques, tels que les circuits imprimés ou les composants passifs, font l’objet d’une forte vulnérabilité, ainsi que certaines matières premières nécessaires à la fabrication de puces (substrats semi-conducteurs, packaging des puces, …). A titre d’exemple, les 6 projets sélectionnés dans le domaine des circuits imprimés, composants de base des systèmes électroniques touchés par des ruptures d’approvisionnement durant l’année 2020 suite à l’arrêt des productions chinoises, permettront une augmentation de production de 6 M€ en chiffre d’affaires pour 5 M€ d’aide, sur une demande actuellement importée de 100 M€ pour les segments industriels prioritaires.

Les projets de renforcement des capacités de fabrication de cartes et systèmes électroniques assemblés, portés pour l’essentiel par des PME et ETI implantées sur l’ensemble du territoire, représentent près du tiers des projets soutenus. Ils couvrent la demande des secteurs critiques, en particulier pour le renforcement de capacités d’assemblage de cartes pour l’automobile, l’aéronautique, le spatial et le médical.

Ajoutons que l’électronique est aussi présente dans le segment intrants essentiels à l’industrie pour les matériaux pour batteries, les terres rares, etc.

25 projets dans le secteur des télécommunications 5G

Dans le secteur des télécommunications, l’appel à projets participe au financement de plateformes permettant d’expérimenter des application de la 5G dans différents de l’industrie. Ce dispositif permet ainsi de créer un socle de cas d’usage (qualification, expérimentation), préalable indispensable au déploiement de solutions d’applications de la 5G. Les projets lauréats participent ainsi à renforcer la compétitivité de l’économie française en développant les usages 5G. Les plateformes d’expérimentation soutenues couvrent 10 secteurs (santé, aéronautique, ferroviaire, industrie 4.0, automobile et mobilité connectée, bâtiment et territoires connectés, agriculture, maritime et portuaire, énergie, et culture et divertissements). Le dispositif contribue à deux objectifs : réduction de la dépendance nationale en matière de solutions reposant sur la 5G, et doter la France de capacités réelles d’expérimentation des usages de la 5G. Ces 25 projets représentent au total 5% des lauréats de l’AAP « (Re)localiser », représentant 294 M€ d’investissement productif pour 98 M€ d’aides de l’Etat.

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http://competitiviteinfrance.overblog.com/2014/09/delocalisations-relocalisations.html

 

 

Vu et lu dans Machines production n° 1123 de septembre 2022
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