Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

complement d'information

Asmodée (rappel & plus)

Publié le par Jacques SAMELA.

Asmodée (rappel & plus)
Asmodée (rappel & plus)

Asmodée, société française de jeux

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2017/12/asmodee-societe-francaise-de-jeux.html

 

A l’origine, des férus de jeux de rôle, membres d’un club de jeux, et créateurs de la société Siroz Productions en 1986, connue pour avoir édité les jeux Zone et Croc.

Ensuite, Idéojeux et son jeu phare, « Nomine Satanis/Magna Veritas », un classique du genre, et aujourd’hui Asmodée, devenu leader du jeu de société en France, en Europe, et avec des ambitions mondiales.

Créée en 1995, elle acquiert le jeu Jungle Speed en 1997, lui permettant de s’ouvrir les portes des chaines spécialisées. En 2003, elle relance en France le jeu de cartes à collectionner Pokémon, alors en perte de vitesse, dépassant en cela la dizaine de millions d’exemplaires, suivi par le lancement du jeu Time’s Up.

Ensuite, en 2007, souhaitant accompagner sa rentabilité récente, et se développer à l’international, elle fait appel au fonds d’investissement Montefiore, qui en devient l’actionnaire majoritaire, lui permettant d’atteindre la deuxième place du marché du jeu en France avec 17,4 de part de marché, derrière le leader incontesté, Hasbro, mais devant Mattel. Et en 2013, avec 24 % de part de marché, c’est à la première place qu’elle se trouve.

Racheté par la suite par le fonds d’investissement Eurazeo (83,5 % des parts), sa valeur est estimée à près de 140 millions d’Euros, lui permettant cette fois-ci de racheter l’éditeur américain Days of Wonder, élaborateur du jeu Aventuriers du rail, qu’elle distribuait en France depuis 2004, mais aussi de fusionner avec l’éditeur Fantasy Flight Games, également américain, et connu pour exploiter en Amérique du Nord les licences Star Wars, le Seigneur des anneaux, le Trône de fer, ou encore Battlestar Galactica.

Aujourd’hui, après quelques récompenses comme l’As d’or avec les jeux Identik et Skull & Roses, des actions au plus près des joueurs, sa marque de fabrique, comme l’organisation d’animations auprès des clubs d’afficionados, des associations, d’évènements comme Solidays, ou des salons spécialisés, le prochain se déroulant les 23, 24 et 25 février 2018 (www.festivaldesjeux-cannes.com), où près de 500 000 contacts sont établis chaque année, des tournées de plages en bus, où là ce sont près de 300 000 contacts qui sont établis chaque année, sans oublier bien sur le vivier des grandes chaînes spécialisées du secteur, faisant appel à elle pour des animations en magasin, son ambition n’est plus seulement national, européen, mais donc mondiale, avec notamment le lancement de ses jeux phares sur tablette, smartphone et PC, confirmé par les 30 % de ventes supplémentaires du jeu Aventuriers du rail dès sa mise en ligne,

Et comme l’ambition peut-être sans limite, actuellement, ses dirigeants interrogent les responsables des studios de cinéma en Europe et aux Etats-Unis, afin de placer l’un de leurs jeux dans une adaptation cinématographique, à l’instar de son concurrent Hasbro, qui a eu droit lui à l’adaptation d’un de ses jeux appelé Battleship. Cela serait une première pour un jeu français.

Mais, en attendant d’en voir un sur grand écran, il est un moment important qu’il ne faut pas rater, qui est celui d’aujourd’hui avec la période de fêtes, où l’essentiel de son chiffre d’affaires se réalise, et où peut-être cette année, il talonnera encore plus ses concurrents directs, avec des jeux comme Jungle Speed, ou Dobble, vendu déjà à près de 7 millions d’exemplaires depuis 2010.

A vos portes monnaies, et bons achats de Noël.

Jacques Samela

 

Sources :

. Wikipedia

. www.asmodee.com

. Les Echos du 28/03/13, et du 22/02/17

 

 

Vu et lu dans Capital n° 387 de déc 2023
Vu et lu dans Capital n° 387 de déc 2023

Vu et lu dans Capital n° 387 de déc 2023

Vu et lu dans Les Echos du 20/10/23
Vu et lu dans Les Echos du 20/10/23

Vu et lu dans Les Echos du 20/10/23

Partager cet article
Repost0

BlaBlaCar (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

BlaBlaCar (suite)
BlaBlaCar (suite)
Vu et lu dans Management n° 310 de sept-oct 2023
Vu et lu dans Management n° 310 de sept-oct 2023
Vu et lu dans Management n° 310 de sept-oct 2023

Vu et lu dans Management n° 310 de sept-oct 2023

Vu et lu dans Les Echos du 06/07/23
Vu et lu dans Les Echos du 06/07/23

Vu et lu dans Les Echos du 06/07/23

Vu et lu dans Capital n° 386 de Nov 2023
Vu et lu dans Capital n° 386 de Nov 2023

Vu et lu dans Capital n° 386 de Nov 2023

Vu et lu dans Capital n° 386 de Nov 2023

Vu et lu dans Capital n° 386 de Nov 2023

Vu et lu dans Capital n° 386 de Nov 2023
Vu et lu dans Capital n° 386 de Nov 2023

Vu et lu dans Capital n° 386 de Nov 2023

Partager cet article
Repost0

Finalement maintenue

Publié le par Jacques SAMELA.

Finalement maintenue
Finalement maintenue

S&P maintient la note de la France à « AA » malgré la hausse de la charge de sa dette

https://www.latribune.fr/economie/france/s-p-maintient-la-note-de-la-france-a-aa-malgre-la-hausse-de-la-charge-de-sa-dette-984669.html?amp=1

 Par la tribune.fr / Le 01/12/2023

 

Standard & Poor's a décidé de maintenir la note de la France à « AA », comme elle l'avait déjà fait en juin. Une bonne nouvelle pour le gouvernement. Une dégradation de sa note aurait pu provoquer une hausse du taux d'intérêt de sa dette déjà au plus haut depuis 2012.

Contre vent et marée, la note de la dette française tient... pour le moment. Ce vendredi, l'agence américaine S&P Global a décidé de maintenir la note de crédit de la France à « AA » assortie d'une perspective négative. Comme en juin. S&P clôt ainsi les revues d'automne des grandes agences de notation pour la France. Elle suit la décision de Moody's qui a elle aussi maintenu la note de l'Etat français à Aa2 le 21 octobre. Mais là où Moody's attribue une perspective « stable » à sa note, S&P a une perspective négative.

S&P a maintenu en juin sa note de crédit sur la France alors que sa consoeur Fitch avait abaissé quelques semaines auparavant sa note d'un cran à "AA-", s'inquiétant alors du contexte politique et social - en pleine contestation de la réforme des retraites - susceptible de compliquer la réduction des dépenses publiques.

Lors de sa dernière révision fin octobre, Fitch a maintenu sa notation pour la France.

En revanche, fin avril, l'agence Fitch avait abaissé la note de la France d'un cran, à « AA- » en faisant état d'une « impasse politique » de nature à compliquer la tâche du gouvernement dans sa volonté de réformes, voire à encourager les dépenses.

Un soulagement pour le gouvernement

La décision a de quoi réjouir le gouvernement qui voit la charge de sa dette augmenter. Un abaissement de la note par l'agence aurait en effet augmenté les intérêts d'emprunt français auprès des investisseurs. Et ce, alors que son taux à 10 ans est à 2,92% après avoir atteint 3,4% en novembre, soit un plus haut depuis 2012, suite à la hausse des taux de la Banque centrale européenne qui a porté son principal taux à 4% aujourd'hui, quand il était encore négatif début 2022. Le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire avait par ailleurs noté, la semaine dernière sur France Info, qu'une dégradation de la note de la France aboutirait à jeter encore « des milliards d'euros par la fenêtre » pour payer des intérêts de dette encore possiblement renchéris par les marchés.

Mais ce dernier, s'était montré confiant avant la publication de l'agence. « Tout est possible, c'est eux qui décident. Mais je pense que nous avons apporté des arguments solides sur la crédibilité de notre détermination à baisser la dette, à ramener les déficits sous les 3% (du PIB, d'ici 2027, NDLR) et à tenir les dépenses publiques », a commenté ce vendredi le ministre de l'Economie sur France Inter. « Les dépenses publiques nous les réduisons, les déficits nous les faisons baisser et la dette publique nous accélérons le désendettement », a-t-il souligné, promettant pour 2023 d'atteindre un déficit public équivalant de 4,9% du PIB.

Des perspectives qui s'assombrissent

Si le ministre joue la carte du « tout va bien », l'économie française montre néanmoins des signes de faiblesse. La croissance du PIB tricolore a enregistré un léger repli (-0,1%) au troisième trimestre 2023.  L'OCDE a dégradé la prévision de croissance du PIB de la France en 2024 à 0,8% contre 1,2% auparavant. « Sur l'ensemble de l'année 2023, la France ne s'en sort pas si mal, mais le vent est en train de tourner », confie à La Tribune Denis Ferrand, économiste et directeur général de Rexecode. « Les entreprises sont de plus en plus prudentes et le marché du travail ralentit », poursuit-il. En dépit de ce repli, le ministre de l'Économie a redit sur l'antenne de Radio France que le gouvernement maintenait son objectif de croissance du PIB de 1% en 2023 et 1,4% en 2024.

La crainte de la non-soutenabilité de la dette

Autre signal d'alerte, l'endettement public fait craindre un risque de non soutenabilité de la dette. Entre 2020 et 2023, les mesures de relance et d'urgence ont fait grimper la facture pour les finances publiques de 280 milliards d'euros selon l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Résultat, la France a atteint un niveau inédit d'endettement depuis la Seconde guerre mondiale à 112% du produit intérieur brut. En juin, S&P avait prévenu des « risques » sur l'exécution des objectifs budgétaires, et donc sur la capacité de réduire une dette de plus de 3.000 milliards d'euros dont le remboursement annuel deviendra le premier poste de dépenses de l'Etat en 2027, devant l'Éducation.

Ce fort endettement fait notamment courir des risques à court terme. Au printemps Fitch avait notamment pointé le risque d'un relèvement des taux sur la trajectoire budgétaire de Bercy. « La hausse des taux d'intérêt pourrait rendre la consolidation budgétaire encore plus difficile ». En dépit d'une maturité de long terme sur des titres de créance (8,3 ans en moyenne), « une part relativement élevée de la dette (15%) doit être remboursée dans les 12 prochains mois », a poursuivi la célèbre agence financière.

La France ne semble donc pas être sortie du bois. « Les réformes des retraites et du travail ont plu à l'agence de notation », relevait également Eric Dor, directeur des études économiques à l'IESEG School of Management avant la publication de la note. « Le risque resterait d'une dégradation ultérieure », observait-il, en cas notamment d'une réduction de l'endettement pas assez rapide.

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2023/05/agences-de-notation-la-reponse-francaise.html

Partager cet article
Repost0

La France en haut des sommets ? (suite & plus)

Publié le par Jacques SAMELA.

La France en haut des sommets ? (suite & plus)
La France en haut des sommets ? (suite & plus)

JO d’hiver 2030 : les Alpes françaises, seule candidature retenue par le CIO

https://www.huffingtonpost.fr/sport/article/jo-d-hiver-2030-les-alpes-francaises-seule-candidature-encore-en-lice-entre-en-dialogue-avec-le-cio_226415.html#:~:text=Par%20trois%20fois%2C%20des%20Jeux,et%20enfin%20Albertville%20en%201992.

Par Maxime Birken avec AFP / Le 29/11/23

 

SPORT - Les JO d’hiver en France pour la quatrième fois de l’histoire ? Ce mercredi 29 novembre, le Comité international olympique (CIO) a confirmé avoir uniquement retenu la candidature française en vue de l’organisation des JO d’hiver 2030. Un signal plus que positif pour les Alpes françaises.

La France passe donc du statut de « dialogue permanent » au « dialogue ciblé » avec le CIO, qui en fait donc son « hôte pressenti » pour la compétition.

Portée par les régions Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur, la candidature de la France pour ces JO d’hiver sera donc l’occasion pour l’Hexagone de renouer avec son passé olympique. Par trois fois, des Jeux d’hiver ont été organisés en France : Chamonix en 1924, Grenoble en 1968 et enfin Albertville en 1992.

Les autres candidatures, celles de la Suède et de la Suisse, sont donc écartées à ce stade de l’attribution de la compétition olympique. La Suède s’est dite « incroyablement déçue » de ne pas avoir été retenue tandis que la Suisse entre de son côté en « dialogue privilégié » pour les JO-2038, a annoncé à la presse Karl Stoss, président de la commission de futur hôte des Jeux d’hiver.

Mais il va falloir se montrer patient pour que le CIO accorde de manière officielle l’attribution des JO 2030 aux Alpes françaises. Jusqu’à la prochaine session du CIO pour être exacte, qui devrait avoir lieu peu de temps avant l’ouverture des JO de Paris 2024. L’autre grande échéance sportive de la France. En attendant le président français n’a pas caché sa fierté sur X, promettant des « jeux innovants, durables et inclusifs, qui vont faire rayonner la France et sa montagne ».

Village olympique à Nice

Jusqu’alors, la candidature tricolore avait passé chaque étape avec succès : un dossier déposé dans les temps avant un grand oral de trente minutes le 21 novembre, face aux membres de la commission dédiée du CIO, avec la ministre des Sports accompagnée des deux présidents de région Renaud Muselier, Laurent Wauquiez, et du président du comité olympique français David Lappartient.

Pour arriver en tête des candidatures, le projet de la France compte utiliser 95 % de sites existants. Il s’étend de Nice au Grand Bornand (distants de près de 500 km) avec un pôle ski alpin sur les sites de Courchevel-Méribel et de Val d’Isère, le ski de fond à La Clusaz, et un village olympique basé à Nice, tout comme les épreuves de patinage.

C’est d’ailleurs à Nice qu’est envisagée la seule construction du projet, la patinoire. Le parcours de la candidature de la France est donc proche du sans-faute jusqu’ici, si l’on omet les critiques écologistes sur la viabilité d’un tel projet en plein réchauffement climatique.

En effet, cette candidature n’a pas que des soutiens. Et c’est notamment la question de l’enneigement, qui faiblit d’année en année, qui concentre les critiques de la candidature française. Au même titre que le risque d’« une accélération phénoménale du bétonnage de nos belles montagnes ». Sans oublier l’incohérence d’investissements massifs dans les sports d’hiver en plein réchauffement climatique.

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2017/02/la-france-en-haut-des-sommets.html

 

Vu et lu dans Les Echos du 06/01/23
Vu et lu dans Les Echos du 06/01/23

Vu et lu dans Les Echos du 06/01/23

Vu et lu dans Les Echos du 10/03/23

Vu et lu dans Les Echos du 10/03/23

Vu et lu dans Les Echos du 08/03/23
Vu et lu dans Les Echos du 08/03/23

Vu et lu dans Les Echos du 08/03/23

 

Palmarès des stations : Chamonix au top devant la Plagne

https://www.ledauphine.com/societe/2023/10/05/palmares-des-stations-chamonix-au-top-devant-la-plagne?utm_source=adobe&utm_medium=newsletter&utm_campaign=LDL_direct_entreprises&ii=

A.Ch. Le 05/10/23

 

Les domaines skiables ont réalisé un chiffre d’affaires d’1,655 milliard d’euros en 2022/23 en légère hausse par rapport à l’année précédente.

Alors que s’ouvre jusqu’à vendredi le congrès des domaines skiables de France (DSF) à Toulon, c’est l’occasion de découvrir le palmarès des exploitants de remontées mécaniques, réalisé par nos confrères de Montagne Leaders.

Grâce à sa forte activité estivale, la Compagnie du Mont-Blanc à Chamonix, qui gère également Les Houches et Megève, est en tête avec 111 M € de recettes sur 2022/23.

Numéro 1 au niveau des journées skieurs, mais deuxième en chiffre d’affaires, la Société d’Aménagement de la Plagne (SAP), avec 96 M €, devance sa voisine avec laquelle elle est reliée par le Vanoise Express, ADS, les Arcs-Peisey Vallandry (92 M €).

Les deux stations, qui forment l’espace relié Paradiski, appartiennent à la galaxie des domaines exploités par la Compagnie des Alpes (CDA), premier groupe opérant des stations de sports d’hiver en Europe.

Suivent dans l’ordre : Val-Thorens, Orelle (SETAM-STOR), la S3V (Courchevel-Méribel), Les Menuires-Saint-Martin de Belleville (SEVABEL/CDA), Tignes (STGM/CDA), Avoriaz (SERMMA), Val-d'Isère (STVI/CDA), les Deux-Alpes et l’Alpe-d’Huez. Ces deux derniers domaines sont gérés par la SATA qui, comme la Compagnie du Mont-Blanc a réalisé un exercice 2022/23 record. Par temps d’enneigement délicat, les stations d’altitude offrant une certaine garantie neige redoublent d’attractivité et enregistrent des hausses de recettes à deux chiffres.

Au final l’ensemble des opérateurs de remontées mécaniques en montagne ont réalisé un chiffre d’affaires d’affaire d’1,655 milliards d’euros, en légère hausse (+3%).

 

Stations de ski : DSF fait le bilan

https://groupe-ecomedia.com/stations-dsf-fait-le-bilan/?utm_source=NEWSLETTER+ECO&utm_campaign=d2a56e81fb-EMAIL_CAMPAIGN_2018_06_22_09_56_COPY_01&utm_medium=email&utm_term=0_4858320de0-d2a56e81fb-164133393

par Sylvie Bollard | 12 octobre 2023

 

La chambre professionnelle des opérateurs de domaines skiables, Domaines skiables de France (DSF), a récemment fait le point sur la saison passée. Le pays reste deuxième mondial, derrière les Etats-Unis, avec 51 millions de journées de ski engendrant 1,6 milliard d’euros de recettes de billetterie, un chiffre qualifié de stable.

DSF note toutefois que les charges ont notoirement augmenté, dont les factures d’électricité qui ont pu être multipliées par dix « pour tous ceux qui n’ont pas pu renégocier leurs contrats avant l’automne 2022 ». Il observe également que la réévaluation des salaires de la convention collective (+7%) « produit un effet de ciseau sur les comptes d’exploitation des sociétés de remontées mécaniques ».

Enfin, si les clients étrangers sont revenus, Britanniques en tête, l’enneigement n’a quant à lui pas toujours été au rendez-vous, occasionnant un recul de fréquentation de 5%. Un recul plus important encore dans les stations de basse altitude où le manteau blanc manquait cruellement.

Vu et lu dans Les Echos du 02/05/23
Vu et lu dans Les Echos du 02/05/23

Vu et lu dans Les Echos du 02/05/23

Partager cet article
Repost0

ETI, Entreprises familiales, SCOP (suites)

Publié le par Jacques SAMELA.

ETI, Entreprises familiales, SCOP (suites)
ETI, Entreprises familiales, SCOP (suites)

Entre chance et contrainte, la RSE peut-elle booster la compétitivité des ETI françaises ?

https://www.latribune.fr/partenaires/transformations-durables/entre-chance-et-contrainte-la-rse-peut-elle-booster-la-competitivite-des-eti-francaises-976722.html?xtor=EPR-2-[l-actu-du-jour]-20230920&M_BT=6363555962

La Tribune Partenaire 20 Sept 2023

Renforcement des obligations de reporting, renchérissement des coûts de l’énergie… Confrontées à une poussée réglementaire sur fond d’inflation, les ETI tardent à se transformer pour s’adapter à ces nouvelles réalités. Elles ont pourtant tous les atouts pour tirer parti de ces contraintes et améliorer leur compétitivité.

Fortement ancrées dans les territoires, créatrices de nombreux emplois, les entreprises de taille intermédiaire (entre 250 et 4 999 salariés) sont des acteurs économiques clés en France. Mais le poids des normes pèse lourd sur la compétitivité de ces entreprises majoritairement industrielles, dont l'essentiel de l'outil de production est installé en France. Dans un contexte climatique alarmant, les entreprises sont appelées à accélérer la baisse de leurs émissions de dioxyde de carbone (CO2) pour respecter les ambitions européennes sur le climat. « Progressivement à partir de 2024, l'entrée en vigueur de la directive CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) obligera des milliers d'ETI à déclarer la performance environnementale et sociale de leur activité », explique Tristan Mourre, associé chez Mazars, spécialiste de la responsabilité sociale des entreprises.

10 000 entreprises européennes étaient jusqu'alors soumises à cette obligation. Elles seront bientôt 40 000, dont de nombreuses ETI. Or, sur le terrain, les dirigeants tardent à anticiper ces nouvelles contraintes réglementaires. « Je n'ai pas observé une prise de conscience de l'urgence de la transition, relève Tristan Mourre. Pour l'heure, la priorité des ETI est de pérenniser leur activité, en réaction aux multiples crises auxquelles elles ont dû faire face : Covid, hausse des coûts de l'énergie, inflation. S'agissant de la CSRD, elles considèrent souvent cela comme une contrainte de plus, sans aucune valeur ajoutée. »

Transformer la contrainte réglementaire en opportunité

Selon Bruno Pouget, associé chez Mazars et spécialiste des ETI, l'entrée en vigueur de la CSRD est pourtant une opportunité pour les ETI de se transformer : « Elles vont devoir s'aligner avec les exigences bas carbone, repenser leur modèle d'affaires, prendre en compte des enjeux nouveaux, dont l'économie circulaire, la biodiversité ». Pour cela, elles devront recruter de nombreux profils spécialisés. « Un « mur d'investissements » se dresse devant les ETI, dans un contexte économique pour le moins incertain, résume Tristan Mourre. C'est le moment ou jamais pour elles de transformer leur modèle d'affaires, pour assurer leur durabilité»

Car au-delà de la contrainte réglementaire, la RSE est un élément différenciant pour le consommateur, pour les collaborateurs, comme pour les investisseurs. « De plus en plus d'appels d'offres intègrent ces éléments. Se positionner peut faire la différence. » Mieux, c'est une arme incontournable dans la « guerre des talents » à laquelle sont confrontées toutes les entreprises. « Le recrutement est le premier frein au développement des ETI. Leur implantation territoriale les confronte au manque de candidats, relève Bruno Pouget. Or, une entreprise solidement engagée en matière de RSE est un formidable levier d'attractivité des talents, notamment chez les jeunes ». Pour attirer les meilleurs profils dans ce marché ultra-tendu, les dirigeants ont donc intérêt à s'emparer du sujet sans tarder.

Plus agiles que les grands groupes, mieux structurées que les start-ups

Les grandes entreprises incarnent le savoir-faire français, les politiques publiques mettent les start-ups à l'honneur... « Entre deux, les ETI, elles, font figure d'oubliées ». Un héritage différent de nos voisins allemands et italiens, connus pour le dynamisme de leurs entreprises familiales. « Les ETI françaises ont besoin de solutions dédiées, plaide Bruno Pouget. Une première étape serait de renforcer les études pour mieux connaître ces entreprises et de faciliter leurs liens avec l'administration, comme on a pu le faire pour les start-ups, en créant des systèmes de guichet unique ».

De nombreuses initiatives voient le jour, lancées par les ETI elles-mêmes : opérations de lobbying, partenariats avec de grandes écoles, création de clubs régionaux... « Les dirigeants d'ETI s'engagent de plus en plus dans des groupes de travail, et c'est une bonne chose. Ces entreprises ont une vision de long terme, portée par un actionnariat familial très attaché à des valeurs, et sont en excellente position pour faire face à la conjoncture actuelle. Les ETI mènent des projets dont l'impact est immédiatement perceptible sur un territoire. Elles incarnent, mieux que toute autre catégorie d'entreprise, la capacité à agir en faveur de la transition environnementale du tissu productif français ».

À propos des ETI en France :

- 5 400 ETI en France

- 1 ETI sur 3 dans le secteur industriel

- 1 000 milliards d'euros de chiffre d'affaires

- 25 % de l'emploi en France

- 75 % des ETI présentes à l'international

(Source : Mouvement des entreprises de taille intermédiaire (METI) - 2022)

 

 

Vu et lu dans Les Echos du 08/06/23

Vu et lu dans Les Echos du 08/06/23

 

Lancement du programme ETIncelles, pour accompagner 500 PME dans leur développement

https://www.economie.gouv.fr/lancement-programme-etincelles-accompagnement-500-PME-ETI#

Le 21/11/2023

Lancé le 21 novembre à l’Élysée, le programme ETIncelles est né d’un constat simple : le nombre d’Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) en France est encore faible en comparaison avec les pays voisins. C’est pour combler ce retard français qu’un cap ambitieux de 500 PME accompagnées d’ici la fin du quinquennat a été fixé. Présentation du programme.

Le programme ETIncelles est une initiative du président de la République qui a pour ambition d’accompagner au mieux les PME qui ont le potentiel et la volonté de devenir des ETI en identifiant notamment les freins administratifs à leur croissance pour mieux les lever et dans les meilleurs délais.

Les ETI en quelques chiffres :

Nombre d'ETI en France : 5 600

Nombre d'Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) en France

Employés : 3,2

Millions de personnes employées par les ETI, soit 25 % de l'emploi salarié

CA ETI : 33 %

Part du chiffre d’affaires des ETI réalisé à l’export

À mi-chemin entre les PME et les grands groupes, les ETI qui comptent entre 250 et 4 999 salariés sont un actif stratégique pour la France.

ETIncelles, un programme tremplin pour les PME en développement

Après une phase pilote entamée début 2023 sur une première promotion composée de 50 PME en croissance, le programme ETIncelles est officiellement lancé en novembre 2023 en intégrant 50 nouvelles entreprises.

L‘objectif du dispositif ETIncelles est simple : fluidifier au maximum les relations des entreprises du programme avec l’ensemble des services de l’État en levant les blocages administratifs éventuels et ainsi les faire grandir.

Les diagnostics et problématiques évoqués par les entreprises dans le cadre du programme permettent également d’améliorer et d’enrichir les services d’accompagnement de l’administration à destination de toutes les PME et de mieux adapter les politiques publiques. Les entreprises du programme permettent d’identifier des « cas » concrets, dont la résolution aide à améliorer le cadre général.

Des entreprises sélectionnées sur des critères précis

Les entreprises ayant rejoint les deux premières promotions ETIncelles ont été sélectionnées selon trois critères principaux :

  • connaître une forte croissance au cours des deux dernières années et maintenir une trajectoire importante de développement pour devenir une entreprise de taille intermédiaire (ETI),
  • avoir un effectif compris entre 60 et 220 salariés,
  • être présent ou avoir la volonté de se développer sur les marchés à l’export ou consacrer une part conséquente de leurs dépenses à la recherche et au développement.

À propos des 100 entreprises sélectionnées

Les entreprises accompagnées à travers le programme ETIncelles sont réparties sur l'ensemble du territoire métropolitain, couvrant un vaste éventail de secteurs d'activités. Leur présence à travers le territoire et leur diversité sectorielle se veut le reflet du tissu économique français. L’effectif moyen des deux promotions est de 113 salariés pour un chiffre d’affaires moyen de 27,3 millions d’euros.

Le parcours ETIncelles : une offre d’accompagnement personnalisé pour les entreprises sélectionnées

Le programme se décline en trois volets :

  1. un suivi individualisé par un interlocuteur unique. Cet interlocuteur réalise un entretien de diagnostic avec l’entreprise lors de son entrée dans le programme, propose des solutions opérationnelles pour répondre à ses besoins, effectue les actions nécessaires pour faire avancer les demandes et assure leur suivi dans le temps.
  2. la mobilisation d’un réseau de 45 correspondants ETIncelles dans les organismes publics et les principales administrations, qui apporte les solutions adéquates aux entreprises. Les différents correspondants déploient auprès des entreprises une offre de services dédiés.
  3. un partage d’informations (webinaires, accès à une plateforme collaborative) et des temps d’échange entre pairs pour mutualiser les bonnes pratiques et apporter des explications concrètes et opérationnelles aux PME sur des problématiques communes.

L’accompagnement est prévu pour une période minimum de 12 mois. Au terme de ces 12 mois, un point d’étape est conduit avec l’entreprise pour dresser le bilan des problématiques relevées et des actions menées. Dans le cas où l’entreprise souhaiterait bénéficier d’un accompagnement supplémentaire, l’équipe ETIncelles initie les actions nécessaires pour maintenir un suivi adéquat.

Contact utile

Pour toute question, vous pouvez contacter etincelles.dge@finances.gouv.fr

 https://www.entreprises.gouv.fr/files/files/1363-dossier-de-presse-lancement-du-dispositif-etincelles.pdf?v=1700660517

 

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2014/01/les-eti-un-gisement-de-croissance-%C3%A0-prot%C3%A9ger.html

 

------------------------------------------------------------------------------------------------------

Vu et lu dans Connect'iaelyon

Vu et lu dans Connect'iaelyon

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2015/10/les-entreprises-familiales-perennite-et-competitivite.html

------------------------------------------------------------------------------------------------

 

 

 

Vu et lu dans Les Echos du 04/07/23
Vu et lu dans Les Echos du 04/07/23

Vu et lu dans Les Echos du 04/07/23

Partager cet article
Repost0

Devialet, OVHCloud, Seabubble, Technicolor (suites)

Publié le par Jacques SAMELA.

Devialet, OVHCloud, Seabubble, Technicolor (suites)
Devialet, OVHCloud, Seabubble, Technicolor (suites)
Vu et lu dans Les Echos du 14/09/23
Vu et lu dans Les Echos du 14/09/23

Vu et lu dans Les Echos du 14/09/23

FRANCK LEBOUCHARD QUITTE DEVIALET

https://vipress.net/franck-lebouchard-quitte-devialet/

Posté par Pascal Coutance | 13 Oct 2023 | 

 

Patron depuis 2018 de cette pépite française spécialisée dans les produits audio très haut de gamme, Franck Lebouchard a fait de Devialet une marque connue dans le monde entier, y compris en Asie.

Annoncée par Les Echos mardi, la nouvelle du départ du dirigeant de Devialet a été confirmée par Franck Lebouchard (photo) lui-même en milieu de semaine sur son compte LikedIn.

« Après plus de 5 ans extraordinaires à la tête de Devialet, il est temps pour moi de prendre un nouveau chemin. Avec des équipes engagées et talentueuses, nous avons construit une marque forte, plus que jamais synonyme d’innovation de rupture et de qualité sonore exceptionnelle. De très beaux objets ont vu le jour, notre gamme de produits s’est diversifiée, redéfinissant ainsi les standards de tous les audiophiles. Devialet est devenu un nom qui résonne dans le monde entier, et particulièrement en Asie, grâce au déploiement international que nous avons mené. Quelles fiertés ! Je tiens à remercier chacune des personnes qui contribuent à cette aventure passionnante pour leur engagement, leur créativité et leur dévouement. Vous êtes le plus grand actif de Devialet, et moi je reste le plus grand admirateur de vos talents. Longue vie à Devialet ! » a indiqué Franck Lebouchard.

Sous son impulsion, Devialet, entreprise française d’ingénierie acoustique reconnue pour ses produits audio haut de gamme, proches d’objets de luxe, a connu un fort développement à l’international, notamment en Asie avec une présence marquée en Corée du sud, au Japon, à Hong Kong, à Taïwan, en Indonésie et surtout en Chine.

La société a par ailleurs constamment fait évoluer son offre produits, les enceintes associant qualité sonore de haut niveau et design, qui ont fait la réputation de Devialet au départ de l’aventure, étant ensuite rejointes au catalogue produits par des amplificateurs, des écouteurs sans fil et des barres de son, toujours très haut de gamme, ce qui constitue la marque de fabrique de l’entreprise.

Il y a un an, Devialet avait une nouvelle fois réalisé une importante levée de fonds (50M€) auprès d’actionnaires historiques, mais aussi d’un nouvel investisseur chinois stratégique pour le développement des licences technologiques de l’entreprise. L’objectif étant alors de poursuivre sa croissance à deux chiffres en renforçant sa présence internationale.

Charles-Henry Tranié a été nommé en tant que nouveau CEO de Devialet par le conseil d’administration.

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2015/07/devialet-une-pepite-francaise-a-l-ecoute.html

--------------------------------------------------------------------------------------------

OVHcloud annonce l’acquisition de la start-up allemande Gridscale, spécialiste de l’Edge Computing

https://www.actuia.com/actualite/ovhcloud-annonce-lacquisition-de-la-start-up-allemande-grinscale-specialiste-de-ledge-computing/?mc_cid=c26450f676&mc_eid=ed2cb670a6

 

Le 9 août 2023, par Marie-Claude Benoit

OVHcloud, le leader européen du cloud, a annoncé le 4 août dernier être entré en négociations exclusives pour l’acquisition de Gridscale, une start-up allemande à l’origine d’une plateforme logicielle spécialisée dans les infrastructures hyperconvergées. Cette acquisition stratégique marque une nouvelle étape importante pour OVHcloud lui permettant d’accélérer significativement son déploiement géographique et d’entrer sur le marché récent et en très forte croissance de l’edge computing.

OVHcloud (anciennement connu sous le nom d’OVH) est une entreprise française basée à Roubaix spécialisée dans les services d’hébergement et de cloud computing. Fondé en 1999 par Octave Klaba, cet acteur mondial et leader européen du Cloud exploite plus de 450 000 serveurs répartis dans 37 centres de données, desservant plus de 1,6 million de clients répartis dans plus de 140 pays.

L’entreprise s’appuie depuis plus de 20 ans sur un modèle intégré qui lui confère la maîtrise complète de sa chaîne de valeur : de la conception de ses serveurs, à la construction et au pilotage de ses centres de données, en passant par l’orchestration de son réseau de fibre optique.

L’éditeur de logiciels Gridscale

Fondée à Cologne en 2014 par Henrik Hasenkamp et Marc Dittmann qui en assurent la direction générale, Gridscale propose des solutions multi-cloud et edge computing intuitives et flexibles. La société fournit aux entreprises et aux opérateurs de centres de données un environnement plug-and-play clé en main pour les infrastructures informatiques hyperconvergées. Le client décide de la localisation de son traitement sécurisé et souverain des données. La technologie Gridscale permet une évolutivité vers des environnements de cloud public connectés selon les besoins, par exemple pour les charges de travail moins sensibles.

En utilisant l’offre d’IaaS de Gridscale, les clients peuvent déployer et gérer des machines virtuelles, du stockage et d’autres ressources informatiques à la demande, ce qui leur offre une grande flexibilité pour répondre à leurs besoins de manière évolutive. Parallèlement, son offre PaaS fournit une plateforme de développement qui facilite la création, le déploiement et la gestion d’applications logicielles, en permettant aux développeurs de se concentrer davantage sur la création de code plutôt que sur la gestion de l’infrastructure sous-jacente.

Les ressources et les services sont partagés entre plusieurs clients, ce qui permet une utilisation plus efficace des ressources et une réduction des coûts.

Une acquisition stratégique

Selon OVHcloud, l’un des avantages concurrentiels significatifs de Gridscale réside dans sa capacité à déployer rapidement un environnement Public Cloud sur une infrastructure de taille limitée, ce qui, associé à la profondeur de son portefeuille de solutions, lui permettra de croître sur le marché du Public Cloud de façon plus agile, plus flexible tout en ayant un meilleur contrôle des investissements.

S’imposer sur le marché de l’edge computing

L’acquisition de Gridscale répond à un autre enjeu clé pour OVHcloud : la mise en œuvre d’une stratégie de croissance ambitieuse sur le marché du edge computing.

En rapprochant le traitement des données et les capacités de calcul du lieu où les données sont générées, cette alternative au cloud computing permet de réduire la latence, d’améliorer la réactivité des applications en temps réel et de gérer les données localement, ce qui peut être crucial pour des applications comme les voitures autonomes, l’automatisation industrielle ou la santé connectée.

Ce modèle d’infrastructure répond aux impératifs de conformité avec les exigences réglementaires dans des secteurs tels que la santé, les services financiers et l’administration.

L’acquisition répond également à l’objectif de déploiement international que s’est fixé OVHcloud, Gridscale s’étant principalement développée en Allemagne, Autriche, Suisse et aux Pays-Bas, où elle bénéficie d’une solide réputation.

Les fondateurs et l’ensemble des collaborateurs rejoindront prochainement les effectifs d’OVHcloud. La mise en commun des compétences et des produits permettra de proposer rapidement aux clients une offre edge computing pleinement intégrée aux produits OVHcloud.

Michel Paulin, CEO d’OVHcloud, déclare :

“Nous sommes impressionnés par les solutions développées par les équipes de gridscale, que nous serons ravis d’intégrer au sein d’OVHcloud. Nos produits et savoir-faire sont compatibles et très complémentaires. La combinaison de nos différentes technologies nous permettra d’accélérer notre déploiement en edge computing et notre expansion géographique tout en optimisant notre allocation du capital”.  

Henrik Hasenkamp, fondateur et CEO de Gridscale, ajoute :

“Rejoindre OVHcloud est une superbe opportunité pour Gridscale. Leur savoir-faire et empreinte mondiale permettra à nos produits d’être déployés et enrichis, à l’échelle, de manière rapide et dans le respect de nos valeurs mutuelles. Nous sommes impatients, avec l’intégralité de l’équipe, de nous mettre à travailler avec les équipes OVHcloud et nos ambitions sont renforcées grâce à cette trajectoire maintenant commune”.

Bateau volant Seabubbles, un nouveau transport urbain vert

https://plastic-lemag.com/Bateau-volant-Seabubbles-un-nouveau-transport-urbain-vert

12 septembre 2023 

 

Zéro vague, zéro émission, zéro bruit, c’est le projet du navigateur Alain Thébault lorsqu’il invente en 2017 le Sea Bubble, un petit bateau taxi électrique « entre voiture, bateau, et avion » qu’il rêvait de voir circuler sur la Seine à Paris.

Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts, et 6 ans plus tard, la première ligne pilote de navettes électriques zéro émission a été mise en service cet été sur le lac d’Annecy, opérée par le consortium SeaBubbles Mobility Solutions.

L’innovation au service de la mobilité durable

Alain Thébault, le père de l’Hydroptère, n’est plus aux manettes, c’est la start-up savoyarde Seabubbles spécialisée dans la mobilité nautique décarbonée qui a repris le flambeau. Après de nombreux prototypes et plusieurs années de recherches et d’innovations technologiques, c’est « The Bubble » un taxi aquatique volant au design futuriste de 5 places qui a fait la navette tout l’été sur le lac haut-savoyard. Avec ces 5 m de long pour 2,5 m de large, il s’élève au-dessus des eaux à partir d’une vitesse de six nœuds (11 km/heure) en 3 secondes seulement et fonctionne à 100% grâce à ses batteries. Ses foils, sorte d’arcs en fibre de verre immergés, réduisent le frottement de l’eau sur la coque et la résistance au déplacement. En évitant vagues et clapotis, l’usage de l’énergie embarquée est réduite de 40% par rapport à un bateau électrique classique

Des matériaux de haute technologie pour le transport nautique du futur

De la taille d’une voiture, la coque, les trois foils et les portes du Sea Bubble sont conçus avec des matériaux composite à base de fibres de verre et de fibres de carbone imprégnées dans une résine époxy. Les hublots, quant à eux sont réalisés en PMMA Shield up : des matériaux haute technologie qui allient légèreté et résistance.
Le Water Taxi « The Bubble » existe en deux versions : l’une a un cockpit entièrement fermé pour naviguer par tous les temps, l’autre est en format « cabriolet » pour profiter d’une vision panoramique.

Une solution de mobilité nautique décarbonée

Rapide, confortable et totalement silencieux, il fonctionne grâce à l'énergie fournit depuis sa station d'accueil et ne rejette pas de CO2 : un argument écologique qui attire, une alternative de mobilité douce dans des zones protégées. A titre d’exemple, avec ces 8 rotations par jour pendant 2 mois, le service de navettes proposé cet été sur le lac d’Annecy a permis d’économiser 100 tonnes de C02 par rapport à l’usage classique de bateaux thermiques.

Parallèlement à leur modèle « The Bubble », la start-up a développé un modèle plus grand appelé « Smart Bubble ». Ce water taxi de 8-12 places, le modèle le plus innovant de la gamme sera disponible à la fois en full électrique sur batteries ou équipé d’une pile à combustible hydrogène. Il est actuellement en phase finale de test et devrait effectuer ses premiers vols dans les mois à venir.

Avec sa proposition de taxis volants « zéro émission, zéro vague et zéro bruit » aussi agréable pour les passagers que respectueuse de l’environnement, la start-up a reçu beaucoup de demandes d’agglomérations et est en pourparlers avec des clients au Moyen-Orient, aux Pays-Bas ou aux États-Unis », affirme Virginie Seurat, la directrice générale de SeaBubbles. Capable de naviguer sur un fleuve ou un lac, SeaBubbles vise aussi bien les marchés de la mobilité grand public que du haut de gamme, pour des hôtels de luxe par exemple.

Pour en savoir plus : https://www.seabubbles.com 

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2018/06/seabubbles-au-dela-des-oceans.html

------------------------------------------------------------------------------------------------

Vu et lu dans Les Echos du 14/09/23

Vu et lu dans Les Echos du 14/09/23

L’EX-TECHNICOLOR RACHÈTE UNE ACTIVITÉ DE 1,5 MILLIARD DE DOLLARS DANS LE MATÉRIEL

https://vipress.net/lex-technicolor-rachete-une-activite-de-15-milliard-de-dollars-dans-le-materiel/

Posté par Frédéric Fassot | 9 Oct 2023 

 

Vantiva, auparavant connu sous le nom de Technicolor, annonce avoir conclu un accord avec CommScope, en vue d’acquérir sa division réseaux domestiques (« Home Networks ») contre une participation de 25% dans Vantiva. Cette société américaine fournit des équipements offrant des solutions de connectivité résidentielle et de décodeurs vidéo.

L’acquisition de CommScope Home Networks renforcera considérablement ses capacités dans le domaine de la Maison Connectée. CommScope Home Networks a réalisé un chiffre d’affaires de 1,5 milliard de dollars sur les 12 derniers mois clôturant au 30 juin 2023, tandis que la division Maison Connectée de Vantiva a réalisé 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires sur la même période.

La division CommScope Home Networks est un leader technologique mondial dans la fabrication, l’installation et le support d’infrastructures matérielles et logicielles de connectivité, offrant une large palette de produits, notamment des modems, des passerelles, des décodeurs, des appareils multimédias intelligents, la diffusion de contenu par satellite et IPTV. La division emploie environ 1400 personnes et opère dans le monde entier, au service des consommateurs résidentiels, des fournisseurs d’accès Internet (FAI) et des opérateurs de télécommunications.

Vantiva intégrera Home Networks au sein de sa division Maison Connectée afin d’opérer sur une plus grande échelle et de maximiser le potentiel de synergies. Cette opération devrait générer plus de 100 millions d’euros de synergies en année pleine à partir de 2026, principalement grâce à des initiatives d’optimisation de coûts et à une meilleure efficacité opérationnelle.

Cette acquisition devrait permettre à Vantiva d’accroitre son portefeuille de clients, d’étendre sa présence dans des géographies clés et de disposer d’une capacité accrue d’innovation grâce à la combinaison des meilleures pratiques issues des deux entreprises. Cette opération devrait également renforcer la stratégie de diversification existante de Vantiva.

« Ce projet d’acquisition stratégique représente une opportunité de transformation unique pour Vantiva. Il nous permettrait de renforcer les opérations de Maison Connectée, d’accélérer notre feuille de route en matière d’innovation et d’étendre nos activités sur de nouveaux marchés grâce à des partenariats commerciaux supplémentaires. D’un point de vue financier, l’acquisition de Home Networks augmenterait considérablement l’envergure de notre entreprise, tout en générant également d’importantes synergies. Sous réserve de l’obtention de différentes approbations, nous serons ravis d’accueillir CommScope en tant qu’actionnaire de Vantiva et nos nouveaux collègues de CommScope Home Networks», a déclaré Luis Martinez-Amago, directeur général de Vantiva.

Aux termes de la transaction, CommScope recevra une participation de 25% dans Vantiva, par le biais d’une augmentation de capital réservée à CommScope en contrepartie du transfert de l’activité Home Networks. Un montant cumulé maximum de complément de prix de 100 millions de dollars, soumis à l’atteinte par Vantiva (à périmètre constant) d’un EBITDA égal ou supérieur à 400 millions d’euros au cours des 5 ans suivant le premier exercice après la conclusion de l’acquisition est également envisagé. En conséquence de cette opération, CommScope deviendrait l’actionnaire de référence de Vantiva.

La transaction, dont la finalisation est attendue à la fin du quatrième trimestre 2023, sera également soumise à l’obtention des autorisations réglementaires et à d’autres conditions de clôture habituelles.

Vantiva, auparavant connue sous le nom de Technicolor, a son siège à Paris. Société indépendante, elle est un leader technologique mondial dans la conception, le développement et la fourniture de produits et solutions qui connectent les consommateurs à des contenus et des services– que ce soit à la maison, au travail ou dans d’autres espaces intelligents. Présente sur le continent américain, en Asie-Pacifique et dans la région EMEA, Vantiva est reconnue comme un partenaire stratégique dans diverses industries, notamment celles des opérateurs télécoms, des éditeurs de logiciels et des créateurs de jeux vidéo.

Voir la présentation du rachat :

https://www.vantiva.com/app/uploads/2023/10/2023-10-03-Investor-Presentation-Vantiva.pdf


http://competitiviteinfrance.overblog.com/2016/07/technicolor-un-fringant-centenaire.html

Partager cet article
Repost0

Ombrea, Agrivoltaïsme (suite & plus)

Publié le par Jacques SAMELA.

Ombrea, Agrivoltaïsme (suite & plus)
Ombrea, Agrivoltaïsme (suite & plus)
Vu et lu dans Les Echos du 06/03/23

Vu et lu dans Les Echos du 06/03/23

Vu et lu dans Les Echos du 05/05/23

Vu et lu dans Les Echos du 05/05/23

Agrivoltaïsme : un projet expérimental prometteur porté par CNR

https://mesinfos.fr/69570-dardilly/agrivoltaisme-un-projet-experimental-prometteur-porte-par-cnr-184792.html

Julien THIBERTle mardi 03 octobre 2023

 

Développer conjointement les activités agricoles et énergétiques, voici l'ambition de l'agrivoltaïsme qui se développe progressivement en France, tandis que 20 % de la production nationale d'énergie renouvelable est assurées par le secteur agricole, selon l'Office parlementaire de l'évaluation des choix scientifiques et technologiques.

Dans ce contexte à fort enjeu, avec en ligne de mire l'objectif de neutralité carbone en 2050, CNR (Compagnie nationale du Rhône) joue la carte de diversification en investissant dans un projet, inédit dans le Rhône, qu'elle a inauguré avec ses partenaires le 28 septembre.

"C’est une première pour CNR, qui, en ligne avec l’une de ses trois missions historiques, nous permet de renforcer nos liens avec le monde agricole, et de travailler ensemble pour répondre aux enjeux de la transition agricole et énergétique", explique Laurence Borie-Bancel, présidente de CNR.

Agrivoltaïsme : 500 panneaux photovoltaïque installés par CNR à Dardilly

Sur le site du lycée horticole de Lyon-Dardilly-Ecully, 500 panneaux photovoltaïques mobiles ont ainsi été installés début 2023 à six mètres au-dessus de deux parcelles destinées à la culture de fraises, de framboises et de plantes d’ornement.

Objectif : démontrer qu'une telle installation est bénéfique pour les végétaux, notamment en matière d'une consommation d’eau moindre. Le pilotage de l’orientation des panneaux se fait à l’aide d’algorithmes et à partir de données collectées par des capteurs qui mesurent la luminosité, la température, l’hygrométrie et l’état de stress hydrique des plantes.

"CNR dispose de 3 000 mégawatts de capacités installées le long du Rhône"

Après trois mois de tests, ont été constatées une baisse de 45 % de l’irrigation pour les framboises ainsi que des températures plus fraîches : jusqu’à 7,5 °C de moins dans les pots des plantes de la pépinière et jusqu’à 14,8 °C de moins dans le sol pour les fraises.

Le projet, porté par CNR, aura coûté au global un million d'euros dont 400 000 euros ont été financés par la Région Auvergne-Rhône-Alpes.

Vu et lu dans L'Usine Nouvelle n° 3723 d'octobre 2023

Vu et lu dans L'Usine Nouvelle n° 3723 d'octobre 2023

Vus et lus dans 20minutes du 02/10/23 et l'Usine Nouvelle n° 3723 d'octobre 2023
Vus et lus dans 20minutes du 02/10/23 et l'Usine Nouvelle n° 3723 d'octobre 2023

Vus et lus dans 20minutes du 02/10/23 et l'Usine Nouvelle n° 3723 d'octobre 2023

Partager cet article
Repost0

Le déficit commercial de la France (suite)

Publié le par Jacques SAMELA.

Le déficit commercial de la France (suite)
Le déficit commercial de la France (suite)

France : malgré une hausse en septembre, le déficit commercial diminue légèrement au troisième trimestre

https://www.latribune.fr/economie/france/france-malgre-une-hausse-en-septembre-le-deficit-commercial-diminue-legerement-au-troisieme-trimestre-982650.html?xtor=EPR-2-[l-actu-du-jour]-20231108&M_BT=6363555962

Le 08 Nov 2023

La balance commerciale de la France sur les biens est toujours dans le rouge au troisième trimestre. Elle s'est, en effet, établit en déficit de 25,3 milliards d'euros sur la période entre juillet et septembre, d'après les chiffres publiés par les douanes ce mercredi 8 octobre. Comparé au trimestre précédent, c'est toutefois 300 millions d'euros de moins.

Le solde « augmente à un rythme bien inférieur aux fortes hausses des trois trimestres précédents », ont ainsi détaillé les douanes dans un communiqué.

 Une baisse des importations et exportations de produits manufacturés

Dans le détail de ce troisième trimestre, la France a exporté pour 152 milliards d'euros de biens et en a importé pour 177,2 milliards. Les exportations et importations ont reculé pareillement de 1,4% sur la période, mais ces dernières ont « diminué davantage » en valeur absolue, ont précisé les douanes.

L'organisme explique que la baisse des exportations est « majoritairement tirée par celle des produits manufacturés » et, « dans une bien moindre mesure, par le recul des exportations d'énergie ». Les douanes relèvent en parallèle des « ventes dynamiques au 2e trimestre de produits de la construction aéronautique et spatiale et de navires et bateaux ». Côté importations, la baisse est « majoritairement » le fait des produits manufacturés (textile-habillement, cuir et chaussures, produits chimiques), ainsi que « dans une moindre mesure » les équipements mécaniques, électriques et électroniques.

Du côté des échanges de services, la France a enregistré au troisième trimestre un excédent de 8 milliards d'euros, moins bien que le trimestre précédent (10,2 milliards d'euros), selon la Banque de France, « principalement sous l'effet de la baisse de l'excédent des voyages ». Celui-ci « se maintient néanmoins à un haut niveau » et reste supérieur au trimestre correspondant de 2019, avant la pandémie de Covid.

Au total, le solde des transactions courantes des trois mois (un indicateur qui englobe à la fois les échanges de biens, de services et de revenus) est déficitaire de 5,9 milliards d'euros, précise la banque centrale française, après -5,5 milliards entre avril et juin.

Une dégradation qui se confirme

Sur douze mois cumulés jusqu'à fin septembre, le déficit commercial de la France sur les échanges de biens s'établit à 121,9 milliards d'euros, soit une amélioration de 31,6 milliards d'euros par rapport aux douze mois précédents. Il faut dire que le déficit français avait culminé en 2022 à un montant record de 164 milliards d'euros, plombé par le coût de l'énergie importée de l'étranger par la France.

Pas de quoi trop se réjouir pour autant. « Le solde commercial demeure néanmoins bien plus dégradé que sur la période pré-Covid », notent les douanes. La moyenne trimestrielle était de 14,4 milliards en 2019.

À noter par ailleurs que le déficit commercial s'est creusé de nouveau en septembre pour s'établir à 8,917 milliards d'euros contre à 8,330 milliards d'euros en août et 7,8 milliards d'euros en juillet. Alors que la tendance était en début d'année à la baisse et, depuis mai, à la stabilisation.

Après plusieurs mois de baisse, le déficit augmente aux États-Unis

Aux États-Unis aussi, le déficit commercial s'est accru en septembre, sous l'effet combiné d'une hausse du déficit des échanges de biens et d'une baisse de l'excédent lié aux services, selon les données publiées ce mardi par le département du Commerce. Ainsi, le déficit des biens et services avec le reste du monde est remonté à 61,5 milliards de dollars, en hausse de 4,9% par rapport au mois précédent. Un niveau bien plus important que ne l'avaient anticipé les analystes, qui tablaient plutôt sur un déficit de 60,1 milliards de dollars.

Cette hausse marque surtout la fin de plusieurs mois de réduction du déficit. Sur les trois derniers mois, il a reculé en moyenne de 700 millions de dollars et même de 8,6 milliards comparé aux trois mêmes mois de l'année dernière, grâce à la fois à une hausse des exportations et une baisse des importations. « Il est difficile d'anticiper l'évolution des flux commerciaux à venir », a cependant estimé dans une note la cheffe économiste de HFE, Rubeela Farooqi, « cela dépendra largement de la demande et de la croissance, tant aux États-Unis qu'à l'étranger ».

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2022/11/resorber-le-deficit-commercial-de-la-france-des-raisons-d-y-croire.html

Partager cet article
Repost0

La France et son indice de compétitivité

Publié le par Jacques SAMELA.

La France et son indice de compétitivité
La France et son indice de compétitivité

Le chiffre 

19

La place qu’occupe la France au sein de l’indice mondial de compétitivité en matière de talents, publié mardi 7 novembre. L'hexagone affiche une forte capacité à produire des talents puisqu'elle se place à la 9e position pour cette catégorie d'étude. Mais peine à les attirer de l’étranger (25e).

Ecoréseau du 08/11/23

 

https://www.centre-inffo.fr/site-centre-inffo/inffo-formation/les-infographies/lindice-mondial-de-competitivite-en-matiere-de-talents-2022#:~:text=Il%20s'agit%20d'un,79%20pays%20du%20monde%20entier.

https://atlasocio.com/classements/economie/competitivite/classement-etats-par-indice-de-competitivite-monde.php

https://www.insead.edu/sites/default/files/assets/dept/news/docs/pr-2022-11-03-GTCI-2022-French.pdf

------------------------------------------------------------------------------------------

Inffo Formation n° 1043

Inffo Formation n° 1043

La France grimpe d’une place dans le classement « Global Innovation Index » de 2023, s’approchant du Top 10, alors que la Suisse maintient sa domination

https://www.financeinnovation.fr/2023/10/17/la-france-grimpe-dune-place-dans-le-classement-global-innovation-index-de-2023-sapprochant-du-top-10-alors-que-la-suisse-maintient-sa-domination/#:~:text=L'Indice%20Mondial%20de%20l'Innovation%202023%20est%20un%20outil,chercheurs%20utilisent%2080%20indicateurs%20diff%C3%A9rents.

 Le 17 octobre 2023

 

En 2023, la France a progressé dans le classement mondial de l’innovation en passant de la 12e à la 11e place, retrouvant ainsi sa position de 2021.

En 2023, la France occupe la 11e place dans l’Indice Mondial de l’Innovation, regagnant la position qu’elle avait perdu l’année précédente. Elle se rapproche du top 10 et devance la Chine qui l’avait doublé l’année dernière et qui descend à la 12e place cette année.

La Suisse maintient sa position en tant que « champion du monde de l’innovation » pour la treizième année consécutive, se distinguant particulièrement dans les résultats de l’innovation, tant en termes de savoir et de technologie que de résultats créatifs. La Suède reprend la deuxième place du classement aux États-Unis, avec le perfectionnement des entreprises, des infrastructures, du capital humain et de la recherche.

L’Europe abrite le plus grand nombre de leaders en matière d’innovation parmi les 25 premiers (16 au total). La France excelle dans les indicateurs concernant les actifs incorporels (3ème), les marques mondiales (4ème), les dessins et modèles industriels (8ème) et les investisseurs mondiaux en R&D (9ème).

L’Indice Mondial de l’Innovation 2023 est un outil qui mesure la performance des environnements d’innovation dans 132 économies à travers le monde. Pour évaluer ces performances, les chercheurs utilisent 80 indicateurs différents. Ces indicateurs couvrent un large éventail de domaines liés à l’innovation, tels que la recherche et développement, la compétitivité, l’adoption de technologies, la collaboration entre les entreprises et les institutions académiques, ainsi que d’autres facteurs clés.

 

https://www.bfmtv.com/economie/international/la-france-sait-produire-des-talents-de-renommee-mondiale-mais-a-toujours-du-mal-a-en-attirer_AN-202311070342.html

https://www.lesechos.fr/economie-france/conjoncture/la-france-produit-plus-de-talents-mais-peine-toujours-a-en-attirer-de-letranger-2027137

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Partager cet article
Repost0

Le 11 novembre 1914 (rappel et plus)

Publié le par Jacques SAMELA.

Le 11 novembre 1914 (rappel et plus)
Le 11 novembre 1914 (rappel et plus)

Le 11 novembre : Anecdotes, suites et conséquences

http://competitiviteinfrance.overblog.com/2021/11/le-11-novembre-anecdotes-suites-et-consequences.html

Publié le 11 novembre 2021 

 

Bon, vous le savez, le 11 novembre est aujourd’hui un jour férié chez nous, marquant l’anniversaire de l’armistice signé en 1918 par les belligérants que furent l’Allemagne, et de ce que l’on appela à l’époque la Triple Entente, composée de la France, la Grande-Bretagne, et les Etats-Unis.

Le son des canons s’est donc tût à la onzième heure du onzième jour du onzième mois de cette année, avec comme résultat, 1 500 000 victimes françaises, et 8 millions de morts et de blessés au total, tous pays confondus.

Mais par contre connaissiez vous cette anecdote, soit que le dernier mort, considéré, de cette guerre fût un français du nom d’Augustin Trébuchon, 40 ans, soldat de 1ère classe et estafette au sein de la 9ème compagnie du 415ème régiment de la 163ème division d’infanterie, touché mortellement à la tête, alors qu’il portait un message à son officier, entre 10 h 45 et 10 h 55, soit à un quart d’heure de la dite fin des hostilités ?

Alors, je dis bien considéré, car d’autres informations indiquent qu’un autre soldat français, du nom d’Emile Andreux fût touché mortellement par un obus allemand cinq minutes avant l’heure fatidique, voire, qu’un soldat américain cette fois-ci, Henry Gunther, fût lui abattu par une mitrailleuse allemande à 10 h 59, soit une minute avant le clap de fin.

D’autres noms circulent, mais au final cela reste et restera difficile à vérifier, car le front étant très large et plus qu’accidenté en raison des bombardements continus, l’information dut se perdre maintes et maintes fois.

Et en plus, au de-là de savoir qui fût réellement le dernier tué de ce conflit, le sujet principal est finalement loin d’être là, si ce n’est que ceux-ci, et certainement d’autres, non pas eu cette dernière chance d’en ressortir vivants et de passer à la postérité.

Donc, si l’histoire retient le premier cité, l’histoire de ce conflit ne s’arrêta finalement et définitivement que 8 mois plus tard, le 28 juin 1919, avec la signature du traité de Versailles, où l’Allemagne, considéré comme la nation responsable, dut rendre à la France, l’Alsace et la Lorraine, prisent à la précédente guerre de 1870, dut accepter la présence de troupes françaises sur son territoire, ainsi que de payer des sommes considérables pour les dommages causés, ce qui au final nourrira ce sentiment de revanche que le peuple allemand gardera tout au long des années précédant l’avènement d’Adolph Hitler, qui soit dit en passant était aussi un ancien combattant de cette confrontation mondiale. Il se dit que l’origine de la 2ème guerre mondiale viendrait en partie de ces humiliations ressenties.

Et pour en revenir au traité de Versailles, il faut savoir aussi que fut créé à son occasion le précurseur de l’ONU, j’ai nommé la SDN ou Société des Nations.

Porté par le président américain de l’époque, Woodrow Wilson, qui y voyait là l’occasion d’éviter un nouveau bain de sang, sa création fût approuvé par 44 états, dont 31 avaient pris part à la guerre, seulement voilà, son pays, par l’entremise du Sénat des Etats-Unis, ne signa jamais la Charte stipulant sa création, ce qui au final rendit presque inopérante son action pour la suite de l’Histoire avec un grand H. D’un point de vue personnel, il obtint malgré tout le Prix Nobel de la paix cette année.

Et pendant ce temps-là, loin de ces considérations diplomatiques, un virus frappe le monde entier depuis 1918, en l’occurrence la dite grippe espagnole, qui malgré son nom (voir lien ci-dessous) démarra aux Etats-Unis dès le mois de mars de cette année dans des bases militaires de l’Etat du Kansas, causée manifestement par le croisement d’une souche humaine de la grippe saisonnière H1N8, et d’une souche aviaire de type N1, d’où cette appellation aujourd’hui connue, H1N1.

Et avec l’arrivée des troupes américaines en avril 1918 en France, la maladie s’est propagée telle une trainée de poudre sur l’ensemble du champ de bataille, avant d’atteindre l’ensemble de l’Europe, affaiblie par la guerre, et ensuite le monde entier. Cette pandémie deviendra la plus meurtrière de l’histoire humaine avec près de 50 millions de morts, loin devant la précédente, connue sous l’appellation « peste noire », ayant sévie elle en Europe essentiellement en 1348, causant la mort de 34 millions de personnes, soit près de la moitié de la population européenne de l’époque.

Et contrairement à celle d’aujourd’hui, aucuns vaccins ne furent découverts, par-contre, des quarantaines furent imposées, faisant finalement disparaitre cette grippe qu’au bout de la 3ème vague, qui aura duré quand même deux ans. A retenir.

Jacques Samela

 

Sources :

https://www.linternaute.fr/sortir/guide-des-loisirs/1256729-11-novembre-2021-que-celebre-t-on-ce-jour-ferie/

https://www.1jour1actu.com/info-animee/que-sest-il-passe-le-11-novembre-1918

https://fr.wikipedia.org/wiki/Augustin_Tr%C3%A9buchon

https://www.un.org/fr/about-us/history-of-the-un/predecessor#:~:text=Pr%C3%A9curseur%20de%20l'Organisation%20des,la%20paix%20et%20la%20s%C3%A9curit%C3%A9%20%C2%BB

https://www.linternaute.fr/actualite/guide-histoire/2490101-grippe-espagnole-date-origine-morts-pandemie-1918/

 

-------------------------------------------------------------------------------------------

A visiter

Le musée de la Grande Guerre 

https://www.museedelagrandeguerre.com/

 

Avec une collection de près de 70 000 objets et documents retraçant les parcours de la vie quotidienne et militaire de la guerre 14-18,
le musée de la Grande Guerre à Meaux (77) permet d’en apprendre davantage sur la Première Guerre mondiale,
également appelée la Grande Guerre.
Le musée de la Grande Guerre, qui a ouvert ses portes le 11 novembre 2011 sur le territoire de la Première bataille de la Marne à Meaux, est le plus grand musée d’Europe sur la Première Guerre mondiale. Il présente, sur 3 000 m², l’une des collections les plus riches et diversifiées de la guerre 14-18 au cœur d’une scénographie attractive et innovante.

 

--------------------------------------------------------------------------------

Depuis sa création, le Bleuet de France vient en aide aux blessés de guerre.

https://www.bleuetdefrance.fr/nos-missions/aides-aux-blesses-de-guerre/

 

La Première Guerre Mondiale, par sa violence et sa durée, est dévastatrice. Elle fait 10 millions de morts et plus de 20 millions de blessés. Certains, lourdement handicapés, ne peuvent plus travailler.

En 1925, Charlotte Malleterre, fille du commandant de l'Hôtel national des Invalides et Suzanne Leenhardt, infirmière major, créent un atelier à l'Institution nationale des Invalides (INI).

Les pensionnaires y confectionnent des bleuets, fleurs en tissu qu'ils vendent sur la voie publique.

Cette activité devient pour eux une occupation et une source de revenus.

Pourquoi le Bleuet ?

Le bleuet est le symbole choisi pour illustrer la solidarité envers le monde combattant pour plusieurs raisons.

Il rappelle l'uniforme bleu horizon que les jeunes recrues, les « Bleuets », portaient en rejoignant leurs aînés, les « Poilus », sur les champs de bataille.

Le bleuet est reconnu comme la fleur française du souvenir, celle qui poussait dans la boue des tranchées, la seule note colorée dans un paysage dévasté.

Enfin, le bleu est également une des couleurs de la Nation française, première couleur du drapeau tricolore.

https://don.bleuetdefrance.fr/don/~mon-don?_cv=1

Partager cet article
Repost0

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 > >>